Retrouver la couronne de « Roi des arènes » après l’avoir perdue est un pari pas toujours facile à réaliser. Si Manga 2 et Bombardier ont réussi cet exploit, ce n’est pas le cas pour Tyson qui n’a plus gagné depuis 2004 et semble avoir mis une croix sur toute idée de revenir au devant de la scène.
Quant à Yékini et Balla Gaye 2, leur retour annoncé au premier plan tarde à se concrétiser.
Yékini, l’hypothétique retour
Avril 2012-début 2016, voilà bientôt quatre ans que l’arène attend le retour de Yékini, l’ex-roi des arènes, recordman de la longévité au sommet du trône. En vain. Malgré une volonté affichée de retrouver les aires de combat et de reconquérir son fauteuil -il a lui-même plusieurs fois annoncé l’imminence de son retour- le chef de file de l’écurie « Ndakaru » tarde toujours à sceller son come-back.
Au grand dam des amateurs et de ses nombreux supporters impatients de revoir à l’œuvre celui qui ne cesse de réclamer une confrontation - choc pour son retour. Jadis très courtisé par les promoteurs sans doute du fait de son rang de premier de la classe, l’enfant de Bassoul ne semble plus trop cristalliser l’attention de ces derniers. Comme ce fut le cas dans un passé récent, quand les « match-makers » rivalisaient d’ardeur pour lui trouver chaussure à ses pieds, dans une folle course à la surenchère.
Conséquence de ce qui s’apparente aujourd’hui à une désaffection des promoteurs, l’ancien capitaine de l’équipe nationale a passé trois années blanches d’affilée et s’achemine lentement vers une quatrième ; à moins qu’un promoteur ne vole à son secours pour lui trouver enfin un face-à-face.
Une descente aux enfers qui n’est pas étrangère à sa chute historique, un certain mois d’avril 2012.
Et pour cause, en se faisant surclasser par l’impertinent Balla Gaye 2, Yékini perdait, en même temps, son titre, son intérêt et sa valeur marchande auprès des « match-makers ». Autant de raisons qui expliquent les difficultés du poulain de Katy Diop à nouer à nouveau son « ngimb » et sceller ainsi ses retrouvailles avec ses nombreux fans. Et auxquels est venu s’ajouter le départ des bailleurs de la lutte entraînant une chute drastique des cachets ; ce qui n’est pas pour arranger les choses. Il y a deux ans, Gaston Mbengue avait tenté de lui ficeler un combat contre Eumeu Sène, mais faute d’accord sur la question du cachet -encore et toujours !- l’affiche était finalement tombée à l’eau.
Le « Don King de l’arène », qui ne s’était pas avoué vaincu, était revenu à la charge pour l’enrôler dans le tournoi dit des quatre que lui et son collègue Aziz Ndiaye s’évertuaient, il n’y a pas longtemps, à monter.
Sauf que là aussi, les choses tardent à se concrétiser et les amateurs risquent une fois de plus de déchanter ; le duo Aziz-Gaston ne parvenant toujours pas à trouver un consensus avec les quatre ténors concernés autour des cachets devenus décidément la question qui fâche.
Car, si ces promoteurs entendent plafonner les émoluments à 50 millions de FCfa, les lutteurs eux ne veulent pas en entendre parler.
Reste que même s’il obtient un nouveau face-à-face, Yékini devra affronter une autre équation de taille beaucoup plus complexe : la reconquête du trône. Pari qui ne sera pas facile à réaliser pour un lutteur qui est à un an de la retraite (il est né en 1972). Outre l’âge, l’homme pourrait faire les frais d’un manque de compétition, pour être resté près de quatre saisons, sans disputer la moindre affiche.
Quant à Yékini et Balla Gaye 2, leur retour annoncé au premier plan tarde à se concrétiser.
Yékini, l’hypothétique retour
Avril 2012-début 2016, voilà bientôt quatre ans que l’arène attend le retour de Yékini, l’ex-roi des arènes, recordman de la longévité au sommet du trône. En vain. Malgré une volonté affichée de retrouver les aires de combat et de reconquérir son fauteuil -il a lui-même plusieurs fois annoncé l’imminence de son retour- le chef de file de l’écurie « Ndakaru » tarde toujours à sceller son come-back.
Au grand dam des amateurs et de ses nombreux supporters impatients de revoir à l’œuvre celui qui ne cesse de réclamer une confrontation - choc pour son retour. Jadis très courtisé par les promoteurs sans doute du fait de son rang de premier de la classe, l’enfant de Bassoul ne semble plus trop cristalliser l’attention de ces derniers. Comme ce fut le cas dans un passé récent, quand les « match-makers » rivalisaient d’ardeur pour lui trouver chaussure à ses pieds, dans une folle course à la surenchère.
Conséquence de ce qui s’apparente aujourd’hui à une désaffection des promoteurs, l’ancien capitaine de l’équipe nationale a passé trois années blanches d’affilée et s’achemine lentement vers une quatrième ; à moins qu’un promoteur ne vole à son secours pour lui trouver enfin un face-à-face.
Une descente aux enfers qui n’est pas étrangère à sa chute historique, un certain mois d’avril 2012.
Et pour cause, en se faisant surclasser par l’impertinent Balla Gaye 2, Yékini perdait, en même temps, son titre, son intérêt et sa valeur marchande auprès des « match-makers ». Autant de raisons qui expliquent les difficultés du poulain de Katy Diop à nouer à nouveau son « ngimb » et sceller ainsi ses retrouvailles avec ses nombreux fans. Et auxquels est venu s’ajouter le départ des bailleurs de la lutte entraînant une chute drastique des cachets ; ce qui n’est pas pour arranger les choses. Il y a deux ans, Gaston Mbengue avait tenté de lui ficeler un combat contre Eumeu Sène, mais faute d’accord sur la question du cachet -encore et toujours !- l’affiche était finalement tombée à l’eau.
Le « Don King de l’arène », qui ne s’était pas avoué vaincu, était revenu à la charge pour l’enrôler dans le tournoi dit des quatre que lui et son collègue Aziz Ndiaye s’évertuaient, il n’y a pas longtemps, à monter.
Sauf que là aussi, les choses tardent à se concrétiser et les amateurs risquent une fois de plus de déchanter ; le duo Aziz-Gaston ne parvenant toujours pas à trouver un consensus avec les quatre ténors concernés autour des cachets devenus décidément la question qui fâche.
Car, si ces promoteurs entendent plafonner les émoluments à 50 millions de FCfa, les lutteurs eux ne veulent pas en entendre parler.
Reste que même s’il obtient un nouveau face-à-face, Yékini devra affronter une autre équation de taille beaucoup plus complexe : la reconquête du trône. Pari qui ne sera pas facile à réaliser pour un lutteur qui est à un an de la retraite (il est né en 1972). Outre l’âge, l’homme pourrait faire les frais d’un manque de compétition, pour être resté près de quatre saisons, sans disputer la moindre affiche.
7 Commentaires
Torodo
En Janvier, 2016 (20:41 PM)L'ancien
En Janvier, 2016 (00:17 AM)Ce n'est pas comparable
Otarcie
En Janvier, 2016 (08:39 AM)Op
En Janvier, 2016 (13:12 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (13:13 PM)LE ROI INCONTEXTE
Anonyme
En Janvier, 2016 (16:48 PM)Lakhasse
En Janvier, 2016 (12:21 PM)Participer à la Discussion