Jeudi 28 Mars, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Societe

MORT DE MALICK BA A SANGALKAM, LE 30 MAI DERNIER : Deux mois après l’affaire toujours au point mort

Single Post
MORT DE MALICK BA A SANGALKAM, LE 30 MAI DERNIER : Deux mois après l’affaire toujours au point mort

Ce samedi 30 juillet, cela fait exactement deux mois jour pour jour que le jeune Malick Ba a été abattu à Sangalkam par la gendarmerie. 60 jours après, l’affaire semble au point mort et l’enquête traîne, alors que l’accusé principal, le commandant Samba Sarr, a été recasé à Hann.

 

«Nous ne voulons, ni argent, ni rien d’autre. Tout ce que nous voulons, c’est la justice». Ces propos sont de Djibeyrou Ba, oncle de Malick Ba et porte-parole de la famille de ce garçon de 32 ans, marié et père de trois enfants (une fille de 7 ans et 2 jumeaux de 2 ans et demi), fauché par une balle de la gendarmerie nationale, le lundi 30 mai dernier, à Sangalkam, en marge d’une manifestation des jeunes de la Communauté rurale contre le découpage administratif de la localité, décidé par le régime libéral. 

Depuis que ce drame est survenu, une enquête a été ouverte par le procureur de la République et le dossier confié au Doyen des juges qui a eu d’ailleurs a auditionné la veuve de Malick, ainsi que plusieurs membres de sa famille. Mais, pour autant, l’enquête n’a pas permis d’aller vite dans ce dossier plombé par des interférences politiques. Deux mois jour pour jour après, c’est toujours ou presque le statu quo. Car bien qu’il y ait eu mort d’homme et que le présumé auteur du crime soit connu et identifié – il a d’ailleurs été auditionné par la Section de recherches de la gendarmerie - les choses avancent à pas de tortue dans ce dossier vicié par le dernier acte posé par le président de la République. Me Abdoulaye Wade qui a reçu une partie de la famille de Malick Ba (dont sa veuve, sa mère et son beau-père), à l’insu de ses frères et des autres membres de la famille, la veille de la commémoration du 40e jour de deuil, s’est en effet incrusté dans l’affaire ajoutant ainsi au malaise. Ce qui, avec cette politique de l’argent, a surtout occasionné un ralentissement de l’enquête judiciaire en cours et créé la division au sein de la famille Ba. 

Pendant ce temps, le présumé coupable, le commandant Samba Sarr, commandant de la Brigade de gendarmerie de Sangalkam au moment du drame, accusé par tous les témoins comme étant l’auteur du coup de feu qui a tué Malick Ba, vaque à ses occupations. Pourtant, tous les témoins des faits le pointent du doigt avec force détails, comme quoi il aurait épaulé une arme de guerre interdite en milieu urbain, un pistolet-mitrailleur HK 33, avant de faire feu et de tuer le jeune garçon. Le journal «L’As» révélait même dans son édition du mardi 14 juin dernier, soit moins de deux semaines après le drame : «le Commande Samba Sarr a été ‘recyclé’ à Hann comme commandant de Brigade, en remplacement du commandant Pape Diakhaté». 

 

SANGALKAM Quarante ans d’histoire et de vie commune entre les familles Ba et Guèye

 

Quarante ans d’histoire et de vie commune unissent les familles du défunt Malick Ba et d’Oumar Guèye, ex-Président de la Communauté rurale de Sangalkam dont le découpage administratif a suscité des manifestations des populations qui ont été fatales au premier nommé. Deux mois après ce drame, la famille de Malick Ba accepte de parler des liens «presque de sang» qui ont débuté avec les défunts Mamadou Ba et Malick Guèye, compagnons de toujours. 

 

