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Meurtre de Fatoumata Moctar Ndiaye : L’attitude d’Aminata Tall décriée

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Meurtre de Fatoumata Moctar Ndiaye : L’attitude d’Aminata Tall décriée

La commémoration du premier anniversaire du meurtre de Fatoumata Moctar Ndiaye hier à Pikine Khourounar a été l’occasion pour la famille de la défunte de pointer l’enquête, lever le voile sur les commanditaires présumés et reprocher à l’État sa réserve par rapport à cette affaire.

Fatoumata Moctar Ndiaye, retrouvée la gorge tranchée à son domicile il y a un an, était 5e vice-président du Conseil économique, social et environnemental (Cese). Rien que pour ça, estime Amadou Moctar Ndiaye, son frère, l’institution dirigée par Aminata Tall devait se constituer partie civile.

Autres griefs d’Amadou Moctar Ndiaye : «La non-assistance à notre famille par au moins un avocat constitué par l’État et l’absence ou le manque d’approfondissement de l’enquête dès lors que le criminel (présumé) a reconnu ce que tout le monde soupçonnait.»

Selon le frère de Fatoumata Moctar Ndiaye, la 5e vice-président du Cese est victime «d’un crime commandité et non d’un crime au mobile financier». Et «les personnes incriminées», d'après lui des membres de l’Apr, «ne seraient toujours pas entendues».

Amadou Moctar Ndiaye de conclure : «Notre souhait est de voir cette affaire jugée très rapidement avant que quelque chose de regrettable n’arrive au présumé meurtrier qui, d’après certaines sources, serait menacé de mort.»  



11 Commentaires

  1. Auteur

    Mansawali Sunugal Sunuweb 2017

    En Novembre, 2017 (08:35 AM)
     :joyy:  :jaaxle:  :jaaxle:  :jaaxle:  :jaaxle:  :jaaxle:  :jaaxle:  :joyy: 

    NOUS PRIERONS TOUJOURS DIEU

    POUR CETTE BRAVE ET GRANDE DAME DE LA RÉPUBLIQU VALEUR

     :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy: 
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (08:39 AM)
    Aminata TALL n'est pas la justice , on transfère toujours les problèmes !
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (08:45 AM)
    Une crise de complotite?
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (08:49 AM)
    APR parti aux pratiques mafieuses qui profite de la mollesse des Sénégalais fatalistes et fumistes.
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (09:44 AM)
    Laissez la justice faire son travail et Laissez votre soeur reposer en Paix et arreter le bavardage!!!
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (10:51 AM)
    Aminata tall serait-elle la commanditaire ?
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    Auteur

    Patriote

    En Novembre, 2017 (11:09 AM)
    Un consultant nommé Rosnert Ludovic Alissoutin a, dans une contribution au magazine africain en ligne Continent Premier, indiqué que le sénégalais verse quotidiennement dans la palabre stérile. Beaucoup de discours, mais peu d'actes positifs aux fruits palpables. Ainsi, il se pose la question de savoir si notre pays ne refusait pas le développement.



    ANALYSE DU SENEGALAIS

    Au Sénégal, personne n'a su expliquer le paradoxe d'un peuple si ouvert, si ingénieux, si prompt à s'adapter aux situations les plus éprouvantes, mais si désordonné et si éloigné d'une dynamique ferme et organisée de progrès. Pourquoi le sénégalais ne donne t-il le meilleur de lui-même que lorsqu'il est à l'étranger, à l'image des « lions » du football ? Qui est ce sénégalais qui doit faire le développement ? Quelles sont ses caractéristiques ? Celles-ci sont-elles compatibles avec les exigences du progrès ? En un mot, le sénégalais a-t-il une culture de l'effort, une pédagogie du développement ?



    Le sénégalais verse quotidiennement dans la palabre stérile. Beaucoup de discours, mais peu d'actes positifs aux fruits palpables. La réflexion et la conception ne sont certes pas des exercices qui font défaut au Sénégal où se multiplient à un rythme ahurissant les ateliers de conception, de restitution, de capitalisation ou de validation, les séminaires, conférences, assises, fora, symposiums, journées de réflexion, semaines ou quinzaines de promotion, retraites, rencontres, sommets, etc. Les résultats d'envergure que le foisonnement de ces rencontres met en droit d'attendre ne se font pas sentir concrètement. Pour Henri BERGSON, « originellement, nous ne pensons que pour agir.



