Abderrahmane Marrakchy, président du groupe parlementaire pour la bonne gouvernance des ressources naturelles en Mauritanie apporte des éclairages sur l’accord signé entre le Sénégal et la Mauritanie, le 9 février dernier. « Ce n’est un secret pour personne. Ces accords sont une exigence des opérateurs, parce que contrairement à ce qu’on pense, ce n’est pas un gisement qui est commun au Sénégal et à la Mauritanie. La Mauritanie a son gisement, le Sénégal a son gisement. Mais, ils sont tellement proches l’un de l’autre qu’il est beaucoup plus économique de faire une plateforme commune de liquéfaction de gaz naturel », explique le parlementaire mauritanien dans Vox Populi. Qui précise qu’il s’agit d’un arrangement technique entre les deux pays. « Cet accord c’est plus un arrangement technique que politique. Ce sont des arrangements techniques qui vont permettre à l’opérateur d’agir le plus rapidement possible, afin d’exploiter ce gisement ».
L’accord de coopération entre les deux pays concerne l’exploitation du champ gazier offshore de Grand Tortue-Ahmeyim (GTA) pour un coût global de 7 milliards de dollars. « Si on fait une plateforme pour le Mauritanie et une plateforme pour le Sénégal cela va doubler les coûts et les bailleurs de fonds ne seront pas très chauds. Surtout, cela va retarder l’exploitation de nos gisements », souligne Marrakchy.
29 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (08:37 AM)Deug Rek
En Février, 2018 (08:40 AM)le Pr SALL et son frère ALIOU SALL sont entrain de se partager notre gas et pétrole.
SENEGALAIS YEWULEN.
Anonyme
En Février, 2018 (08:49 AM)Anonyme
En Février, 2018 (08:54 AM)Même nos gorgorlu nationaux qui font de la collocation ne te croiraientt pas, du genre on partage le même compteur electrique donc à la fin du mois on fait 50/50 pour payer la facture hihihihi!
Anonyme
En Février, 2018 (09:09 AM)Pechelanouwakh
En Février, 2018 (09:10 AM)Anonyme
En Février, 2018 (09:28 AM)Anonyme
En Février, 2018 (09:47 AM)Anonyme
En Février, 2018 (09:50 AM)MACKY IL NE FAUT JAMAIS SIGNER DE CONTRAT DE PARTAGE DE RESSOURCE AVEC UN RÉGIME TOTALITAIRE COMME LA MAURITANIE. MÊME SI CA DEVAIT NOUS COÛTER CHER , EXPLOITONS NOS PROPRES RESSOURCES. CELUI QUI EST PRÊT A TUER TON PEUPLE POUR QUELQUES POISSONS, JE ME DEMANDE CE QU'IL EN SERA POUR DES RESSOURCES MINIÈRES JE DÉTESTE LES CONTRATS ENTRE FAUX AMIS ;
Efo
En Février, 2018 (09:54 AM)Anonyme
En Février, 2018 (10:44 AM)Anonyme
En Février, 2018 (10:44 AM)Anonyme
En Février, 2018 (10:44 AM)Anonyme
En Février, 2018 (11:04 AM)Cette meme explication du parlementaire mauritanien qui est tres claire et tres comprehensible, si elle venait du gouvernement senegalais ou meme des specialistes de notre societe nationale PETROSEN, ceux qui n'y connaissent rien et qui malheuresement ne cherchent qu'a animer le debat politique auraient desavoue. Deja qu'on en voit certains a travers les commentires ci-dessus.
Dommage, au Senegal nous avons des hommes politiques de tres mauvaise foi qui manipulent a leur guise un peuple mal instruit et tres immature.
Anonyme
En Février, 2018 (11:19 AM)Anonyme
En Février, 2018 (11:43 AM)Anonyme
En Février, 2018 (12:22 PM)Dres
En Février, 2018 (12:29 PM)Dres
En Février, 2018 (12:29 PM)Badou Diop
En Février, 2018 (13:32 PM)Anonyme
En Février, 2018 (14:45 PM)Pastef Les Patriotes
En Février, 2018 (16:24 PM)Sidy
En Février, 2018 (16:47 PM)Chaque pays est libre de choisir son exploitateur. Ce parlementaire doit se referer de ce qu'a dit le President Obama. Les hommes passent et les institutions restent. Macky et Aziz quitteront le pouvoir et alors ces accords seront revus encore. C'est certain
Anonyme
En Février, 2018 (19:37 PM)Anonyme
En Février, 2018 (19:37 PM)Anonyme
En Février, 2018 (19:54 PM)1. Kosmos 29%
2. BP 61%
3. Pétrosén 5%
4. SMHPM 5%
Cet accord intergouvernemental de coopération serait base sur les meilleures pratiques en matière de partage de ressources transfrontalières et en particulier, sur celui dit de "FRIGG" qui consacrait en 1976, le partage de ressources et de revenus entre la Grande Bretagne et la Norvège selon Andrew G. Inglis PDG de Kosmos.
Celui entre la Mauritanie et le Sénégal dispose d'un partage initial à concurrence de 50% chacun sur les 10% qui leur sont réservés ; en sus, Il disposerait aussi que dans le futur, un mécanisme de redistribution (des parts d'intérêt) basée sur la quantité effectivement produite ainsi que sur d'autres paramètres et données d’ordre techniques (!).
Avec la signature de cet accord, Kosmos Energy et ses partenaires anticipent le bouclage du financement (décisions d'investissement) en fin 2018 pour que la production de gaz commence on 2021.
Anonyme
En Février, 2018 (23:16 PM)Anonyme
En Février, 2018 (23:16 PM)Anonyme
En Février, 2018 (23:16 PM)Participer à la Discussion