Lundi 30 mai 2011, Malick Ba, 32 ans, tombait à Sangalkam, victime d’une balle d’un élément de la gendarmerie - c’est de l’arme du commandant Sarr, chef de brigade de la localité, qu’est sortie la munition mortelle. C’était en marge d’une manifestation des jeunes de cette communauté rurale contre le découpage administratif de leur terroir décidé par le chef de l’Etat et opéré par le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales. Deux mois après le drame, nous sommes retournés sur les «lieux du crime», pour en savoir davantage sur le défunt, sa famille et leurs liens avec celle d’Oumar Guèye, le président du Conseil rural dont le mandat a été écourté par le découpage administratif et l’installation d’une Délégation spéciale. Au détour d’une conversation sur l’histoire de cette famille peule à Sangalkam, Ousseynou Sow, un oncle (sa mère Fatimata Ba est la grande-sœur du père du défunt) de Malick Ba précise que «ce que beaucoup ignorent, c’est que la famille de Mamadou Ba n’est pas liée à celle de Oumar Guèye par la politique, l’argent ou quoi que ce soit d’autre du genre». Remontant l’histoire des relations entre ces deux familles, il insiste : «c’est presque des liens de sang qui nous unissent, tellement le compagnonnage entre le père de Malick et celui de Oumar Guèye a été long et fort. Dans ces liens entre les Guèye et les Ba, l’argent et la politique ne comptent pas pour nous. Et vous savez pourquoi ? Tout simplement parce que c’est la même famille dont il est question». Appelé à être plus explicite sur ces liens, Ousseynou Sow, avance que feus El Hadji Malick Guèye et Mamadou Ba ont vécu ensemble, sur ces terres de Sangalkam, pendant une quarantaine d’années. «Quand l’un voyageait, il confiait sa famille à l’autre. Et ils ont toujours tout partagé, de 1971, date de leur rencontre, jusqu’à ce que la mort les sépare, aux débuts de ce millénaire», raconte-t-il avant de préciser que «beaucoup ignorent que Malick Ba, qui est tombé sous les balles des gendarmes, porte le nom du père de Oumar Guèye. Et ça, Wade qui pense tout obtenir avec son argent doit savoir qu’il ne peut pas l’effacer, ni l’acheter». Une allusion aux 7 millions de francs que le chef de l’Etat a remis à une partie de la famille de Malick Ba, lors d’une audience au Palais, le vendredi 8 juillet dernier, veille du 40e jour du décès du jeune homme. Une audience qui a semé la division au sein de la famille et y a jeté le trouble. «On ne veut pas d’argent, ni rien. Tout ce qu’on veut, c’est la justice. Car le sang de notre fils ne peut pas être racheté avec de l’argent. On dit que Wade a remis 7 millions. Mais ces millions, c’est Vieux Sow, un de nos oncles que moi je n’ai jamais vu, qui les a reçus. Ce Vieux Sow est un militant du Pds qui vit à Keur Momar Sarr, à Louga. Je connais tous les membres de la famille de Mamadou Ba, mais ce Vieux Sow, je ne l’ai jamais rencontré de ma vie. J’entends juste parler de lui au sein de la famille. D’ailleurs, lors du décès de Malick Ba, il n’est pas venu ici présenter ses condoléances», indique-t-il. Et d’ajouter : «La première fois que j’ai pu mettre un visage sur son nom, c’est en regardant la télévision, au sortir de leur audience avec Abdoulaye Wade. C’est vrai que, depuis plusieurs décennies, on a quitté Sangalkam pour nous installer du côté de Cambérène, mais n’empêche, on est toujours ensemble. Mais lui, il n’a en réalité jamais fait partie de cette famille. Il vit loin de nous, dans la région de Louga», dit Ousseynou Sow. Toujours à propos de cette audience, il précise : «Cette histoire, on y a embarqué la mère de Malick et sa femme. On leur a fait croire qu’il était question d’aller s’occuper des papiers pour les enfants de Malick. Et nous savons aujourd’hui que c’est Néné Dia, une cousine qui habite à Ngougoum, vers Bambilor, et qui est aussi responsable du Pds là-bas qui est derrière. Elle a tout préparé avec Vieux Sow. Ils ont monté ensemble le coup et la malheureuse Lémou Ba, la maman de Malick, et sa femme Coumba Fall sont tombées dans le panneau. Car n’ayant rien compris à l’affaire. Elles ont été piégées et d’ailleurs même l’argent dont on parle, elles ne l’ont ni vu, ni reçu. D’autant qu’elles n’ont pas signé un seul papier là-bas. Elles ont été piégées (il répète). Même le père de Coumba Fall qui est parti, il a été mené en bateau». Selon Ousseynou Sow, «les seuls habilités à parler et agir au nom de la famille de Malick Ba, c’est son frère aîné Aly Ba qui s’occupe du dossier, et son oncle Djibeyrou Sow, qui est le porte-parole de toute notre famille depuis plus de 25 ans maintenant. Personne d’autre ne peut parler au nom de notre famille. Depuis toujours, c’est Djibeyrou qui est aussi chef de quartier à Sangalkam, qui parle au nom de cette famille. C’est Mamadou Ba qui lui a confié cette tâche. Il gère tout dans cette famille. Même du temps du vivant de Mamadou Ba, père de Malick Ba, c’est lui qui s’occupait de tout : mariages, décès, baptêmes, tout est entre ses mains. Dans ces conditions, comment peut-on dire que la famille de Malick Ba a été reçue par le Président sans que Djibeyrou n’y soit présent ou au courant ? Il y a problème donc». Pour Ousseynou Sow, cette affaire n’est donc pas une question politique ou à politiser. «Pour nous, il est question de la perte d’un être cher, d’un fils. Et qui sait ce que c’est la douleur de perdre un fils, un être cher, doit savoir que ni la politique ni l’argent n’ont à faire dans ce dossier. C’est plutôt de justice dont il est question. Car Malick n’est pas mort de mort naturelle, dans son lit. Il a été abattu gratuitement, sans justification, par un officier de la force publique. Il a droit à une justice libre et équitable. Il ne saurait être question pour nous d’accepter que cette mort passe pour pertes et profits. Nous voulons la justice. Nous réclamons justice. Rien de plus, rien de moins». 

