Organisé conjointement par la police sénégalaise et Francopol avec le soutien de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le 5e congrès de Francopol s’est tenu à Dakar. La rencontre se tenait en Afrique pour la première fois Elle a réuni près de 160 personnes en provenance d’une vingtaine de pays, principalement des hauts responsables de services de police et de gendarmerie, d’écoles de police et de gendarmerie ainsi que des partenaires universitaires et institutionnels du milieu de la sécurité publique de la Francophonie.
« L’objectif de ce congrès est de partager avec nos partenaires sénégalais les bonnes pratiques, nos connaissances en matière de lutte contre le terrorisme, la criminalité organisée, les flux migratoires, mais aussi acquérir des connaissances que nous mettrons à notre disposition», a déclaré Sophie Hatt, présidente de Francopol. Elle ajoute que «par rapport à ces bonnes pratiques, le Sénégal est un excellent élève dans gestion des risques et des nouvelles menaces».
Directeur des études à l’école nationale de police, le commissaire Moustapha Diouf, renseigne que les défis et les enjeux sécuritaires sont nombreux. Et, poursuit-il, ils sont liés aux nouvelles menaces notamment le terrorisme, cybercriminalité et l’émigration clandestine.
Mais, il rassure que la police et la gendarmerie ont décidé à relever tous les défis avec la création au ministère de l’Intérieur d’entités comme la cellule de lutte antiterroriste (CLAT) et le comité interministériel de coordination des opérations antiterroristes.
14 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2018 (10:30 AM)Anonyme
En Octobre, 2018 (10:31 AM)Anonyme
En Octobre, 2018 (11:05 AM)Anonyme
En Octobre, 2018 (11:13 AM)Anonyme
En Octobre, 2018 (11:18 AM)Camou
En Octobre, 2018 (11:40 AM)Paroles, Symboles et Pouvoir de suggestion pour maintenir l'image de l'Afrique toujours derriere et l'Occident toujours devant... Nos succes se justifient par notre ecoute de ce que les maitres disent. Nos defaites de notre nature...
Et les journalistes qui relaient tout sans filtre et surtout sans aucune perception des enjeux, perpetuant l'impression construite que l'Africain sera toujours derriere...
Plus que l'apprentissage de techniques et autres, il est temps que les Africains connaissent les enjeux et les exericces de conditionnement mental auxquels se livrent en permanence certains pays (pas seulement occidentaux d'ailleurs).
Anonyme
En Octobre, 2018 (12:30 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (12:58 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (13:01 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (13:03 PM)Rien de nouveaux sous le soleil
Anonyme
En Octobre, 2018 (13:03 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (15:14 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (17:35 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (01:56 AM)Participer à la Discussion