Le dernier Premier ministre de Wade, Souleymane Ndéné Ndiaye, a décidé de voter «Non» lors du référendum du 20 mars prochain. Invité du 20 heures de la Tfm, il soutient que la substance du référendum, c’était la réduction du mandat du Président Macky Sall comme il l’avait annoncé lors de la campagne électorale.
Comme Macky Sall a décidé de suivre l'avis du Conseil Constitutionnel qui lui demande de poursuivre son mandat de 7 ans jusqu'à son terme, l'ancien maire de Guiguinéo pense que le référendum n'a plus de sens. «Je ne vois pas pour quelle raison on irait à un référendum en différant l’application de la réduction du mandat au mandat prochain, en demandant au peuple de se prononcer sur des questions qui peuvent parfaitement être soumises à l’Assemblée nationale», argue-t-il.
Si Macky Sall s'entête à organiser le référendum, il votera et appellera à voter «Non».
Comme Macky Sall a décidé de suivre l'avis du Conseil Constitutionnel qui lui demande de poursuivre son mandat de 7 ans jusqu'à son terme, l'ancien maire de Guiguinéo pense que le référendum n'a plus de sens. «Je ne vois pas pour quelle raison on irait à un référendum en différant l’application de la réduction du mandat au mandat prochain, en demandant au peuple de se prononcer sur des questions qui peuvent parfaitement être soumises à l’Assemblée nationale», argue-t-il.
Si Macky Sall s'entête à organiser le référendum, il votera et appellera à voter «Non».
13 Commentaires
Anonyme
En Février, 2016 (09:20 AM)Mbidou
En Février, 2016 (09:24 AM)Ce référendum est un gouffre à milliards,pourquoi ne pas voter oui pour lui donner un brin d'utilité ou ce serait trop facile pour Macky?
Bad Olo
En Février, 2016 (09:33 AM)Anonyme
En Février, 2016 (09:44 AM)Sedhiou
En Février, 2016 (09:46 AM)Mais la grande attente est encore là. Le désenclavement n’a pas encore connu un début de solution, ni dans la commune, ni dans la région. La pauvreté, le chômage des jeunes, les soins de santé primaires sont encore d’actualité.
Le 25 février 2015, l’espoir était permis car l’ancienne capitale de la Casamance naturelle avait accueilli le conseil des ministres délocalisé. Pendant presque une semaine, la région a connu une effervescence politique sans précédent. A cette occasion, le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ, informait que dans le cadre du programme actuel, le gouvernement entend mettre à la disposition de la région de Sédhiou une enveloppe de 187 milliards sur la période 2015 2018».
Une enveloppe que le Président avait revue à la hausse vu les besoins de désenclavement. «Les problèmes de Sédhiou étant liés à son enclavement, c’est une somme importante qui sera réservée au désenclavement. Je crois que cela devrait tourner autour de 127 milliards pour le désenclavement de Sédhiou», avait-il soutenu avant de lister ses grands projets.
Le président Macky Sall avait annoncé la construction du pont de Marsasoum pour une enveloppe de 21 milliards, la route Saré Alcaly/Bogal/Ndiamacouta soit 25 kilomètres pour 12.5 milliards FCFA. Il avait aussi annoncé sans indiquer les enveloppes allouées, la construction du stade régional, de l’hôpital régional, de la boucle du Boudhié long de 130 kilomètres. En lieu et place, ce sont des nuages de poussière qui continuent de menacer les habitations riveraines et la nature végétale.
Toujours dans le cadre du conseil des ministres, le ministre Mbagnick Ndiaye avait plaidé pour la rénovation du Ford Pinet Laprade de Sédhiou qui est un patrimoine classé. Il avait par ailleurs dit que les mosquées de Karantaba et de Sédhiou, qui sont des lieux de mémoire culturelle, seront aussi rénovées. Ces infrastructures religieuses attendent toujours le premier coup de pinceau ou de pioche.
Il avait été prévu l'électrification de 800 villages "à court et moyen terme». Ce qui, selon le chef de l'Etat, devrait revenir à 10 milliards de francs. Pour appuyer les femmes à développer l’entreprenariat féminin, Moustapha Diop, ministre délégué chargé de la micro finance et de l’économie solidaire, avait annoncé aux femmes de la région un financement remboursable de six cent millions.
