Vendredi 19 Avril, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Top Banner
Sport

Exclusif ! Gorgui Sy Dieng, la grande confession

Single Post
Exclusif ! Gorgui Sy Dieng, la grande confession

Seneweb était le weekend dernier à Kébémer, chez Gorgui Sy Dieng. Nous avons  trouvé le Lion dans sa Tanière, son espace naturel. Au milieu des siens : ses parents, ses frères, ses copains… Là où il puise les ressources indispensables pour enflammer les parquets de Nba et d'ailleurs tout en gardant la tête sur les épaules.

Il s'est plié à un entretien triple XL pour parler de ses talents de footballeur, de sa vie de basketteur Nba et de chef de famille, de ses œuvres sociales, de ses objectifs avec l'équipe nationale, des xons, de sa vie après le basket… Actualité oblige, Gorgui a aussi parlé de la présidentielle de 2019. Sans trop se mouiller, il a lancé un message aux candidats à la succession de Macky Sall.



37 Commentaires

  1. Auteur

    Bo

    En Août, 2018 (13:51 PM)
    A well educated man, we all wish you success in all your endeavors. Thumbs up..

    Un homme bien eduque et tres pose. Que Dieu te preserve et te guide dans tes projets.
    Top Banner
  2. Auteur

    Jay

    En Août, 2018 (13:52 PM)
    Good guy. Keep it up.
    {comment_ads}
    Auteur

    El Hadji Diop Usa

    En Août, 2018 (14:08 PM)
    Way to go Brother...! We are so proud you...!
    {comment_ads}
    Auteur

    El Hadji Diop Usa

    En Août, 2018 (14:08 PM)
    Way to go Brother...!We are so proud you...God bless you..!
    {comment_ads}
    Auteur

    El Hadji Diop Usa

    En Août, 2018 (14:08 PM)
    Way to go Brother...!We are so proud you...God bless you..!
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:12 PM)
    Plus y a de nègres, plus y a d’insécurité, donc moins de climat propice au développement et à l’économie, donc moins de commerces, donc plus y a de pauvreté, donc plus de délocalisations, donc moins d'emplois, donc moins d'argent, moins de fonctionnaires donc plus de criminalité et plus d'africains.

    Le seul truc qui me chiffonne, c'est qu'il y a toujours plus d’impôts.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:12 PM)
    Un grand homme, dans tous les sens du terme.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:14 PM)
    Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse : le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.



    Le Figaro :



    Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.



    En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.



    Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.



    À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).



    Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.



    Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.



    Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.



    voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php

    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:15 PM)
    la sélection naturelle à l'état pur, rien de dérangeant au contraire, les nègres se tapent les fins de séries "blanches" déjà en fin de course (la trentaine bien passée) je sais même pas si ce tromblon peut encore enfanter un humanoïde non trisomique.
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:16 PM)
    Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse : le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.



    Le Figaro :



    Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.



    En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.



    Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.



    À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).



    Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.



    Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.



    Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.



    voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
    {comment_ads}
    Auteur

    Nts

    En Août, 2018 (14:16 PM)
    Bien Dit!!
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:18 PM)
    Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse : le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.



    Le Figaro :



    Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.



    En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.



    Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.



    À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).



    Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.



    Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.



    Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.



    voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:18 PM)
    Elhadj Diouf vient écouter Gorgui Sy Dieng...

    Machallah !

    J'adore l'humilité de ce gars !!! Yallah doli soutoureu... :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo: 
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:21 PM)
    Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.







    Le Figaro :







    Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.







    En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.







    Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.







    À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).







    Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.







    Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.







    Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.







    voici le lien de l'article ---http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php ----
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:24 PM)
    Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse : le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.



    Le Figaro :



    Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.



    En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.



    Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.



    À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).



    Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.



    Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.



    Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite.



    voici le lien de l'article http://www.lefigaro.fr/sciences/2018/08/30/01008-20180830ARTFIG00178-un-ver-parasite-tropical-urogenital-introduit-en-corse-en-2013-pourrait-encore-sevir.php
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:28 PM)
    En avant les nègres!
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:28 PM)
    Après la bactérie dévoreuse de vagins, voici le dernier apport culturel des nègres en Corse : le ver rongeur de vessie qui pond dans l’organisme des quantités énormes d’oeufs.



    Le Figaro :



    Un ver qui colonise les parois de la vessie avait contaminé en 2013 plusieurs centaines de personnes qui s’étaient baignées dans la rivière du Cavu. Le foyer n’est pas officiellement éteint et une autre rivière, la Solenzara, pourrait être touchée.



