La ministre Ngoné Ndoye ne perd guère son temps. A peine quatre mois après sa nomination le 10 mai comme gestionnaire du portefeuille des Sénégalais de l’extérieur, elle déroule une vaste ambition.D’une gestion participative à la rupture des pratiques de vie des Sénégalais de la diaspora pour un apport conséquent dans le tissu économique du Sénégal, la ministre Ngoné Ndoye brûle d’impatience de voir émerger un nouveau type d’émigré.Cette impatience va jusqu’à projeter un conseil présidentiel sur les Sénégalais de l’extérieur qu’elle entend soumettre au président.Au cours d’un bref séjour au Canada, la ministre Ngoné Ndoye évoque les grandes lignes de sa politique pour ses compatriotes établis à l’étranger.
Wal Fadjri : La récurrence des maux des Sénégalais de l’extérieur revient comme des litanies. On a l’impression que, finalement, l’Etat affiche une incapacité à répondre positivement aux préoccupations de la diaspora ?
Ngoné NDOYE : Les Sénégalais de l’extérieur sont eux-mêmes le problème fondamental ; c’est un flux migratoire qui ne dépend pas des mêmes choses, qui ne date pas de la même période et qui ne vise pas les mêmes objectifs. Les Sénégalais vont à l’extérieur pour des raisons différentes. Il y en a qui sont sortis pour faire des études ; d’autres sont sortis après avoir étudié et travaillé au Sénégal pour aller renforcer ou offrir leurs capacités ; d’autres ont quitté le Sénégal après avoir travaillé jusqu’à la retraite ; juste en dernière année (ils) ont migré pour faire autre chose. Mais l’émigration, c’est toujours le moi, c’est personnel. D’autres sont partis parce qu’ils n’ont pas trouvé leurs voies au Sénégal, c’est ce qu’on appelle souvent les ‘Modou-Modou’ ; ils émigrent souvent à partir de 15 ans jusqu’à l’infini. Traiter les problèmes de ces différentes personnes, sans oublier les femmes qui sont parties retrouver leurs époux ; d’autres qui, après avoir été étudiantes, ont préféré rester à l’étranger. Et il y a une autre catégorie constituée de la crème sénégalaise qui travaille dans les institutions internationales affectés par le pays ou partis par postulats personnels. Cela fait une mayonnaise qui ne dit pas la même chose et qui ne veut pas la même chose et qui ne s’oriente pas de la même manière.
Que faut-il faire pour que cette mayonnaise prenne ?
L’exemple que je donne est simple. Il y a des Sénégalais qui tous leurs problèmes, c’est comment faire pour valoriser leurs diplômes à l’extérieur, leur permis de conduire ; comment signer des conventions internationales pour qu’ils puissent avoir droit à leur retraite. Il y en a d’autres qui se soucient de l’obtention de papiers, d’autres du transfert de leur argent, et certains d’habitat. Seulement, c’est lors du symposium de 2001 où on a pu donner la parole aux Sénégalais de l’extérieur que ces derniers ont eu le courage de dire leurs priorités. Je pense quand bien même qu’on a un peu défriché, on a mis une base de travail. L’essentiel des Sénégalais de l’extérieur a besoin d’être quantifiés pour commencer. Mais nous ne savons combien ils sont. C’est important que tous les Sénégalais puissent se faire immatriculer dans les consulats, se faire recenser pour nous permettre de savoir combien ils sont. C’est important qu’ils se regroupent dans des fédérations ou des associations de fédérations dans les pays d’accueil. Pour les protéger, il faut que nous soyons en relation directe avec eux par nos bureaux décentralisés. Que ça soit les bureaux d’appui aux Sénégalais de l’extérieur dans les régions, au port, à l’aéroport et aux frontières, mais aussi les bureaux dans les différents consulats.
