Les dix ans d’existence de l’IPS sont une occasion pour faire le bilan de l’institut et rendre hommage au Pr Moussa Seck, un des membres fondateurs. Le thème retenu est : « Les 10 ans de l’IPS : une décennie de stratégies et d’engagement au service exclusif du Panafricanisme, de la Paix, de la Sécurité et de la Gouvernance en Afrique ».
Cette initiative indépendante d’intellectuels et d’experts se veut un cadre de promotion de la paix, de la sécurité et de la bonne gouvernance, de la réflexion stratégique et de l’unité continentale. «Nous avons créé l’IPS pour conseiller nos chefs d’Etat, les aider à la décision. Il faut ces cadres de réflexion où on aide nos dirigeants», a fait savoir Dr Cheikh Tidiane Gadio. Des missions réussies dans sa globalité selon le président de l’Institut Panafricain de Stratégies. « Nous avons été très proches de certains chefs d’Etat qui nous ont fait confiance, ils ont accepté nos analyses et ont essayé de les mettre en œuvre », confie-t-il.
« L’Afrique est un continent à problème. Elle n’est pas un continent à fatalité. Mais c’est aussi un continent qui recherche des solutions à ses problèmes par le savoir, le savoir-faire, l’endurance et par l’esprit de solidarité. C’est cela l’IPS », affirme Moustapha Niasse revenant sur l’essence de l’Institut Panafricain de Stratégies. D’après le Haut Représentant du chef de l’Etat, l’Institut a déjà beaucoup apporté et il reste convaincu que cette initiative va résister compte tenu des idéaux, des compétences et ambitions réunis, réels, profondes et solides.
L’IPS, c’est aussi le forum international de Dakar sur la paix et la sécurité. « Nous avons amené le concept de ce forum en réponse au sommet de l’Elysée sur la paix et la sécurité. Il réunit les ministres, chefs d’Etat, experts, les femmes et jeunes leaders », a expliqué Dr. Gadio.
Malgré ces acquis, Dr. Gadio a reconnu que beaucoup reste à faire du fait de l’immense recul démocratique, des coups d’Etat, des changements anticonstitutionnels, du terrorisme.
Cette initiative indépendante d’intellectuels et d’experts se veut un cadre de promotion de la paix, de la sécurité et de la bonne gouvernance, de la réflexion stratégique et de l’unité continentale. «Nous avons créé l’IPS pour conseiller nos chefs d’Etat, les aider à la décision. Il faut ces cadres de réflexion où on aide nos dirigeants», a fait savoir Dr Cheikh Tidiane Gadio. Des missions réussies dans sa globalité selon le président de l’Institut Panafricain de Stratégies. « Nous avons été très proches de certains chefs d’Etat qui nous ont fait confiance, ils ont accepté nos analyses et ont essayé de les mettre en œuvre », confie-t-il.
« L’Afrique est un continent à problème. Elle n’est pas un continent à fatalité. Mais c’est aussi un continent qui recherche des solutions à ses problèmes par le savoir, le savoir-faire, l’endurance et par l’esprit de solidarité. C’est cela l’IPS », affirme Moustapha Niasse revenant sur l’essence de l’Institut Panafricain de Stratégies. D’après le Haut Représentant du chef de l’Etat, l’Institut a déjà beaucoup apporté et il reste convaincu que cette initiative va résister compte tenu des idéaux, des compétences et ambitions réunis, réels, profondes et solides.
L’IPS, c’est aussi le forum international de Dakar sur la paix et la sécurité. « Nous avons amené le concept de ce forum en réponse au sommet de l’Elysée sur la paix et la sécurité. Il réunit les ministres, chefs d’Etat, experts, les femmes et jeunes leaders », a expliqué Dr. Gadio.
Malgré ces acquis, Dr. Gadio a reconnu que beaucoup reste à faire du fait de l’immense recul démocratique, des coups d’Etat, des changements anticonstitutionnels, du terrorisme.
