L'international égyptien, Mohamed Salah, s'est blessé aux ischio-jambiers et a été contraint de rentrer à Liverpool pour se soigner. La star des Pharaons ne devrait faire son retour à la CAN que si l'Égypte se qualifie en finale, a déclaré son entraîneur à Liverpool Jurgen Klopp.
Face à cette mauvaise nouvelle qui touche son ancien coéquipier à Liverpool, Sadio Mané a fait part de sa compassion. "Je suis désolé pour Mohamed Salah, car son souhait est d'aider son équipe. Malheureusement, ça fait partie du football. Ce n'est pas son souhait (de quitter la compétition) car il veut donner le meilleur à ses supporters. Mais c'est le foot, il faut compter avec ça. Moi aussi, j'ai été blessé avant la Coupe du monde", a déclaré l'international sénégalais.
Cependant, en publiant la vidéo de la réaction de Sadio Mané, le média français RMC Sport a ajouté des séquences de rires, comme pour faire croire que Sadio Mané n'imagine pas un mot de ce qu'il dit et qu'il est plutôt content de la blessure de son ancien coéquipier à Liverpool. Ce qui n'a pas plu à plusieurs personnes qui ont attaqué le média français.
Dans l'espace commentaire, RMC a, en effet, été très critiqué et certains ont demandé que la vidéo soit retirée pour ne pas créer des tensions entre Africains. Ce que le média n'a pas encore fait.
6 Commentaires
Mamadou Pane
En Janvier, 2024 (15:15 PM)Défenseur
En Janvier, 2024 (15:20 PM)Hé!
En Janvier, 2024 (15:22 PM)Le compte qui a publié ce montage vidéo n'est pas certifié. Puisqu'il n'y a pas le symbole bleu sur son profil, contrairement à celui du @chamoisniortaisfc et à celui du @leparisien_psg visibles en bas de la publication Instagram.
Dans une série d’articles, « Le Monde » dévoile les notes de Claude Palmero, ex-administrateur de biens du prince Albert, resté en poste pendant plus de vingt ans avant d’être évincé en 2023. Le contenu de ces cinq cahiers est explosif et montre l’envers du décor du micro-Etat.
Il arrive encore à Claude Palmero, silhouette émaciée et visage grimaçant, de courir sur les hauteurs de La Turbie, un parcours avec une vue imprenable sur la principauté de Monaco. Mais, en plein effort, de noires pensées traversent parfois l’esprit de cet homme de 67 ans, ex-administrateur des biens (ADB) de la famille souveraine, désormais collaborateur déchu, renié et même maudit. A-t-il suffisamment vérifié ses arrières, pensé à emprunter un itinéraire différent ? « Je ne suis pas parano, souffle-t-il, mais il m’a été dit : “Vous savez que vous combattez beaucoup de gens très puissants, on en a descendu pour moins que ça.” »
Ce personnage de l’ombre, corseté par sa loyauté à Monaco et désireux de ne pas se mettre en danger, Le Monde l’a rencontré à plusieurs reprises. Lui qui déteste s’exprimer publiquement prend soin de peser ses mots et se méfie du téléphone – il ne répond plus que sur un portable néerlandais. Pour aborder son histoire, sept mois après son éviction, il a fallu gagner sa confiance, consulter de nombreux documents, vérifier ses dires auprès d’autres témoins, dont l’ami de toujours du prince Albert II de Monaco, l’avocat Thierry Lacoste, lui aussi en disgrâce.
Alors qu’il défie la toute-puissante famille Grimaldi, qui règne sans partage ni opposition sur le micro-Etat le plus riche du monde, Claude Palmero en vient à se demander s’il a bien fait, le 10 janvier 2001, de succéder à son père, lequel était, déjà, l’ADB du prince
Juste des envieux
A nous africains de nous mettre en valeur
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