Ce que nous avons proposé au président de la République qui a donné son accord de principe, c’est de permettre à ces bureaux d’exister réellement en les budgétisant et en leur dotant de ressources. Il y a ce problème récurrent du logement. Le président de la République a lancé l’initiative ‘Un toit et une ferme’ pour les Sénégalais de l’extérieur. Un toit pour s’abriter parce qu’ils ont eu toujours un problème d’orientation de leur argent qui a été souvent détourné par leurs propres familles au détriment des maisons qu’ils avaient demandées. Le président a mis en place une direction de l’Habitat des Sénégalais de l’extérieur qui offre à ceux-ci le terrain, les Vrd et les promoteurs pourront construire les maisons qu’ils pourront payer. Le président a acheté une ferme pour un retour à l’agriculture. La quête de l’autosuffisance alimentaire passera aussi par l’engagement des Sénégalais de l’extérieur qui ont une certaine expérience, entre autres, en matière de culture sous serres pour ne pas parler des Sénégalais vivant en Espagne, et cela doit être valorisé pour le compte du Sénégal. Le président a aussi parlé de créations d’entreprise. Parce que ceux qui vivent en zones urbaines doivent pouvoir avoir des entreprises de développement pour aider les Sénégalais à s’imprégner de leur savoir-faire. Parce qu’émigrer, c’est apprendre chez l’autre ; c’est aussi appliquer son besoin d’expansion et d’épanouissement, sa pensée.
‘Ce qui reste, c’est de divorcer économiquement avec cette habitude que tous les Sénégalais ont de mettre leur argent dans le béton et le ciment, mais au moins de créer des Petites et moyennes entreprises.’
Le diagnostic a été fait lors du symposium de 2001, il reste à traduire les nombreuses initiatives prises. On attend de vous que vous puissiez porter de votre empreinte la solution des problèmes des Sénégalais de l’extérieur. Quelle sera alors la définition de vos actions ?
Gestion participative. Aujourd’hui, il faut donner la parole et l’initiative aux Sénégalais de l’extérieur où qu’ils se situent dans le monde pour bénéficier de toute l’expertise, de toute la banque de données qu’ils ont capitalisées. Et ce, pour permettre au Sénégal de décoller économiquement, parce que les infrastructures sont faites, la coquille est en train d’être formée par le président de la République. Il faut l’accepter, le président a investi dans l’éducation, de la case des tout-petits au sommet de l’éducation, dans la justice, dans l’ossature même du Sénégal. Ce qui reste, c’est de divorcer économiquement avec cette habitude que tous les Sénégalais ont de mettre leur argent dans le béton et le ciment, mais au moins de créer des Petites et moyennes entreprises.
Jugez-vous aujourd’hui de la nécessité d’aller à la rencontre de tous les Sénégalais de la diaspora pour les écouter et s’imprégner de leur réalité pour ensuite tenir d’autres assises pour réactualiser le symposium de 2001 ?
En fait, je profite des missions officielles pour rencontrer les Sénégalais de l’extérieur. Je suis partisane du moins-disant (rires). Je ne veux pas beaucoup investir pour joindre ma cible. Chaque fois qu’il y a une mission à l’extérieur, j’en profite pour rencontrer les Sénégalais. Mais mon ambition est d’aller vers un conseil présidentiel que je cherche à proposer la tenue au chef de l’Etat et au Premier ministre. Ce conseil présidentiel s’articulera sur le besoin des Sénégalais de l’extérieur, mais en permettant à ceux-ci à travers nos ambassades, nos consuls, et le Conseil sénégalais de l’extérieur et les dirigeants de grandes associations de discuter avec le président de la République autour d’une table pour que les points phares qui constituent leurs préoccupations puissent être abordés.
Comment transférer leur argent ? Comment créer une mutuelle d’épargne en vue d’une banque ? Comment accéder à l’habitat par une fondation pour le retour qui va financer ce programme ? Comment utiliser le savoir-faire des Sénégalais de l’extérieur en ayant des vacances citoyennes de nos compatriotes de l’extérieur qui viendraient appuyer intellectuellement les cadres sénégalais, accompagner les décisions politiques nationales, par des ateliers…? Comment faciliter davantage le processus pour que les Sénégalais de l’extérieur puissent ouvrir des entreprises ? Si je prends l’exemple des nurseries, nous en avons besoin et nous avons aux Etats-unis un capital. Je peux prendre l’exemple des huileries que voudrait installer le docteur Maboussou Diagne ; un Sénégalais vivant en Afrique du Sud. A mon avis, il faudra aussi pousser les Sénégalais qui ont l’expérience en Europe de faire des plats tout faits pour appuyer le projet du président de la République Yakalma, pour que nos compatriotes en passant la journée au travail puissent avoir au moins un repas tout fait et bien propre.
500 milliards représenteraient annuellement les envois financiers de la diaspora, mais le problème, c’est qu’on ne ressent guère une telle manne financière dans le système économique. Pensez-vous pas qu’il y a urgence à s’arrêter sur ce point ?
