La saignée se poursuit dans l'entourage du Remwi où Idrissa Seck et sa coalition «And défar Thiès» ont enregistré une nouvelle vague de démissions du fait des manœuvres de Cheikh Kanté, directeur du Port.
Selon L’Observateur qui donne l’information, Cheikh Kanté veut débarquer Idrissa Seck de la tête du Conseil départemental de Thiès, ce, après avoir obtenu la démission de 21 conseillers départementaux et municipaux qui ont décidé de rejoindre le parti présidentiel.
"Pour cela, nous vous appuierons", a promis le directeur du Port.
Parmi les démissionnaires, Michael Mbaye, l’ancien chef de protocole du défunt président du Conseil régional de Thiès Idrissa Camara.
39 Commentaires
Beau Gosse
En Décembre, 2014 (10:39 AM)Macky ne te fatigue, je le jure sur le Saint Coran tu vas degager en 2017, le probleme est non seulement t'es nul mais t'es impopulaire et niak xorom.
Sen
En Décembre, 2014 (10:44 AM)Tek
En Décembre, 2014 (10:45 AM)Aly
En Décembre, 2014 (10:50 AM)Honte Senegal
En Décembre, 2014 (11:02 AM)Prochain sur la liste de la CREI/ alioune sall , cheikh kanté , mael diop ??????? LA LISTE n est pas encore fermée ..... un jour viendra inshallah
Job.
En Décembre, 2014 (11:15 AM)Ngor
En Décembre, 2014 (11:30 AM)Sos
En Décembre, 2014 (11:39 AM)Urube
En Décembre, 2014 (11:40 AM)Real
En Décembre, 2014 (11:44 AM)Fama
En Décembre, 2014 (11:52 AM)O. AÏdara
En Décembre, 2014 (11:54 AM)Mbeut
En Décembre, 2014 (12:13 PM)Fierté
En Décembre, 2014 (12:16 PM)Kéba
En Décembre, 2014 (12:22 PM)il est le seul à tainer des foules et à mobiliser
si macky sall avait 2 comme ce monsieur kanté, il allait dormir tranquillement
Che
En Décembre, 2014 (12:26 PM)Thomas Sanghara
En Décembre, 2014 (12:29 PM)@apolitique
En Décembre, 2014 (12:51 PM)Njambour
En Décembre, 2014 (12:54 PM)Apr
En Décembre, 2014 (12:56 PM)Reine Mbeut
En Décembre, 2014 (12:59 PM)cet homme a nommé un IGE au port pour que la transparence et la tracabilité soient réelles et effectives
Il ira répondre aux députés et les sénégalais seront mieux édifiés sur son travail
Les chiens aboient la caravane passe et dépasse de trés loin les jaloux et les méchants
Kilimanjaro
En Décembre, 2014 (13:09 PM)Wawww
En Décembre, 2014 (13:17 PM)Thiessois
En Décembre, 2014 (13:29 PM)Nawone Fawone, Fénène Nénène
En Décembre, 2014 (13:49 PM)Du financement public des partis, comme moyen pour un espace politique plus éthique et plus utile au Sénégal
Il y a eu et il y aura sans doute, et nous l'espérons cette fois là, sérieux et de fond, un débat national sur le financement des partis politiques à partir des fonds publics nationaux (budgets ministériels et fonds politiques présidentiels entre autres et en l'état actuel des choses).
En effet, c'est là nous semble t-il, un débat fondamental à mener jusqu'à son terme, si nous voulons:
- d'une part, qu'il y ait un frein définitif à la prolifération malsaine voire absurde, des partis politiques "propriétés personnelles", dans notre espace politique national,
- et d'autre part, que le parti politique, défini par la science politique classique comme un instrument collectif de conquête et de conservation du pouvoir politique, devienne dans notre société, autre chose qu'un simple outil manipulatoire de foules, détenu par quelqu'un ou quelques uns, pour des fins souvent crypto-personnelles mais cachées (par exemple, la piètre et secrète ambition de participer tant soit peu au partage longtemps fantasmé "du gâteau" national), et revêtues du manteau convenu de l'Intérêt Général.
C'est dans cette optique, que nous souhaiterions en toute humilité, apporter des éléments de réflexion contributifs à un débat, que tout Sénégalais soucieux du meilleur devenir possible pour son pays, devrait à la limite exiger, ne serait-ce qu'en tant que contributeur par son impôt, à la constitution du trésor public.