    C'est dans le moule de l'action que notre intelligence a été coulée. La spéculation est un luxe, tandis que l'action est une nécessité ».On fait un tapage pour la construction d'échangeurs alors que des pays théoriquement moins avancés que le Sénégal comme le Mali, le Burkina Faso et même la Guinée ont déjà réalisé ce type d'infrastructures sans tambours ni trompettes. On pense être les champions de la démocratie et les experts de l'Alternance alors que le Mali et le Bénin ont déjà réalisé une double alternance. De manière générale, le Sénégalais pense qu'il est plus éveillé, les autres étant des « ndrings » (guinéens), des « gnaks » (africains du centre principalement) ou des « naars » (mauritaniens et maghrébins par extension). A l'intérieur du pays, le wolof (ethnie numériquement dominante) pense qu'il est plus « civilisé », les autres étant des lak-kats (personnes qui parlent une langue autre que le wolof). Ces dérives conduisent au cloisonnement des forces, au narcissisme, à la suffisance, à l'arrogance et à l'immobilisme.



    Le Sénégalais n'est pas prompt à l'investissement et à la production. Dans sa recherche du gain facile et rapide, il cantonne généralement son action au petit commerce, d'où la multiplication, à un rythme supersonique, des souks sur le territoire national. Or, il n'y a pas de richesse durable sans production sécurisée. Cette production doit susciter un progrès soutenu : il faut aller du « développement de la production à la production du développement ».





    La production nécessite en effet des capitaux importants, des ressources humaines qualifiées et des stratégies d'action ardues. La réalisation de bénéfices destinés à fructifier cette production est liée à l'écoulement des produits donc à leur compétitivité. L'insertion dans le système productif appelle, par conséquent, un esprit de méthode, de patience et de persévérance contrairement au petit commerce ou les recettes sont, en principe, immédiates. L'épargne privée est tournée vers des secteurs improductifs ou égoïstes comme le bâtiment, les cérémonies familiales ostentatoires et la polygamie abusive.



    Le parasitisme familial est aussi un frein à l'investissement privé. La seule personne qui travaille dans la famille est tenue de nourrir ses frères, cousins, oncles, beaux-frères etc. qui se complaisent parfois dans cette situation de perfusé. L'ampleur de l'économie informelle est révélatrice du primat de l'individualisme sur la volonté consciente et organisée de développement collectif. En plus de se soustraire à l'obligation citoyenne d'acquittement de ses charges fiscales, l'acteur de cette économie chaotique, au lieu de s'associer à ses semblables dans l'optique d'investissements substantiels, susceptibles de créer de la richesse et des emplois, se préoccupe de revenus personnels quotidiens. Et lorsqu'il amasse un peu d'argent, il cherche à acheter un visa pour l'Italie ou l'Espagne.



    Le Sénégal est l'un des pays les plus aidés de la planète. Les partenaires au développement se bousculent dans les villages les plus reculés, mais on ne voit vraiment pas l'impact de leurs actions, proportionnellement aux sommes énormes annoncées. Certaines ONG excellent dans l'art de l'instrumentalisation des populations déshéritées et la perdiemisation du monde rural. Boladji OGUNSEYE constate que « la relation de mendicité à l'égard des bailleurs de fonds a engendré un gros problème.



    Comme les ONG africaines s'acharnent à suivre les donateurs comme des missiles autoguidés sur les traces de l'avion-cible, il ne leur est généralement pas possible de s'engager dans des actions de remise en cause du plan d'action pré-établi, même en cas d'inadéquations criantes sur le terrain ». Les partenaires au développement, pour la plupart, sont donc revêtus d'un « manteau clair-obscur » et munis d'un couteau à double tranchant pour : tantôt soulager la misère des masses déshéritées, tantôt s'appuyer sur le dos de ces mêmes indigents pour s'enrichir, transformant ainsi « la lutte contre la pauvreté en une lutte contre les pauvres ».