    En 2014, la Corse fut à l’origine d’une étonnante épidémie de bilharziose. Peu connue en Occident, cette pathologie tropicale est la deuxième maladie parasitaire dans le monde, derrière le paludisme. Elle toucherait environ 300 millions de personnes dans le monde et ferait entre 200.000 et 250.000 morts chaque année, bien qu’elle soit facile à traiter. Elle ne touche toutefois d’ordinaire que l’Afrique (85% des cas), l’Amérique du Sud et l’Asie.



    Quelle ne fut pas la surprise des chercheurs de Perpignan, spécialistes de la maladie, lorsqu’ils furent indépendamment contactés par un médecin allemand, puis un autre, français, à quelques jours d’intervalles, début 2014 pour des signalements étranges de bilharziose chez deux enfants qui n’avaient jamais quitté l’Europe. L’enquête permit d’établir une origine commune à la maladie: la rivière du Cavu, en Corse du Sud.



    À l’origine du mal, des larves du ver Schistosoma haemotobium* vivant dans l’eau douce. Celles-ci ne mesurent que 350 microns et peuvent pénétrer de façon parfaitement discrète et indolore par les pores de la peau. Elles se logent alors dans les vaisseaux sanguins qui tapissent les parois de la vessie, deviennent adultes, copulent et produisent des œufs. Ces derniers sont dotés d’un petit éperon qui leur permet de perforer les capillaires sanguins pour se retrouver dans les urines (c’est d’ailleurs ce phénomène qui est à l’origine de l’un des symptômes les plus caractéristiques – mais pas systématiques – de la maladie: la présence de sang dans les urines).



    Une fois relâchés, ces œufs donnent des larves qui doivent trouver un deuxième hôte, un escargot d’eau douce appelé bulin, pour compléter leur cycle de vie. Elles s’y multiplient par clonage, dévorant petit à petit le mollusque, pouvant ainsi relarguer jusqu’à 100.000 clones dans le cours d’eau où elles se trouvent. Ces larves ont ainsi la possibilité de trouver coloniser un nouvel être humain, et ainsi de suite.



    Deux questions se posent alors: comment les larves sont-elles arrivées là? Le parasite a-t-il réussi à se maintenir et à boucler son cycle de vie de façon pérenne? La réponse à la première est presque triviale: une personne infectée par le parasite a uriné dans l’eau de la rivière durant l’été 2013. La rivière étant naturellement peuplée de bulins, une larve au moins a réussi à pénétrer un mollusque pour s’y développer.



    Les analyses génétiques préliminaires pointent vers une origine SENEGALAISE du parasite!



    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:39 PM)
    Tres fier de toi Gorgii

    Tres souvent ici aux USA nous rencontrons des gens qui nous demandent de quel pays nous sommes

    Quand j ai une fois répondu SENEGAL, le Monsieur qui venait de KENTUCKY était fou de joie

    Il paraît que vous retournez souvent les voir dans leur faubourg puisque vous êtes leur fils adoptif.

    Que DIEU vous protège,vous faites une fierté

    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (14:55 PM)
    walahi, voici la raison d'éduquer les enfants dans la bonne voie religieuse.

    contrairement à certains de nos footballer ou c'était les filles, le sexe, l'alcool ...

    franchement, mashallah , qu'Allah t'accompagne;
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (15:04 PM)
    Macky comme Staline Macky comme Mao tous les 2 brimaient, opprimaient leurs peuples au prix du "socialisme" ou du "communisme" ( les massacres de la place Tian'anmen, la répression féroce par Staline de l'opposition, l'exil de Trotsky, son exécution à Mexico par un nervis de Staline). Macky n'est réellement pas un démocrate. Il dit qu'il est social libéral, moi je trouve que c'est c'est un néo-stalinien tortionnaire dans la stratégie de conservation du pouvoir, néo-libéral dans la politique économique. Macky ne connait le centralisme démocratique dans un parti, il décide les autres exécutent. Il demande l'avis de ses collaborateurs mais n'en tient souvent pas compte il décide seul. Il faut dire qu'il est entouré par des brebis gaeuses très nombreuses. Pour Macky ce qui est important c'est de surtout pas s'opposer à lui. Il a le même esprit que les dictateurs, la seule différence avec les dictateurs au sens classique, au Sénégal on ne tue pas directement on ne torture pas directement, c'est plus fin plus subtil plus hypocrite mais au final tout aussi efficace que les dictatures des pays de l'est ou d'Amérique du sud. Macky est à l'aise dans ce système néo stalinien. Il pavoise, dès qu'il y a un qui bouge il l'enferme et fait marcher l'armada judiciaire. Il faudrait que le peuple voir l'opposition soit plus vicieux et l'affronte sur tous les fronts en même temps pour le déstabiliser à l'effigie d'une bombe à défragmentation qui n'arrête pas de pétarader et qui fait des bruits assourdissants à répétition constante comme lorsqu'une bande de lycaon chasse une proie en faisant des relais puis en l'encerclant. Il faudrait chasser Macky comme une proie. LA CHASSE AU SANGLIER POUR MACKY EST OUVERTE. ORGINISONS UNE BATTUE PERMANENTE POUR MACKY.