Ce serait là, une exigence hautement citoyenne!
Car, il est capital de se rappeler et de rappeler, que quelque soit le degré de "saleté" pouvant être perçu, à tort ou à raison, comme caractérisant la politique telle que pratiquée chez nous, cette dernière est et sera toujours dans toute l'histoire de toute l'humanité, le déterminant décisif dans l'évolution de toute communauté donc de la nôtre.
Et ça n'est pas parce qu'elle est perçue parfois comme "sale", que la politique cessera un jour d'être l'élément majeur du lien social dynamique, qui est au fondement même de l'évolution de toute société.
D'où, l'importance et l'incontournabilité d'un débat sérieux et de fond, sur le rôle et le fonctionnement des partis politiques, qui sont dans notre espace public contemporain, les lieux par excellence, de maturation et d'émergence des conceptions qui animent et modèlent l'action publique, telle qu'incarnée dans les pratiques de nos différents hommes politiques.
Si la définition classique du parti politique dit de celui ci, qu'il est un instrument de conquête et conservation du pouvoir, cette définition mériterait tout de même d'être complétée. Au delà de la conquête et de la conservation du pouvoir, il serait aussi pertinent de s'interroger sur ce qui peut et doit être fait avec le pouvoir conquis et qui sera à même, d'en justifier et d'en consolider la légitimité, rapportée à la réalisation de l'Intérêt Général, qui demeure hic et nunc, le "légitimateur" absolu de tout pouvoir politique dans une société réellement démocratique.
Ce faisant, dans une formation sociale ayant pour crédo ultime, le principe politique de la démocratie représentative comme forme choisie d'organisation socio-politique, se donner les moyens entre autres, par la création d'un parti politique, d'accéder au pouvoir, de l'exercer et de vouloir continuer à l'exercer aussi longtemps que possible, sont tout à fait légitimes, pour tout individu appartenant légalement à cette formation sociale et reconnu par ses semblables et selon certaines modalités, apte à la fonction d'Homme d'Etat.
Ce serait là, une ambition parfaitement justifiée pour tout citoyen au sein de tout système socio-politique dit démocratique.
Mais la légitimé d'une telle ambition, si celle ci se réalisait, n'aurait toutefois de sens, que si l'exercice du pouvoir conquis et son impact global sur le devenir et l'épanouissement de la communauté concernée, étaient majoritairement attestés positifs par les autres membres de cette communauté.
Si tel n'était pas le cas, la légitimité d'un tel pouvoir ne saurait tenir. Et des exemples pertinents dans notre histoire politique récente (mars 2000, juin 2011, mars 2012) pourraient l'attester à suffisance, s'il en était besoin.
Le pouvoir politique étant au sein d'une société, l'outil quasi-incontournable pour la réalisation des transformations nécessaires à la production collective du mieux être pour tous, le parti politique comme moyen d'accès à ce pouvoir s'impose dès lors comme une affaire absolument sérieuse.
Et paradoxalement, la prolifération à hue et à dia des partis politiques et le management même de ces partis dans l'espace public, surtout depuis l'an 2000 au Sénégal, peut hélas donner quelquefois, une image hideuse de l'activité politique sous nos cieux. Le plus grave, c'est qu'au fil des années, une certaine dynamique va crescendo, aussi bien dans la folle prolifération des partis que dans la médiocrité des discours de plus en plus remarquée chez beaucoup de nos hommes politiques.
Partis politiques "télé centres", "transhumances" éhontées d'un parti politique à un autre et socio-culturellement admises, absence totale de programmes politiques dignes de ce nom, mouvements de soutien à un individu et non à un programme (par exemple: "Abdo niou doy" qui aurait du engendrer logiquement un "Laya niou doy"), leaders de partis intellectuellement limités, chantages sordides et attaques ad-hominem sans retenue, règlements de comptes crypto-personnels, absence de visions claires sur les réalités globales du pays, identitarismes ethnocentristes, régionalistes ou autres assumés sans états d'âme etc...
Tel pourrait être sommairement dépeint, le visage politico-politicien peu reluisant d'un Sénégal d'aujourd'hui, se voulant parfois avec tonitruance, modèle démocratique. Et le plus atterrant c'est que ça passe! Et cela, beaucoup trop souvent, dans une Afrique sub-saharienne, complètement malade de son actuel leadership plutôt infantilisant.
Pauvres africains que nous sommes!