 

BINTA SOW, TANTE DE MALICK BA «El Hadji Malick Guèye, père d’Oumar Guèye, était l’homonyme et le parrain de Malick Ba» 

 

«Entre mon oncle Mamadou Ba et son frère El Hadji Malick Guèye, c’est plus qu’une simple histoire de voisinage. C’était à la vie à la mort. Car ils ont vécu ensemble près de 40 ans et son presque morts ensemble». Ces mots de Binta Sow résument presque la totalité de la relation particulière qu’entretiennent les familles Ba et Guèye de Sangalkam. En effet, renseigne Binta Sow, tante de Malick Ba - sa mère Fatimata Ba est la sœur aînée de mêmes père et mère de Mamadou Ba – les deux familles ont vécu ensemble 40 ans, partageant bonheur et malheur. «Mon oncle Mamadou Ba est arrivé ici, vers la fin 1971. Il a trouvé ici à Sangalkam un certain El Hadji Malick Guèye. En ce temps, il n’y avait ici que des champs que cultivait Malick Guèye. Et là où se situe aujourd’hui la demeure de la famille de Mamadou Ba, il y avait en ce temps ici un ‘mbaar’ (un abri) qui servait au cheval de Malick Guèye. C’est à cet endroit que Mamadou Ba s’est installé lorsqu’il est arrivé et y a édifié sa case. Cette case, quand la mère de Malick Ba est venue retrouver le foyer de son mari, c’est là qu’elle est entrée», explique Binta Sow. Les traits tirés, le visage meurtri par la douleur d’avoir perdu celui qu’elle appelait son fils, Binta Sow confie qu’en réalité, c’est El Hadji Malick Guèye, père d’Oumar Guèye, actuel président du Conseil rural de Sangalkam (du moins jusqu’au dernier découpage administratif qui a vu l’installation d’une Délégation spéciale dans la localité) qui a été le premier occupant de cette partie de Sangalkam. Il y a été rejoint par Mamadou Ba. «En ce temps, m’a rapporté mon oncle, il n’y avait rien ici, si ce n’étaient des champs. Pour prier, comme il n’existait pas de mosquée, ils parcouraient tous les deux une longue distance pour trouver une mosquée. Finalement, ils ont demandé à El Hadji Thioudoum, chef du village de Niague, l’autorisation de mettre une mosquée. L’imam d’alors, un nommé Chérif Ba et le chef de village leur ont donné l’autorisation de créer une petite mosquée. Et ce lieu de prière est toujours-là, juste devant la maison de Mamadou Ba», indique-t-elle. Poursuivant, elle souligne : «A cette époque, jusqu’à Niague, il n’y avait pas de maisons. Il n’y avait là que des champs, dont ceux de Malick Guèye. Il n’y avait que la maison de Malick Guèye et la case de mon oncle. S’étant lié d’amitié avec mon oncle, Malick Guèye l’a aidé par la suite à ériger un bâtiment sur l’espace qu’il lui avait cédé. Ils ont vécu seuls dans le quartier pendant 5 ans avant que d’autres ne viennent les rejoindre et que le village ne se développe». «C’est chez son homonyme Malick Guèye que Malick Ba a appris le Coran» Remontant le fil de l’histoire, elle raconte que depuis lors, les familles Guèye et Ba vivent ensemble. «Tous les enfants de Mamadou Ba sont nés là, devant Malick Guèye. Quand El Hadji Malick Guèye voyageait, il disait à Mamadou Ba : ‘la maison est là, je te confie la maison avec la famille, car c’est ta famille’. Pour vous dire, Malick Ba, c’est chez son homonyme Malick Guèye, qui était aussi son parrain, qu’il a appris le Coran, dans sa maison même, avec ses enfants», révèle Binta Sow. Elle ajoute : «compte tenu de ces liens, après la mort de Malick Ba, Oumar Guèye est venu ici et a dit à la mère de Malick Ba qu’il aurait préféré que ce soit lui qui meurt, plutôt que Malick en qui il voyait son père. Car étant l’homonyme de son père, il lui vouait la même affection qu’il avait pour celui-ci qui est décédé à La Mecque, lors de son deuxième pèlerinage, il y a quelques années». S’attardant sur l’étape du pèlerinage aux lieux saints de l’islam, Binta Sow indique que la première fois, déjà, lorsqu’il partait à La Mecque, El Hadji Malick Guèye était venu voir Mamadou Ba pour tout lui confier. «Il a donné à mon oncle ses affaires, ses livres de Coran et lui a dit : ‘garde tout jusqu’à mon retour’. Et si je ne reviens pas, donne ça aux enfants. Puis, il est parti. A son retour, mon oncle a attendu deux à trois semaines, le temps qu’il récupère bien, pour se présenter devant lui avec tout ce qu’il lui avait confié. Il lui a tout remis. Pour son second pèlerinage aussi, avant son départ, El Hadji Malick Guèye était revenu voir Mamadou Ba pour lui dire : ‘Je m’en vais à La Mecque. Je ne sais pas si je vais revenir ou pas. Dieu seul sait. Mais je te confie la famille, comme je l’ai toujours fait’. Et Dieu a fait ce qu’il voulait. Depuis lors, et jusqu’à son décès quelque temps après, en 2002, Mamadou Ba, n’a pas failli. D’ailleurs, quand Oumar Guèye a voulu se lancer dans la politique, bien des années après son retour de France où il était parti étudier, il est venu voir mon oncle Mamadou Ba pour lui demander sa bénédiction». 

