La croissance économique s’est établie à 4,3% en 2014 contre 3,5% en 2013, indique l’Agence nationale de la statistique et de la démographie dans la ’’Note d’analyse des comptes nationaux provisoires 2014, semi définitifs 2013 et définitifs 2012- 2014’’.
’’ Cette reprise de l’activité économique est essentiellement imputable au redressement de la croissance du secteur primaire qui a atteint 2,7% contre 0,5% l’année précédente, et à la consolidation de celle du secteur secondaire qui s’est établie à 5,2%, après 5,1% en 2013’’, explique l’agence dans le document reçu à l’APS, vendredi.
La reprise est en revanche limitée par ’’le ralentissement’’ du secteur tertiaire qui a perdu 0,5 point de croissance pour ressortir à 4,1%, sous l’effet de la perte de vigueur des services de Poste et Télécommunications et de l’impact de l’épidémie à virus Ebola sur les activités d’hébergement, de restauration et de transport aérien, selon l’ANSD.
La même source note que la relance du secteur primaire ’’est principalement imputable aux performances notées dans les +activités extractives+ (6,3%) portées par les productions de Zircon et de Titane, de l’+élevage et chasse+ (4,9%) ainsi que de +la sylviculture et l’exploitation forestière+ (4,5%)’’.
Le document relève que le raffermissement du secteur secondaire ’’est impulsé par la vigueur de la +construction+ (+11,3%) et la bonne tenue des activités de +fabrication de produits en caoutchouc et en plastique+ (+11,5%) et de +fabrication de machines+ (+15,5%)’’.
Le déficit extérieur du compte des biens et services s’est amélioré en passant de 1 527 milliards en 2013 à 1 449 milliards en 2014, souligne l’ANSD.
OID/PON
’’ Cette reprise de l’activité économique est essentiellement imputable au redressement de la croissance du secteur primaire qui a atteint 2,7% contre 0,5% l’année précédente, et à la consolidation de celle du secteur secondaire qui s’est établie à 5,2%, après 5,1% en 2013’’, explique l’agence dans le document reçu à l’APS, vendredi.
La reprise est en revanche limitée par ’’le ralentissement’’ du secteur tertiaire qui a perdu 0,5 point de croissance pour ressortir à 4,1%, sous l’effet de la perte de vigueur des services de Poste et Télécommunications et de l’impact de l’épidémie à virus Ebola sur les activités d’hébergement, de restauration et de transport aérien, selon l’ANSD.
La même source note que la relance du secteur primaire ’’est principalement imputable aux performances notées dans les +activités extractives+ (6,3%) portées par les productions de Zircon et de Titane, de l’+élevage et chasse+ (4,9%) ainsi que de +la sylviculture et l’exploitation forestière+ (4,5%)’’.
Le document relève que le raffermissement du secteur secondaire ’’est impulsé par la vigueur de la +construction+ (+11,3%) et la bonne tenue des activités de +fabrication de produits en caoutchouc et en plastique+ (+11,5%) et de +fabrication de machines+ (+15,5%)’’.
Le déficit extérieur du compte des biens et services s’est amélioré en passant de 1 527 milliards en 2013 à 1 449 milliards en 2014, souligne l’ANSD.
OID/PON
4 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (20:55 PM)Anonyme Serere
En Novembre, 2015 (21:38 PM)Ton ventre avec des Jambes minces et un corps disproportionne est Monstrueux.
Anonyme
En Novembre, 2015 (05:39 AM)The annual update, "Credit Analysis: Government of Senegal", is now available on www.moodys.com. Moody's subscribers can access this report via the link at the end of this press release. The research is an update to the markets and does not constitute a rating action.
"Donor support and improvements to Senegal's institutional framework strengthen the government's capacity to foster higher growth at the lowest fiscal cost," said Lucie Villa, a Moody's Vice President -- Senior Analyst, and co-author of the report. "Senegal's business environment is improving, albeit from a relatively low base."
Moody's forecasts that Senegal's GDP growth will rise to around 5%-6% in 2015-16, up from an average of 3.7% over 2010-14 but below the 7%-8% target contained in the government's economic reform agenda, the Plan Sénégal Emergent (PSE, or the Emerging Senegal Plan).
Under the plan, the government aims to improve the economy's growth capacity, partly through better infrastructure and improving the business environment to foster private investment. The plan is also to turn the capital, Dakar, into a regional hub for industry, logistics and services. It also envisages improved social services and a more balanced economic development across the country and population. Achieving a structural increase in growth potential and successful fiscal consolidation would support upward movement of the B1 rating, a possibility reflected by the positive outlook.
However, Senegal's relatively small economy is still constrained by low per capita GDP, energy supply shortages, under-developed transport links, and its vulnerability to economic shocks, both external and weather-related. Its economy remains also relatively uncompetitive.
While persistent fiscal deficits have led to high government indebtedness (53% of GDP in 2014), the fiscal deficit is gradually declining and the overall debt burden is affordable. From a peak of 6.7% of GDP in 2011, Moody's expects the fiscal deficit to be reduced to 4.8% of GDP in 2015 and 4.3% in 2016.
Senegal's history of political and macroeconomic stability and its membership of the West African Economic and Monetary Union, as well as the franc Zone, are positive factors that support its credit rating.
Anonyme
En Novembre, 2015 (17:34 PM)Participer à la Discussion