    La marche du Sénégal vers le progrès est profondément gangrenée par l'indiscipline banalisée, le laxisme toléré et, de manière générale, le refus de l'ordre. La sacralité du service public est régulièrement et impunément bafouée par les retards désinvoltes, l'absentéisme, le bavardage dans les bureaux et la corruption. Partout, la règle est la même : peu le matin et rien le soir. La pauvreté rend les hommes aigres et aigris.



    Tout membre du groupe social qui réussi est combattu par pure jalousie, à moins qu'il soit un bailleur de fonds naïf, distribuant gracieusement de l'argent aux charognards qui lorgnent ses biens. A l'intérieur d'une même famille, d'un même service, on s'entretue à coup de maraboutage. On met les pieds dans le plat lorsqu'on n'est pas invité au repas. Comment peut-on construire un progrès sain dans une atmosphère sociale aussi viciée ?



    La politique est certes peu compatible à la morale, mais le Sénégal a battu plusieurs records en matière de coups bas, de mensonges publiques et de déloyauté. L'absence de conviction idéologique explique la transhumance politique cavalière. On s'attache non pas à des principes, mais à des personnes ou plutôt à leur argent.



    Dans un mépris mesquin du peuple, d'intrépides politiciens changent de veste et de discours, du jour au lendemain, au gré des intérêts financiers, sans conscience ni vergogne, donnant ainsi à une jeunesse fragile, le mauvais exemple de l'opportunisme et du situationnisme. La citoyenneté demeure vacillante, tout comme le sentiment d'appartenance nationale. On s'identifie plutôt à une famille, une ethnie, une caste, une confrérie. Souvent, on est prêt à tout pour le marabout et rien pour l'Etat. Les croyances fantasmagoriques et le recours abusif au mysticisme conduit au recul de la raison, de la confiance en soi et de l'effort. « L'Africain explique ce qui se déroule autour de lui par l'action des forces occultes, justifie les fléaux par la colère des dieux et place les événements heureux à l'actif des marabouts et des féticheurs». De nombreuses personnes ont publiquement expliqué le mauvais résultat de l'équipe nationale du Sénégal face à celle du Togo, par un mauvais sort qu'aurait lancé sur les joueurs des marabouts évincés et d'anciens membres de la fédération limogés.



    L'impunité, l'absence d'une culture du bilan, le primat des calculs partisans sur l'exemplarité de la sanction, constituent une invitation au laxisme dans l'action publique. Le ministre ou le directeur d'une entreprise publique nouvellement nommé ne fait pas de déclaration publique de patrimoine. A son éviction, il effectue une passation sommaire de service à la place d'une nouvelle déclaration de patrimoine et d'un bilan administratif et financier détaillé, apprécié par les autorités judiciaires. En l'absence de contrôle, le ministre utilise les biens publics à des fins privées ; il se rend aux cérémonies familiales avec la voiture de fonction, parfois accompagné de motards de la gendarmerie nationale, y fait des dépenses insolentes ou effectue sa campagne électorale anticipée le week-end, avec le même véhicule de l'Etat.



    Comme dans tous les pays africains, les ressources sont détenues par une élite politique avide au détriment des masses laborieuses qu'on s'emploie à aduler et à corrompre à l'approche des élections, dans le cadre du phénomène bien connu de la « marchandisation du vote ».



    Malheureusement, on n'observe aucune prémisse d'un sursaut national, d'une introspection critique, d'une remise en question de soi, d'un mea culpa constructif. Au contraire, on note l'insouciance, l'engouement pour la récréation et le folklore. Même le deuil est l'occasion de mangeailles festives. Dans toutes les villes du pays, des centaines de mendiants à la fleur de l'âge errent dans les rues, pieds nus, à des heures tardives, initiés au gain facile, soumis à la tentation du vol, exposés aux dangers du choléra et de la pédophilie. Personne ne s'en offusque, personne ne réagit ; on préfère discuter de politique et de football…