    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (15:30 PM)
    L’Afrique a été créé pour les Blancs. Il n’y a qu’eux qui comprennent son potentiel et le profit à tirer par l’exploitation des ressources rares. Le nègre n’est que la main d’oeuvre utile à l’exploitation de ces ressources. Rien n’est plus évident que cela.

    Le nègre est, toute sa vie, un enfant de 6 ans d’âge mental.



    Si on veut lutter efficacement contre ces parasites de sales nègres, il y a un petit truc bien efficace : couper toutes les aides sociales.







    Plus aucun euro dans la poche des immigrés légaux ou illégaux, ou descendants d'immigrés.

    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (15:33 PM)
    Les nègres puent, on peut le constater à chaque fois qu'on en croise, et qui dit odeur dit bactéries, ces animaux émettent des bactéries en permanence, ils infectent l'atmosphère Mais alors la puanteur des nègres je supporte pas c'est au dessus de mes forces. C'est vraiment immonde surtout les grosses négresses obeses en boubou.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (16:02 PM)
    Souleymane Ndéné Ndiaye a un appartement au Maroc à Agadir c'est la bas qu'ils amène les Filles. Je vais cité les nom dans mon prochaine LIVE... walahi réserve ak

    abstinence diekhna. Leup lay wakh comme ça wakh dji fin beneu yone.

    Ton père Mamadou Birame Ndiaye fils de Birame Ndiémé Niakhana Ndiaye et de Coumba Daga Mbodji t'es grands parents ne son pas fière de toi imbécile binga done.

    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (16:26 PM)
    Le simple fait pour une femme blanche d'entretenir des relations avec des nègres montrent le peu de valeur qu'elles possèdent ainsi que l'absence totale de discernement et d'une quelconque loyauté envers les siens







    les nègres ces déchets biologiques sont non seulement une menace à notre existence de par leurs capacités à pondre des petits negros mais aussi à cause de leurs capacités à démoraliser les jeunes hommes blancs et à encourager leurs amies à suivre leurs exemple.







    Si vous voulez que votre peuple puisse survivre la moindre des choses est de detruire les nègres! par tout moyen !







    vive la race blanche vive le duce salvini







    Ecoutez bien bande de bamboulas sales negros puants crasseux gratteur de la CAF (caisse pour africains fainéants)



    Fwance ça y en a être pays pour blanc...



    vous y'en a partir maintenant dans cocotiers



    Euwope y'en a marre des negwes







    vous y'en casse les couilles aux maitres vous y'en a pas bienvenu ici.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (16:28 PM)
    kougna mamaw bande de sales gronez
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (16:29 PM)
    mais ou est bail? cet enfoiré me manque :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (16:39 PM)
    .Le nègre est un être primitif et stupide, aisément circonvenu par des choses aussi élémentaires que de la danse à connotation sexuelle, des babioles brillantes ou la promesse d’une copulation avec des femelles.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (16:44 PM)
    un exemple :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (17:57 PM)
    Référence   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (18:49 PM)
    Il est vraiment interessant. Bonne continuation et bonne chance, Gorgui
    {comment_ads}
    Auteur

    La Senegalaise

    En Août, 2018 (20:01 PM)
    j aime bien l humilite de cet homme et sa generosite de plus son epouse a l air bien eduquee et modeste malgres sa beaute. Gorgui le jour que tu entreras en politique pour servir ton pays je serai la premiere a voter pour toi. Yalla nala yalla aar yow ak sa ndjabott
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2018 (23:42 PM)
    GORGUI SY DIEND FUTUR PRESIDENT DU SENEGAL
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2018 (00:39 AM)
    Thats rick pitino boy.lets go cardinals



     :emoshoot: 
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2018 (13:33 PM)
    Jaime sa simplicitei dal na tey na bravooo gorgui

    EMG
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2018 (15:26 PM)
    Mais il n'a rien gagne avec l'equipe nationale. Il ne se donne jamais a fond comme il le fait en NBA
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2018 (17:25 PM)
    Enough.
    {comment_ads}
    Auteur

    Kebstown

    En Septembre, 2018 (23:08 PM)
    simplicité hors paire. tres bonne continuation
    Top Banner

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email