La question de l’augmentation de l’indemnité de logement demeure le principal facteur bloquant qui empêche l’Etat et les organisations syndicales de l’enseignement de trouver un terrain d’entente. Mais, à ce propos, le ministre de la Fonction publique, Mme Viviane Laure Bampassy s’est voulue très claire.
«Les nécessités du cadrage macro-économique font qu’aujourd’hui, on ne peut pas prendre l’engagement d’augmenter l’indemnité de logement des enseignants», a dit le ministre au sortir de la rencontre entre les représentants des syndicats et le gouvernement. Elle a aussi souligné que le gouvernement a entamé une étude pour repenser le système indemnitaire des agents de l’Etat. Et que sur les indemnités de logement, l’Etat veut avoir une démarche globale.
21 Commentaires
Abdou Aziz Fal
En Avril, 2015 (11:26 AM)Seulement vous semblez oublier Excellence que l'effectif des enseignants dans ce corps des fonctionnaires est de 81000 agents qui se partagent une masse salariale d'environ 350 milliards sur les750.
En éminent scientifique que vous êtes, il vous est facile de constater que 39 milles fonctionnaires non- enseignants se partagent alors plus de la moitié des 750 milliards annoncés. Donc à moins que ceux-là soient plus utiles pour la nation que les dits enseignants, comment expliquer une telle disparité?
Aussi s'agissant de l'indemnité de logement, quand vos ministres évoque la non soutenabilité de la revendication des enseignants quant à son alignement, du fait de leur nombre; n’y a-il pas possibilité de dépasser ce qui se présente à eux comme une aporie, en octroyant sur tout le domaine national une parcelle à tout sénégalais qui embrasse la fonction enseignante? De la sorte, l'indemnité même de logement pourrait disparaître sauf pour ceux qui exercent à DAKAR où la boulimie foncière des anciens tenants du régime a fini par épuiser les réserves.
Tout compte fait M le Président de la République il est urgent de se pencher avec plus de volontarisme sur le dossier de l'éducation puisque c'est vous même qui soutenez que les peuples ne peuvent se développer qu'à partir d'un système éducatif performant. Pour finir je voudrai vous faire remarquer que les 120000 agents de l’État dont vous fêtes référence prennent en charge plus de la moitié de population avec le salaire qu'ils perçoivent, puisque nous sommes dans un contexte de familles étendues et de chômage endémique.
Tout en espérant que cette correspondance serve, je vous prie Excellence de recevoir l'expression de mon profond respect et de mon engagement pour la République.
abdou aziz FALL professeur de philosophie
Mansa Wali Diom Ak Diomb
En Avril, 2015 (11:30 AM)Oui,Madame Viviane Laure Bampassy s’est voulue très claire et l'on voit par là que c'est une Grande Dame de notre République debout sur les principes de vérité et de justice pour tous
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Sambaybahie
En Avril, 2015 (11:51 AM)Vérité
En Avril, 2015 (11:54 AM)Anonyme
En Avril, 2015 (12:50 PM)Boubés
En Avril, 2015 (13:51 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (14:46 PM)Parent Fatigue
En Avril, 2015 (15:21 PM)Chers enseignants meme si le gouvernement vous accordait des indemnite de 200.000 fr l'année prochaine vous reviendriez avec d'autres revendic. Il faut arréter de sauver les années. On a jamais rien sauvé au contraire notre niveau scolaire à baissé. Je propose que le gouvernement demande aux enseignants de rejoindre les classes lundi. Ceux qui ne respecteront pas cet ordre qui'il soient radiés. Il y a tellement de cadre qui chôment. On poura faire revenir des retraités.
Anonyme: Un Des Articles Les P
En Avril, 2015 (18:18 PM)De prime abord, la question peut paraitre idiote ou provocatrice mais, à l’analyse, l’on découvrira très vite que la réponse n’est pas une évidence de café de commerce pour ne pas dire, ne coule pas de source.
Je ne suis pas enseignant encore moins un spécialiste des questions liées à l’éducation mais, j’avoue qu’il faut vraiment être un daltonien d’esprit pour ne pas se poser des questions sur le choix de certains secrétaires généraux dont principalement, celui de l’Organisation des Instituteurs du Sénégal (OIS).
En effet, les enseignants, jadis véritables gardiens de la culture et de la morale, maitre dans l’art de communiquer, respectueux de l’autorité, connus pour leur élégance intellectuelle et comportementale nous avaient habitués à avoir comme leaders, des hommes pertinents et charismatiques dont la compétence et la courtoisie n’avaient d’égale que leur engagement et leur détermination à défendre les intérêts moraux, matériels et financiers de leur corporation.
Ils s’appelaient Mamadou NDOYE, Madior DIOUF, feu Iba Ndiaye DIADJI et j’en passe.
C’est tout l’opposé du secrétaire général de l’OIS qui se distingue par son arrogance caractérisée par un langage ordurier fait d’injures et d’invectives les plus virulentes à l’endroit des autorités de la république.