Soulignant que Lémou Ba (mère de Malick) et sa coépouse Khady Ba n’ont jamais échangé le moindre mot mal placé et ne se sont jamais disputées, elle révèle une autre facette de cette histoire de 40 ans entre les Guèye et les Ba. «Vous savez, le fait de donner le nom de Malick Guèye à son fils, Mamadou Ba y tenait pour montrer à quel point entre Malick Guèye et lui, c’était plus qu’une simple amitié ou une relation entre voisins. Il disait que Malick Guèye, c’était son frère jumeau. Son fils aîné, Mamadou Ba lui a donné le nom d’Ousseynou, mon jeune frère. Ensuite, il a dit que son second fils porterait le nom de son frère El Hadji Malick Guèye. Mais Dieu a fait qu’il a eu une fille qu’il nomma Amy. Puis, il a eu un garçon et il a tenu sa promesse en l’appelant El Hadji Malick Guèye. Tout ça, pour vous montrer qu’entre ces familles, c’est plus qu’une affaire de voisins ou de Wolof et Peulh. C’est encore plus fort que ça. C’est un lien de sang qui dure depuis presque 40 ans». Persistant à montrer ce lien, elle clame : «Je puis vous garantir qu’Oumar Guèye sait des choses sur notre famille et sur nous que certains membres de cette même famille ne savent même pas. Parce que le cheminement ne date pas d’aujourd’hui». Et Binta Sow d’ajouter que, comme son père, Oumar Guèye fait tout avec la famille Ba. Pour autant, dit-elle, «Malick Ba lui n’a jamais été intéressé par la politique, en dépit du fait qu’Oumar Guèye était au cœur de la politique de Sangalkam. Lui, Malick, n’avait que sa truelle et sa foi. Car les seules fois où il sortait de sa maison sans que ce soit pour aller au travail, c’était pour les soirées religieuses ‘Gudy Aljumaa’. Et c’est pour tout ça que nous demandons justice. Si justice ne nous est pas rendue, nous saurons que nous ne sommes pas considérés comme des Sénégalais». 