Le problème, je vous l’ai dit, c’est que le Sénégalais n’investit que sur deux choses. Le manger tout de suite et la maison. Nous faisons trop de paraître. Tous ceux qui envoient cet argent, s’ils étaient au Sénégal, ils l’auraient trouvé puisqu’ils nourrissent leurs parents, leurs familles et leurs épouses avec. Ils ne le donnent pas à l’Etat. Je l’ai dit partout où je suis passée. C’est vrai que la diaspora envoie de l’argent, mais ce n’est pas une enveloppe qu’on donne à l’Etat. Notre rôle à nous (gouvernants) n’est pas de prendre cet argent, mais de permettre aux Sénégalais d’investir, de créer l’entreprise, de susciter l’entrepreneuriat et de fructifier cet argent plutôt que d’envoyer tous les mois de l’argent pour permettre à leurs parents restés au pays de se nourrir. L’alternative, c’est de fructifier cet argent et de se nourrir eux-mêmes.
‘Le Guide du Sénégalais de l’extérieur est en train d’être finalisé, le webside sera inauguré par le chef de l’Etat bientôt. Nous avons aussi pensé mettre deux lignes de téléphone pour écouter les Sénégalais de l’extérieur. Nous en avons qui sont seuls, qui sont dépressifs, qui errent dans les rues parce qu’ils ne savent pas à qui parler.’
Justement, beaucoup de Sénégalais de la diaspora ont tenté des expériences de création d’entreprises, mais souvent les obstacles au niveau de l’administration font qu’ils renoncent définitivement…
Je ne pense pas que l’administration sénégalaise soit un obstacle. J’ai dit à Washington, devant l’Association des Sénégalais de l’extérieur, que le problème de l’énergie pouvait être réglé par la diaspora. Ils auraient pu tous seuls, s’ils étaient organisés à travers une structure d’accueil comme une mutuelle d’épargne ou une banque, financer à la place d’autres structures bancaires l’énergie. Ils pourront ainsi valoriser cet argent et le faire fructifier en y bénéficiant en retour. Cela veut dire être actionnaires dans cette histoire d’énergie. Les Sénégalais de l’Extérieur ont beaucoup à apporter au financement de l’économie nationale.
Maintenant est-ce que cela revient aux autorités en place ? Mais les Sénégalais doivent avoir confiance à leur Etat. On ne peut travailler et habiter à l’extérieur et monter une entreprise au Sénégal au nom de son frère qui est au pays. C’est penser que l’Etat ne vous acceptera pas comme entrepreneur, ce n’est pas vrai. Le Sénégalais de l’extérieur, s’il investit au Sénégal, en montrant sa carte consulaire qu’il est à l’extérieur depuis longtemps, il est exonéré de beaucoup de taxes. Même à l’aéroport, au port, il a une exonération du ministère du Budget. L’Apix a mis en place des dispositions selon l’orientation du chef de l’Etat pour alléger toutes les charges d’investissement. Les Sénégalais de l’extérieur ne savent pas parce qu’ils ne vont pas vers l’Etat.
Le besoin d’informations se fait sentir, est-ce que l’Etat a mis en place des dispositifs à ce niveau ?
Ecoutez, l’Etat est seul et nous sommes multiples. Il y a plus de deux millions de Sénégalais à l’extérieur. La volonté doit venir d’abord des Sénégalais de la diaspora eux-mêmes. Je le dis partout, il faut que les Sénégalais aient confiance en leurs institutions. Le Guide du Sénégalais de l’extérieur est en train d’être finalisé, le webside sera inauguré par le chef de l’Etat bientôt. Nous avons aussi pensé mettre deux lignes de téléphone pour écouter les Sénégalais de l’extérieur. Nous en avons qui sont seuls, qui sont dépressifs, qui errent dans les rues parce qu’ils ne savent pas à qui parler. Sakh ak dignité font qu’ils ne peuvent pas parler à tout le monde. Nous allons mettre à leurs dispositions deux lignes de téléphone non stop où ils pourront parler à des personnes humaines, recevoir la chaleur, la solidarité et l’amitié qu’il faut.