Son discours très vulgaire, volant toujours très bas au ras des pâquerettes, le tout distillé dans un ton à la fois narquois et goguenard m’amène en tant que simple citoyen à me poser légitimement la question de savoir : y a-t-il réellement des enseignants derrière ce type ?
Sa haine quasi pathologique pour les professeurs, le Ministre de l’Education mais surtout pour les inspecteurs de l’Education m’a poussé à faire de petites investigations pour mieux le psychanalyser.
L’homme semble-t-il est rétif à toute forme d’autorité. Sa haine viscérale pour les inspecteurs s’expliquerait par le fait qu’il a été ajourné deux fois à la pratique du CAP (Certificat d’Aptitude à Pédagogique) pour raison de carence. Mais surtout par le fait de ses nombreux échecs au concours d’entrée à l’école normale supérieure section des élèves inspecteurs adjoints. Ces attaques injustifiées et répétées à l’endroit de ce corps d’élite constituent donc pour lui des moments de sublimation, histoire de refouler ses échecs, ses complexes et ses frustrations pour parler comme Sigmund Freud.
Un peu plus loin, quand je découvris qu’il est un directeur d’école à Dakar, cela provoqua en moi un accident vasculaire cérébral pour ne pas dire un Tsunami dont je me suis relevé très difficilement.
A peine suis-je sorti de mon coma qu’on m’acheva cliniquement en m’apprenant qu’il encourageait même ses adjoints à na pas préparer leurs leçons ; les incitant ainsi à s’installer honteusement dans un laxisme et un amateurisme déroutants.
Son dernier esclandre remonte au mois de décembre quand l’homme au latin approximatif, au physique rabougri et à la calvitie rampante, toujours l’injure à la bouche fit une sortie caustique à l’endroit du ministre de l’éducation qu’il qualifiera de tous les noms d’oiseau.
Cette fois-ci, il poussera son outrecuidance en se comparant intellectuellement à son ministre pourtant connu brillant syndicaliste doublé d’un professeur d’université émérite.
Quel toupet ! Ou alors, quel pays !
Ce jour, un collègue de service Burkinabé assis à mes côtés s’écria ex abrupto : « cela n’arrive qu’au Sénégal ». Pourtant, au plus profond de la crise scolaire, il attendait la nuit pour aller faire la courte échelle chez le professeur Sourang alors ministre de l’Education pour dire que l’homme est en réalité un véritable sous-fifre.
Récemment, lors d’un débat télévisé il traita le Premier ministre d’indiscipliné. Cela est simplement inacceptable de la part d’un fonctionnaire de l’Etat.
Voilà une kyrielle de raisons parmi tant d’autres qui m’ont poussé à chercher si réellement derrière lui il y a des enseignants que j’ai appris à respecter car généralement intelligents, honnêtes et à l’esprit très chevaleresque.
La presse, en mettant régulièrement en vedette des individus de cet acabit, déforme la réalité et du coup donne à la fois une odeur nauséabonde, fétide et pestilentielle au syndicalisme.
A la fin, trois questions se posent en moi :
Les syndicats pour une question de crédibilité ne doivent-ils pas revoir les critères de choix de leurs leaders ?
Ajouteront-ils un jour à leur logique de cahier de doléances une logique de cahier de charge ?
Le diplôme a-t-il toujours une signification au Sénégal si tous les travailleurs quelle que soit la hiérarchie à laquelle ils appartiennent veulent avoir le même traitement salarial ?
La grève légale est un droit reconnu à tout travailleur mais il est bon de penser souvent aux enfants qui ont également droit à un salaire dans un avenir proche.
Ce pays nous appartient tous ; ne le précipitons pas dans un gouffre. Cela ne profitera à personne.
En tout cas, j’admire le comportement du ministre de l’Education, des professeurs, mais surtout des inspecteurs qui semble-t-il auraient préféré répondre par le mépris. Sans doute, ont-ils compris comme disait Nietzsche dans son livre intitulé Ainsi parlait Zarathoustra : « Plus on s’élève, plus on apparaît plus petit aux yeux de ceux qui ne savent pas voler. »
Khaly BAMBY
Anonyme
En Avril, 2015 (20:11 PM)Anonymefg
En Avril, 2015 (20:23 PM)Prof Boul Fale
En Avril, 2015 (23:49 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (12:08 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (12:28 PM)Secteur Sante
En Avril, 2015 (14:09 PM)Faye
En Avril, 2015 (18:46 PM)Enseignant
En Avril, 2015 (02:29 AM)Jo
En Avril, 2015 (09:37 AM)Anonymeringo
En Avril, 2015 (10:57 AM)500 000 FCFA/mois à des gens qui ne travaillent pas pour le pays. Sénégal dong la amme
Anonyme Doyen
En Avril, 2015 (11:08 AM)Anonyme
En Avril, 2015 (18:12 PM)Participer à la Discussion