«A travers ce financement, disait-il, le président Macky Sall entendait traduire en actes concrets sa vision à savoir offrir aux femmes des opportunités réelles et faire d’elles le fer de lance du plan Sénégal émergent». Mais cela reste encore de simples intentions selon certaines organisations féminines qui n’ont pas encore aperçu la couleur de cet argent.
Camp Du Refus.
En Février, 2016 (09:50 AM)Anonyme
En Février, 2016 (10:04 AM)Anonyme
En Février, 2016 (12:00 PM)Aubaine
En Février, 2016 (12:02 PM)Anonyme
En Février, 2016 (12:21 PM)Azou
En Février, 2016 (12:30 PM)Le reste de l'Opposition anticipe la Présidentielle de 2019. Elle vote non au quinquennat par dépit ! Un conglomrat contre nature allant des jihadistes déguisés luttant contre la laïcité jusqu'aux rappeurs de YAM!!
Je me rends compte que ce ne sont pas les avancés de la démocratie qui intéressent cette opposition mais le fauteuil du président ! C'est pas le contenu du référendum qui détermine leur vote mais la volonté d'affaiblir le pouvoir et pour ça, elle risque d'avoir une mauvaise surprise ! Le peuple sénégalais est très sensé et a eu à le démontrer à plusieurs reprises!!
Au moins Macky a le prétexte du respect de la légalité. L'opposition adopte une posture cryptopersonnelle et purement subjectif avec ce rejet du référendum !
Toutes les conquêtes démocratiques sont bonnes à prendre !
Ne serait que pour barrer la route aux djihadistes déguisés qui se cachent derrière ce référendum pour détruire la république en s'attaquant à notre laïcité qui a fait ses preuves à travers notre histoire (tolérance, cohabitation pacifiques des confréries et avec les minorités religieuses etc..) votons oui!!
Anonyme
En Février, 2016 (12:52 PM)Thiam Sow
En Février, 2016 (15:03 PM)une bouche pleine de sang ne peut véhiculer que de gros mots, on les comprend mais on ne les donne pas raison.
la présidente de carleneen, le professeur amsatou sow sidibé est le futur président de la république du sénégal en 2017, notre cher sénégal qui n'appartient à personne, sauf au peuple sénégalais.
nous vivons une révolution électorale pour trouver une solution pleine de rupture avec carleneen. une forte coalition doit naître avec les hommes cultivés, les hommes de valeurs et non les has been, pour matérialiser la vraie rupture. pour cela, nous devons vite prendre un nouvel élan, voire un nouveau car pour aller vers leneen.
vive carleneen, vive la présidente amasatou sow sidibé qui a formé plus de 35 générations.
notre sénégal a besoin d'une république de professeurs et d'hommes intègres pleins de valeurs pour honorer et sauver notre sénégal.
encore une fois, les injures et autres gros mots ne favorisent pas le débat intellectuel.
les valeurs, rien que les valeurs a cultiver pour un senegal de rupture;
aujourd’hui et demain, des sénégalais qui ont soif de rupture viennent et viendront en masse adhérer dans le parti carleneen. vive la rupture au vrai sens du mot.
vive les valeurs et vivent les droits de l'homme.
vive la badiène des étudiants. vive la présidente de rafet, vive celle qui défend les valeurs et incarne la rupture de par sa démarche pleine de vérité.
vive le sénégal qui cultive la rupture et les valeurs.
les chiens aboient, la caravane passe et passera pour toujours car deugueu mooy moudieu. :sunugaal :
non au forcing d"un vote inutile. non au simulacre de réfendum
grace matinée le dimanche du 20,mars 2016.
economisons plus de trois millards sept cent millions de nos pauvres fcfa issus du peuple.
un referendum budgétivore et cette somme peut être utilisée ailleurs car l'urgence est bel et bien ailleurs. nos artistes, nos hommes de culture et notre culture en général ne sont pas bien reconnus par notre constitution et ce réfendum du 20 mars inutile. ce n'est pas un vote utile. donc a boycotter si c'est maintenu par le forcing.
et notre assemblée nationale ? et nos députés actuels? quel est vraiment leur rôle ?
yendhou chez la présidente amsatou sow sidibé le 20 mars pour matérialiser le boycotte.
en bas le forcing. gooor thia waxx jaaaaaaaaaaaa. promise is debt. la promesse est une dette. elections présidentielles et législatives maintenues en 2017. c'est encore bel et bien possible.
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