Seneweb était le weekend dernier à Kébémer, chez Gorgui Sy Dieng. Nous avons trouvé le Lion dans sa Tanière, son espace naturel. Au milieu des siens : ses parents, ses frères, ses copains… Là où il puise les ressources indispensables pour enflammer les parquets de Nba et d'ailleurs tout en gardant la tête sur les épaules.
Il s'est plié à un entretien triple XL pour parler de ses talents de footballeur, de sa vie de basketteur Nba et de chef de famille, de ses œuvres sociales, de ses objectifs avec l'équipe nationale, des xons, de sa vie après le basket… Actualité oblige, Gorgui a aussi parlé de la présidentielle de 2019. Sans trop se mouiller, il a lancé un message aux candidats à la succession de Macky Sall.
37 Commentaires
Bo
En Août, 2018 (13:51 PM)Un homme bien eduque et tres pose. Que Dieu te preserve et te guide dans tes projets.
Jay
En Août, 2018 (13:52 PM)El Hadji Diop Usa
En Août, 2018 (14:08 PM)El Hadji Diop Usa
En Août, 2018 (14:08 PM)El Hadji Diop Usa
En Août, 2018 (14:08 PM)Anonyme
En Août, 2018 (14:12 PM)Le seul truc qui me chiffonne, c'est qu'il y a toujours plus d’impôts.
Anonyme
En Août, 2018 (14:12 PM)Anonyme
En Août, 2018 (14:14 PM)Le Figaro :
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.
voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
Anonyme
En Août, 2018 (14:15 PM)Anonyme
En Août, 2018 (14:16 PM)Le Figaro :
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.
voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
Nts
En Août, 2018 (14:16 PM)Anonyme
En Août, 2018 (14:18 PM)Le Figaro :
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.
voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
Anonyme
En Août, 2018 (14:18 PM)Machallah !
J'adore l'humilité de ce gars !!! Yallah doli soutoureu...
Anonyme
En Août, 2018 (14:21 PM)Le Figaro :
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.
voici le lien de l'article ---http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php ----
Anonyme
En Août, 2018 (14:24 PM)Le Figaro :
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.
voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
Anonyme
En Août, 2018 (14:28 PM)Anonyme
En Août, 2018 (14:28 PM)Le Figaro :
Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.
En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.
Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.
À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).
Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.
Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.
Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite!
Anonyme
En Août, 2018 (14:39 PM)Tres souvent ici aux USA nous rencontrons des gens qui nous demandent de quel pays nous sommes
Quand j ai une fois répondu SENEGAL, le Monsieur qui venait de KENTUCKY était fou de joie
Il paraît que vous retournez souvent les voir dans leur faubourg puisque vous êtes leur fils adoptif.
Que DIEU vous protège,vous faites une fierté
Anonyme
En Août, 2018 (14:55 PM)contrairement à certains de nos footballer ou c'était les filles, le sexe, l'alcool ...
franchement, mashallah , qu'Allah t'accompagne;
Anonyme
En Août, 2018 (15:04 PM)Anonyme
En Août, 2018 (15:30 PM)Le nègre est, toute sa vie, un enfant de 6 ans d’âge mental.
Si on veut lutter efficacement contre ces parasites de sales nègres, il y a un petit truc bien efficace : couper toutes les aides sociales.
Plus aucun euro dans la poche des immigrés légaux ou illégaux, ou descendants d'immigrés.
Anonyme
En Août, 2018 (15:33 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:02 PM)abstinence diekhna. Leup lay wakh comme ça wakh dji fin beneu yone.
Ton père Mamadou Birame Ndiaye fils de Birame Ndiémé Niakhana Ndiaye et de Coumba Daga Mbodji t'es grands parents ne son pas fière de toi imbécile binga done.
Anonyme
En Août, 2018 (16:26 PM)les nègres ces déchets biologiques sont non seulement une menace à notre existence de par leurs capacités à pondre des petits negros mais aussi à cause de leurs capacités à démoraliser les jeunes hommes blancs et à encourager leurs amies à suivre leurs exemple.
Si vous voulez que votre peuple puisse survivre la moindre des choses est de detruire les nègres! par tout moyen !
vive la race blanche vive le duce salvini
Ecoutez bien bande de bamboulas sales negros puants crasseux gratteur de la CAF (caisse pour africains fainéants)
Fwance ça y en a être pays pour blanc...
vous y'en a partir maintenant dans cocotiers
Euwope y'en a marre des negwes
vous y'en casse les couilles aux maitres vous y'en a pas bienvenu ici.
Anonyme
En Août, 2018 (16:28 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:29 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:39 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:44 PM)Anonyme
En Août, 2018 (17:57 PM)Anonyme
En Août, 2018 (18:49 PM)La Senegalaise
En Août, 2018 (20:01 PM)Anonyme
En Août, 2018 (23:42 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (00:39 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (13:33 PM)EMG
Anonyme
En Septembre, 2018 (15:26 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (17:25 PM)Kebstown
En Septembre, 2018 (23:08 PM)Participer à la Discussion