Des poubelles et ordures ménagères qui décorent la ville. La capitale du Sud souffre de ce mal qui a fini de transformer son visage et indispose ses populations. «Les canalisations, en curage, ont été relayées par les ordures tirées des caniveaux et les eaux stagnantes, qui provoquent le malaise et le mal-vivre chez ces populations», note dans ses colonnes le quotidien L’Observateur qui redoute des conséquences sanitaires sur les populations dans un quartier résidentiel Goumel qui borde la route nationale et qui cohabite avec la saleté.
A Ziguinchor, le même décor a été noté dans les quartiers Santhiaba, Lyndiane, Néma 2, Kandialang et Kodoba. «Notre marché est sale douze mois sur douze. Pis, la mairie ne fait pas correctement son travail de nettoiement. Et pourtant, tous les jours, les agents de cette institution municipale pointent leur nez devant nous pour nous exiger de payer la taxe municipale», proteste une commerçante du marché Saint-Maures-des-Fossés qui accueille tous les jours des centaines de personnes venues des pays limitrophes comme la Guinée-Bissau et la Gambie.
Dans le quartier Kodoba, c’est la cohabitation avec le canal de plus de 700 m, rempli d’ordures ménagères et de poubelles, qui rend infernale la vie des habitants et riverains.
7 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (10:44 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (10:47 AM)El Hadji
En Juillet, 2015 (10:52 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (11:19 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (12:13 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (12:55 PM)Anonyme Baol Baol
En Juillet, 2015 (14:08 PM)Participer à la Discussion