Mais autant que nous faisons ces efforts, dès lors que ceux-ci ne sont pas encore mis en place, la moindre des choses, c’est que quand on vit à l’extérieur et qu’on sait que l’Etat du Sénégal existe à travers un ministère en charge de leurs questions, au moins demander en tapant le 1212 où se trouve ce ministère pour aller vers l’information. Je ne dis pas qu’on n’a pas vite fait de monter tout ça, puisque le ministère existe depuis 2001, mais nous sommes en 2011. Depuis dix ans des choses ont été faites. Mes prédécesseurs ont réalisé des choses. Moi je vais aller vers la concrétisation de certaines et mettre ma marque pour le reste. En attendant, ce que je voudrais demander, c’est que les Sénégalais aient l’habitude et la volonté d’aller vers leur Etat, vers l’Apix, l’ambassade où le consulat d’origine, au moins on pourra les orienter sur ce qui est prévu pour eux.
La représentativité au sein du Conseil des Sénégalais de l’extérieur fait beaucoup jaser… Certains décrient la gestion de la structure. Qu’en est-il exactement ?
Nous allons vers une réunion de bureau ; ce qui est statuaire cette année, parce quand même le Conseil est régi par des lois. La réunion est préparatoire de l’Assemblée générale prévue l’année prochaine. Au cours du Conseil présidentiel, le président de la République pourra leur dire lui-même qu’ils pourront postuler et se faire élire au niveau du nouveau bureau. Mais pour toute chose, il faut une étape transitoire, on ne peut pas se lever un beau jour et organiser des élections sur le néant. La réunion pourra décider de la date et que le président de la République lors du Conseil présidentiel que nous envisageons pourra s’adresser directement à eux et leur demander de se préparer pour les prochaines élections.
36 Commentaires
Waaaaaaaaaaw
En Août, 2011 (04:25 AM)Gass
En Août, 2011 (04:40 AM)Pastel Ci Jomm
En Août, 2011 (05:06 AM)les Emigres ne sont pas des mange-mil comme toi , le gacce de Rufisque !!!
Reply_author
En Juin, 2022 (13:11 PM)Zazumane
En Août, 2011 (05:29 AM)Oup
En Août, 2011 (05:45 AM)Ou bien tu veux qu'on western union nos envoies directement a Abdoulaye wade ?
Confiance
En Août, 2011 (05:55 AM)C'est une insulte de dire que si les sénégalais de la diaspora été reste au pays ils pourrais faire vivre leur famille c'est même un scandale.
Quand a vos consulats aller vers eux pour trouver de l'information ces impossible car il y as que des gens corrompue qui masse leur temps a faire de la politique et du ataya.
Ndary Dior
En Août, 2011 (06:39 AM)Wakh Deug
En Août, 2011 (06:41 AM)Ndary Dior
En Août, 2011 (06:56 AM)bonne chance
Latyr
En Août, 2011 (07:22 AM)Mme le ministre a de la suite dans les idées, personnellement, je partage le même avis que vous.
En tant que sénégalais de l'extérieur, je confirme que nos compatriotes n'investissent que sur la pierre, au lieu de créer de petites unités de transformation, en essayant d'apporter de la valeur ajoutée, en créant des PME ou PMI.
Je suis de tout coeur avec vous Mme N'goné N'doye, non seulement parceque vous avez de très bonnes idées, mais mon épouse s'appelle N'goné comme vous.
Bravo et bonne chance !!!
Merci,
Caxabal
En Août, 2011 (07:23 AM)porquoi les leaders de l'opposition ne prennent jamais l'innitiative de faire quelques choses
ils suivent que les actions du PRÉSIDENT ME WADE
POURQUOI ILS RESPECTENT PLUS LA COMMUNAUTÉ MOURIDE
POURQUOI BENNO EST DIVISER EN MORCEAU
POURQUOI MACKY SALL EST IDRISSA SECK NE PEUVENT PLUS S ENTENDRE
ET SI ON SAIT QUE MACKY SALL EST CANDIDAT POURQUOI BENNO NE PEUT PAS AVOIR CONFIANCE A SA CANDIDATURE
PEUT ÊTRE QUE BENNO TOUT RÉUNIE ÉVITE D ÊTRE HUMILIER PAR MACKY OU PAR IDY
Big
En Août, 2011 (07:25 AM)Immigré D'italie
En Août, 2011 (07:57 AM)Dams
En Août, 2011 (08:17 AM)Sangharé
En Août, 2011 (08:19 AM)Reply_author
En Juillet, 2022 (11:48 AM)Lopy
En Août, 2011 (08:21 AM)Reply_author
En Juin, 2022 (12:38 PM)Anoymant
En Août, 2011 (08:31 AM)Ameu
En Août, 2011 (08:33 AM)Alioune
En Août, 2011 (08:45 AM)Nobody
En Août, 2011 (09:26 AM)Walit
En Août, 2011 (10:20 AM)Ass
En Août, 2011 (10:29 AM)"_Le problème, je vous l’ai dit, c’est que le Sénégalais n’investit que sur deux choses. Le manger tout de suite et la maison."