N'est-il pas plus que temps de se réveiller enfin et d'arrêter de se réfugier illusoirement dans un passé soporifique, mythifié et inlassablement reconstruit en pure perte, à partir d'une énergie mentale qui utilisée autrement, aurait pu nous permettre d'envisager plus courageusement, un avenir autre que celui qu'une mondialisation ancienne et impitoyable nous a jusqu'ici réservé dans la Grande Histoire de l'Humanité?
Pour que des ruptures radicales et salvatrices puissent à ce propos, s'opérer dans notre espace politique il faudra que l'Etat, en tant que "incarnation" régalienne de nos différents intérêts puisse se donner vigoureusement, les moyens d'une redéfinition rectificatrice, du rôle et de la fonction du parti politique dans l'action publique, afin que celle ci, soit davantage productrice de développement économique et social pour tous et non plus de duperies, de démagogie et de populisme récurrents, piteusement et uniquement électoralistes.
Parmi les moyens auxquels l'Etat pourrait avoir recours, pour promouvoir une vision nouvelle du rôle et de la fonction du parti dans l'espace public, il devra y avoir avant tout, une volonté politique clairement affirmée de contribuer par un financement publique conséquent et transparent au "boosting" des activités des partis politiques.
Une telle volonté politique, combinée à la mise en place de mécanismes permanents de concertation entre acteurs sociaux et politiques, devra permettre aux partis de mener avec plus d'inspiration et de pédagogie, leurs activités légales et légitimes, dans une perspective, bien entendu, de conquête du pouvoir politique mais également, dorénavant et surtout, de mieux assumer une mission d'intérêt général, à travers de véritables programmes d'éducation de masse à une citoyenneté responsable, pour un développement économique et social national et durable.
Enfin et in fine, dès le moment où toutes ces activités auront été consensuellement adoubées d'utilité publique et que des fonds publics y seront investis, l'Etat aura alors et plus encore, la légitimé et le devoir de concevoir un cadre législatif nouveau et rigoureux, ainsi qu'un outil méthodologique exigeant en termes d'évaluation ex-ante et ex-post de chaque parti politique, quant à ses capacités propres à contribuer par lui même sur les plans financier (taux à fixer) et conceptionnel (ressources humaines compétentes pour la conception et la mise en œuvre des activités), au déroulement de son programme, devant comprendre obligatoirement au moins deux volets: un volet propagande spécifique à chaque parti et un volet éducation à la citoyenneté qui lui, sera commun à tous les partis juridiquement reconnus.
Cette vision qui est nôtre et que nous souhaiterions voir mise en œuvre dans notre pays, pourrait tout en contribuant à assainir notre espace politique public, le rendre également plus efficace dans la réalisation de l'Intérêt Général, traduit en un développement économique et social global à moyen et long terme.
Mais il va sans dire, que la traduction d'une telle vision en réalité effective, ne manquera pas de poser de sérieux problèmes d'ordre politique et juridique, car des habitudes et des pratiques se sont cristallisées chez nous, depuis l'époque des "Doléances des Habitants du Sénégal aux Etats Généraux" de la France Révolutionnaire de 1789 jusqu'à la seconde Alternance de mars 2012 dans un Sénégal indépendant.
Toutefois, nous n'en demeurons pour autant, moins convaincu, qu'avec de l'audace et le courage politique d'un leadership visionnaire et sincèrement au service de l'Intérêt Général, presque rien n'est impossible, dans un Etat de Droit bien doté en Institutions idoines et fortes.
Cette même conviction, nous amène et en conclusion, à faire la proposition de la mise en place au Sénégal et pour la gestion du financement des partis politiques, d'une Haute Autorité du Financement et de la Régulation des Partis politiques (HAFRP)
Dakar le 09/12/2014
El Hadj NGOM alias LAT DEGUENE THIARE
Depapiop CRAAF
Kanam
En Décembre, 2014 (13:59 PM)Dina Bakheu
En Décembre, 2014 (14:00 PM)Dépité
En Décembre, 2014 (14:14 PM)Akon
En Décembre, 2014 (14:17 PM)Tonetou
En Décembre, 2014 (14:18 PM)Manager spécialiste en gestion des entreprises, l’homme est solidement amarré à ses convictions et ambitions de contribution au Plan Sénégal émergent. Il a su initier d’importants travaux de rénovations et de modernisation du Port, l’un des poumons de notre économie nationale. Il a aussi reçu le Cauri d’or de l’excellence.