    Le drame c'est que le Sénégal, un pays qui regorge de ressources humaines, a parfaitement les moyens de se sortir d'affaire. Mais le problème, c'est moins le Sénégal que le Sénégalais. Il va donc falloir réformer le matériel humain, reconstruire les mentalités, briser les chaînes de l'ignorance, relancer la moralité citoyenne et l'éthique républicaine. L'éducation est impérieuse dans cette optique ; malheureusement les autorités la confinent à une conception presque exclusivement scolaire. Eduquer un homme, c'est aussi l'aider à grandir dans la dignité, lui apprendre à se battre pour lui-même, pour sa famille et pour son pays.
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (11:51 AM)
    Ce monsieur se plaint de la palabre moi je ne l'ai connu que par ses palabres à Walf Fadjri
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (11:51 AM)
    Ce meurtre tout le monde sait est lie a une jalousie.. comme d'habitude au Senegal.. il y a des postes que certaines personnes occupent mais tres souvent, l'entourage de ces personnes peuvent utiliser tous les moyens possibles pour te detruire.. je l'ai vecu deux fois..



    Quand mon pere avait son entreprise: une grande entreprise cree dans les annees 70 exactement en 1978 .. et comme mon pere etait un expert en sa matiere... il gagnait pas mal de marches.. je ne veux meme pas vous dire le reste.. je suis marquee a vie..



    l'autre chose , quand jai termine mes etudes en 1999, je suis venue au senegal juste pour un stage d'1 mois dans une boite , mais je ne peux pas vous dire la mechancete, jalousie, mesquinerie des senegalais ( Hommes et femmes) qui pensaient que jetais venue leur derober leur poste.. alors que moi je n'avais besoin que des " CREDITS" pour completer une classe.. chaque jour je voyais des oeufs, du lait, des " bedienes" papiers avec khatime.. cela m'a aussi marque a Vie.



    En 2010 je decide de rentrer au senegal pour integrer une autre boite de renommee.. en tant que chef d'unite.. vue mon experience.. mais pendant 3 ans jai vecu un calvaire de la mechancete des senegalais..



    Alors comment l'Afrique peut avancer??? vous savez en Europe, Canada comme Amerique il y a beaucoup de cadres senegalais: Intelligents et competents qui veulent retourner au bercail.. mais cest complique.. tels que les cas cites..



    Aujourdhui jai cree ma propre boite aux Etats Unis et un autre bureau a Dakar.. et je m'en sors tres tres bien.. j'emploie 10 personnes aux Etats Unis et 6 au Senegal ( Dakar) . je compte ouvrir un AUTRE bureau en Afrique Australe ou Centrale.. et je remercie le tout puissant et la baraka de mes parents.. au moins 6 personnes ne choment pas au senegal et 10 ne choment pas aux Etats Unis.. donc 16 familles.. que je soutienne. ca seulement cest la BARAKA



    Sokhor bakhoul, iniane bakhoul, ce monde est assez vaste, et il y a en assez pour tout le monde.. L'AFRICAIN EST MECHANT..



    Et pourquoi meme avoir tue cette dame?? on ne sait pas le fond du dossier mais jai l'impression que ca ete commandite et si tel est le cas... cest honteux.. on a utilise qq1 qui lui etait tres proche pour commettre l'acte fatal.. cest inadmissible que l'Etat n'a pas encore soutenu de maniere judiciaire cette famille.



    Ce monde nest pas eternel! essayons de faire du bien.. chacun de nous va mourir un jour..



    Wassalam et bon Lundi A TOUS



    Une vraie senegalaise ! PIEUSE, CORRECTE ET CHALEUREUSE.
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (12:19 PM)
    Cet homme qui se dit frere de cette dame,instrumentalise la mort de sa soeur à des fins qu'il n'avoue pas ,ce n'est pas honnete ni digne d'un homme ,qu'il prie pour son repos devant l'eternel au lieu de chercher à profiter de son malheur ,le phenomene qui consiste à exploiter la mort d'un (ou d'une) proche pour se faire les poches est devenu trop courant dans ce pays qui se dit musulman et ne manque aucune occasion pour prouver le contraire .
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (22:26 PM)
    IL FAUT PORTER PLAINTE POUR HOMICIDE VOLONTAIRE CE PERSONNEL EST MAUDIT SE BAGARRER AVEC DES PARENTS DE PATIENTS
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