mais li c des necesite premier on ne pas allez avec c probleme là...a vraie dire nous ne t'entandons vraiment
tu nous appeles a investir sur autre chose alors qu'on a des probleme de nouriture ou de losement ?
ne vous foutez pas des gens.....vs savez bien ce ke reclament les senegalais de la diaspora...et vs savez egalement l'importance qu'ils ont pour le pays
alors bayi len nit ñi nguen di tour leudam
je suis desolais mais fen dokhoul ci domaine yep nak.....pensez aux peuple svp sone naniou
et si vs liser mes ecris merci de mexplique pour le probleme des inscris a la liste electoral
qui se pose ici a bon antendeur
Ass
En Août, 2011 (10:41 AM)"_Le problème, je vous l’ai dit, c’est que le Sénégalais n’investit que sur deux choses. Le manger tout de suite et la maison."
mais li c des necesite premier on ne pas allez avec c probleme là...a vraie dire nous ne t'entandons vraiment
tu nous appeles a investir sur autre chose alors qu'on a des probleme de nouriture ou de losement ?
ne vous foutez pas des gens.....vs savez bien ce ke reclament les senegalais de la diaspora...et vs savez egalement l'importance qu'ils ont pour le pays
alors bayi len nit ñi nguen di tour leudam
je suis desolais mais fen dokhoul ci domaine yep nak.....pensez aux peuple svp sone naniou
et si vs liser mes ecris merci de mexplique pour le probleme des inscris a la liste electoral
qui se pose ici a bon antendeur
Jo
En Août, 2011 (11:05 AM)Ciaat
En Août, 2011 (11:24 AM)JE VOUDRAI VOUS DIRE LA SOLUTION DU PROBLEME SE TROUVE DANS UN DIALOGUE REEL ET UN DIAGNOSTIC PRECIS AVEC DES PERSONNES SéRIEUSES QUI D'AUTRES OCCUPATIONS QUE DE COURIR DERRIERE LES DELEGATION VENANT DU SENEGAL POUR REGLER DES INTERETS OPPORTUNISTES.
Azou
En Août, 2011 (11:35 AM)Badou77
En Août, 2011 (11:42 AM)Ngoné donc tu as finalement donné ton cul au vieux wade pour etre ministre. Car c'est ce qu'il réclamait pour te nommer. Awa diop en sais bien quelque chose.La première fois quend le vieux a dit cela elle s'était fachée mais par la suite elle a mis de l'eau dans son vin et a finalement accepté de jouer la facilitatrice entre wade et la future ministre
Ngoné donc tu as finalement donné ton cul au vieux wade pour etre ministre. Car c'est ce qu'il réclamait pour te nommer. Awa diop en sais bien quelque chose.La première fois quend le vieux a dit cela elle s'était fachée mais par la suite elle a mis de l'eau dans son vin et a finalement accepté de jouer la facilitatrice entre wade et la future ministre
Reuw
En Août, 2011 (12:46 PM)La Princesse
En Août, 2011 (14:06 PM)La Princesse
En Août, 2011 (14:19 PM)Loumaci Diakhal
En Août, 2011 (14:37 PM)Xxx
En Août, 2011 (14:52 PM)MARVEL, tu ne changeras jamais et c'est tellement vrai que pour ceux qui t'ont toujours suivi et continuent de te suivre savent que tu n'as qu'une seule arme de combat contre le régime libéral à savoir, le mensonge, la désinformation, la calomnie, la diffamation, l'intox voire la manipulation .
Malheureusement pour toi, les gens t'ont déjà identifié et situent ton appartenance politique, toi Mr NDOYE et ton prénom, je le garde pour une prochaine fois .
Pour tout te dire, les internautes sont habitué à tes frasques ou à tes histoires mensongères auxquelles personne ne croit !
Espèce de menteur fieffé ou invétéré né !
,
En Août, 2011 (15:34 PM)Kholy Der
En Août, 2011 (15:39 PM)Teuf
En Août, 2011 (17:35 PM)C Pas Serieux Seneweb
En Août, 2011 (18:45 PM)Participer à la Discussion