14 Commentaires

  1. Auteur

    Young Girl

    En Juillet, 2011 (15:57 PM)
     :-D 
    Top Banner
  2. Auteur

    Afo

    En Juillet, 2011 (16:19 PM)
    ALLAH REEUBEUNA KOU YEEW FIITINNA
    {comment_ads}
    Auteur

    Afo

    En Juillet, 2011 (16:22 PM)
    S IL VOUS PLAIT NE FAUT JAMAIS REVEILLE LE MOUSIBA
    {comment_ads}
    Auteur

    Couz

    En Juillet, 2011 (16:23 PM)
    waly ba poulo dieri, ton commentaire es plein de sens. quand j ai lu le texte du journaliste j ai eu honte en tant que wolof. j avais les larmes aux yeux. le coeur plein. ces deux familles nous montrent que des que tu sors de dakar, tu retrouve la simplicite des gens du monde rurale, leur bonte, loin de l argent de la luxure ou tout es valeur.

    tout senegalais reste mon frere. Je vois pkoi les autres pays nous depassent maintenant de loin.
    {comment_ads}
    Auteur

    Omzo

    En Juillet, 2011 (16:38 PM)
    YEN A MARRE DES POLICIERS CORROMPUS DU GENRE DE DAHA NDIAYE EN SERVICE AU ROND POINT DE CASTORS YEN A MARRE YEN A MARRE YEN A MARRE
    Top Banner
    Auteur

    D.

    En Juillet, 2011 (16:49 PM)




    Au nom de tous les Malick BA



    il faut que les





    WADE DEGAGENT !!!!!!!!!!!!!!!





    SENEGALAIS, INDIGNONS-NOUS !!!!!!!!!!!!!!
    {comment_ads}
    Auteur

    Linguére

    En Juillet, 2011 (16:57 PM)
    Peu probable que justice soit rendue par ce régime.



    Regardez ce qui s'est passé à Diakhao : Iis destituent l'équipe élue à 67% par la population et la remplace par une délégation composée de membre du PDS battu lors de ces memes élections locales.



    Heureusement que Dieu est le Meilleur des Juges

    {comment_ads}
    Auteur

    El

    En Juillet, 2011 (20:05 PM)
    C est une honte pour le Sénégal de voir un policier entrain d etre radié de la police en guinée du fait qu il a tué un sénégalais. Alors que chez nous on ésséye de caché un gendarme qui a tué. Vraiment je sais pas quel genre de démocratie on vie.
    {comment_ads}
    Auteur

    Seenegal Justice

    En Juillet, 2011 (21:40 PM)
    ce soidisant comendant au monde de l'enfer doit etre tue par la population,sans hesite,le plus rappidement possible,brule sa maison et faire disparaitre sa famille.les nouvelles lois du senegal...vive les blocs com ynm...
    Top Banner
    Auteur

    Zarka

    En Juillet, 2011 (23:58 PM)
    tendait le un piege ou une ambuscade ce con de gendarme n'a plus le droit de vivre ,tuez le ou tuez un membre de sa famille afin qu'il puisse sentir la meme chose que la famille du defunt Malick ,saurait etait moi je ferai ma propre justice avant la justice divine car avec la justice senegalaise je me bat les couilles
    {comment_ads}
    Auteur

    Boussere

    En Juillet, 2011 (08:01 AM)
    et l'enquête ? foumou moudji ? il faut bien qu'elle soit bouclée qu"en même !! ou est le coupable ??



    Dans ce pays quand un civil tue un militaire comme c'est le cas à Guédiawaye on l'arrête dans les 24h (là ils sont forts) mais quand un gendarme tue un civil qu'il est censé protégé on ne trouve pas le coupable, mieux les parents sont convoqués au palais pour un réglement à l'amiable .. Corruption et khaliss

    mais franchement dans quel pays on est ? il faut que justice soit faite



    DANS UN PAYS DE DROIT QUI SE RESPECTE, LA JUSTICE DOIT ETRE LE POSTULAT DE BASE

    A BAS L'IMPUNITE - JUSTICE POUR TOUS !!!!!!!!!!!!!!!!!

    {comment_ads}
    Auteur

    Ndiaganiao

    En Juillet, 2011 (17:37 PM)
    Le vrai tombeau des morts c'est le cœur des vivants.

    Vive wade et ses alliés 75% au premier tour

      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  

      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
    {comment_ads}
    Auteur

    Siga Diouf

    En Juillet, 2011 (19:31 PM)
    la justice est entrain de faire son travail et personne d'autre ne doit s'ingérer dans ce dossier.
    Top Banner
    Auteur

    Thiokkeer

    En Août, 2011 (14:46 PM)
    Combien de portes parole cette famille a-t-elle eu depuis cet évènement regrettable ?
    {comment_ads}

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email