La profanation des cimetières devient fréquente en période électorale. Des actes que les populations qualifient d’extrême pour accéder au pouvoir. C’est dans ce contexte que les gardiens des cimetières veulent plus d’éclairages et des murs de clôture dans ces lieux. « Rien ne vaut certaines choses dans cette vie, nous allons tous mourir », a déclaré un riverain du cimetière de Pikine, au micro de Iradio. Le gardien du cimetière, Ibrahima Sakho a renseigné que seul les malades profanent les tombes. « Quelqu’un qui est lucide n’accepte pas de déterrer les morts. Si quelqu’un essaye de le faire c’est qu’il n’est pas normal », tonne-t-il.
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