Tanoor
En Décembre, 2014 (14:50 PM)La preuve qu'Aliou Sall frère de Macky Sall a créé la société d'une seule personne (lui même)Petro-Tim. La source de cette preuve c'est l'Apix.
http://creationdentreprise.sn/petro-tim-senegal-sau
Les preuves que Macky Sall a signé pour son frère Aliou Sall et l'initiation de la prospection et l'extension de la prospection. La source de ces preuves, c'est le journal officiel du Sénégal édité par le pouvoir de Macky Sall lui-même.
http://www.jo.gouv.sn/spip.php?article10085
http://www.jo.gouv.sn/spip.php?article10084
La preuve qu'Aliou Sall possédait 30% et qu'ils les ont vendus (ils, c'est Aliou Sall et celui qu'il représente, Frank Timis). La source de la preuve, c'est l'entreprise Kosmos qui a acheté les 30%.
http://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1509991/000110465914075847/a14-19714_1ex10d3.htm
Modou
En Décembre, 2014 (18:33 PM)Necotrans
En Décembre, 2014 (21:38 PM)Fans
En Décembre, 2014 (22:16 PM)Pepes
En Décembre, 2014 (00:29 AM)Mimi
En Décembre, 2014 (08:04 AM)les gens savent pertinemment que n'eut eté la coalition il n'allait pas gagner maintenant qu'il a gagné il refait ce qu'il veut réveillez vous !!!
Borom Gualem Gui
En Décembre, 2014 (14:40 PM)Rak
En Décembre, 2014 (16:42 PM)L'homme qui a renvoyé tout son staff soit disant que ce qu'on n'a pas gagné en 15 ans, on ne peut pas l'avoir en 2 ou 3 ans. Il disait qu'il faut savoir céder la place aux autres dans la dignité.
Eh bien c'est cette même MASSAR qui demande aujourd'hui une prolongation.
C'est une personne qui fait tout pour détruire toujours l'autre. Les Dockers C.I, occasionnel et Professionnel ne peuvent plus percevoir leur salaire. Ils perdent beaucoup d'argent à cause des tickets non payés.
Une commission d'enquête est nécessaire pour tirer au clair cette nébuleuse car il se passe des choses extrêmement graves. Il y a deux (2) entreprises dont S.N.T.T et I.T.S qui doivent plus de 200 millions à la SATS pour ne citer que cela.
MASSAR collabore avec des délégués dockers parti à la retraite depuis des années qui sont Serigne Faye et Madela Mbaye à qui il remet de l'argent à chaque fois pour corrompre les délégués actuels et certains Dockers.
Il a un collège d'ami Mbaye Mbengue, Mour Ndiaye et Abdoulaye Dione pour ne citer que ceux-là. Il compte sur ces derniers pour le soutenir auprès de Mr le PDG de Bolloré Africa Logistic pour obtenir une prolongation.
Demandez à MASSAR où sont Mame Demba Talibé Samb, Ousmane Diouf, Mamadou Sow, Babacar Mbaye, Insa Lèye, Pathé Diéye Diouf, Madame Sonko, Mame Matar Fall petit frére de Saliou Fall (meilleur agent de SATS dans son domaine) et Abdoulaye Lo. Ils sont tous envoyés à la retraite. Et aujourd'hui cet homme, MASSAR cours derrière une prolongation.
Je vous assure, je vous le jure si vous le laissé continuer vous aurez la surprise de votre vie. Les Dockers C.I vont se soulever et ça sera la fin de la SATS car cette personne à fait beaucoup de mal et continuera à le faire.
Je vous suggère d'envoyer une commission d'enquête pour voir toutes les atrocités et deals que fait MASSAR.
Ces 200 et quelques millions non payés c'est tout simplement son jeu pour nuire à d'autres.
Faites votre investigation vous verrez et vous saurez tout.
Sa propre sœur était caissière au bureau, elle est à son 4iéme détournement. C'est son frère qui a toujours étouffé et réglé les problèmes. Il utilise l'argent des tickets non payé et de la caisse de solidarité. Il a installé toute sa famille au bureau en remplaçant les retraités surtout par des femmes qui ne savent rien du travail.
Mr Pujalte PDG de Bolloré Africa Logistic je vous suggère fortement la création d'une commission d'enquête.
VIVE S.A.T.S. sans MASSAR!
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