À un peu plus d’un an de la Présidentielle 2024, pas moins de sept candidatures ont été déjà enregistrées. Ousmane Sonko de Pastef a ouvert le bal en août dernier. Suivront, dans le désordre, Malick Gackou (Grand parti), Dr Abdourahmane Diouf (Awalé), Bougane Guèye Danny (Gueum sa bop), Mimi Touré (Mimi 2024), Boubacar Camara (PCS/Jengu Tabax) et Khalifa Sall (Taxawu Senegaal). Si certaines de ces déclarations d’intention sont jugées «sérieuses» d’autres sont considérées comme «opportunistes».
«C’est tout à fait normal de voir que les leaders des différentes entités se déclarent», a lancé l’analyste politique Hamidou Hann dans Le Soleil, qui s’est penché sur le sujet dans son édition de mardi.
Ce dernier s’est empressé d’ajouter : «On verra aussi des candidatures farfelues parce que ce sont des positionnements, des postures politiques qui motivent un peu les individus qui se déclarent candidats pour un peu monnayer leur ralliement dans les grandes coalitions qui vont se structurer.»
L’enseignant-chercheur en sociologie politique Ibou Sané abonde dans le même sens. Il dit : «La majorité d’entre eux n’ont pas de base. C’est un peu de la mégalomanie. Ils annoncent leur candidature et, à la fin, ils se retirent. Ils nous ont habitués à ça.»
D’autant qu’il a le filtre des parrainages contre lequel échoue souvent les candidatures ces dernières années. Malick Gackou et Bougane Guèye Danny en avaient fait les frais lors de la Présidentielle 2019. «Le parrainage va freiner beaucoup de candidats déclarés, surtout pour des candidats qui n’ont aucune assise nationale, qui sont parfois d’illustres inconnus, tranche Hamidou Hann. La collecte de parrains est un travail sérieux qui demande de la rigueur et de l’organisation. Ce qui n’est pas le fort des hommes politiques sénégalais et des appareils politiques de manière générale.»
Pour participer à la Présidentielle 2024, les candidats à la candidature doivent réunir 53 457 parrainages au minimum et 66 820 au maximum.
«C’est tout à fait normal de voir que les leaders des différentes entités se déclarent», a lancé l’analyste politique Hamidou Hann dans Le Soleil, qui s’est penché sur le sujet dans son édition de mardi.
Ce dernier s’est empressé d’ajouter : «On verra aussi des candidatures farfelues parce que ce sont des positionnements, des postures politiques qui motivent un peu les individus qui se déclarent candidats pour un peu monnayer leur ralliement dans les grandes coalitions qui vont se structurer.»
L’enseignant-chercheur en sociologie politique Ibou Sané abonde dans le même sens. Il dit : «La majorité d’entre eux n’ont pas de base. C’est un peu de la mégalomanie. Ils annoncent leur candidature et, à la fin, ils se retirent. Ils nous ont habitués à ça.»
D’autant qu’il a le filtre des parrainages contre lequel échoue souvent les candidatures ces dernières années. Malick Gackou et Bougane Guèye Danny en avaient fait les frais lors de la Présidentielle 2019. «Le parrainage va freiner beaucoup de candidats déclarés, surtout pour des candidats qui n’ont aucune assise nationale, qui sont parfois d’illustres inconnus, tranche Hamidou Hann. La collecte de parrains est un travail sérieux qui demande de la rigueur et de l’organisation. Ce qui n’est pas le fort des hommes politiques sénégalais et des appareils politiques de manière générale.»
Pour participer à la Présidentielle 2024, les candidats à la candidature doivent réunir 53 457 parrainages au minimum et 66 820 au maximum.
30 Commentaires
Adji sarr ira directement en enfer, elle et toute personne qui la soutient dans cette mission
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Sonko reek ! Mou nekh mou nakari !
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En Janvier, 2023 (16:30 PM)Sonko est l'unique choix du peuple !
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Yow mom bayil nakh sa boppeu
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En Janvier, 2023 (16:31 PM)Reply_author
En Janvier, 2023 (16:40 PM)-
La coalition de Yewwi doit être réaliste.
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En Janvier, 2023 (17:05 PM)Sonko sera condamné
Khalifa et Karim ne seront pas amnestiés
Ils doivent se regrouper rapidement autour d'un autre candidat:
Malick Gakou sera le plus crédible et le plus apte pour que Macky puisse dégager
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bilahi macky ton jour viendra tu penses que c ca la vie
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En Janvier, 2023 (17:43 PM)Tammbakhara
En Janvier, 2023 (16:29 PM)-
Qui force exactement le destin? D'ailleurs qui connait le destin? Tout ce qu'on demande c'est de respecter les lois, que ceux qui respectent les conditions puissent aller aux élections et que le peuple puisse decider librement et démocratiquement. Mais il se trouve que certains n'ont pas cet intérêt. Macky Sall ne peut pas et ne doit pas participer à cet élection vu la constitution de ce pays. Maintenant de deux choses l'une soit on respecte le peuple et qu'on fasse parler les lois soit ils font ce qu'ils veulent et ils seront les seuls responsables de tout ce qui adviendra dans ce pays. Jamais j'ai vu des gens aussi sales d'esprit malhonnêtes sans vergogne mais aussi aveuglés. Macky Sall comme principal responsable. Ils sont entrain de dormir et leur réveil sera très mouvementé.
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En Janvier, 2023 (16:58 PM)Yeurmande
En Janvier, 2023 (16:30 PM)Seno
En Janvier, 2023 (16:32 PM)-
Saway Sonko sera bientôt en prison et la date de l'élection sera repoussée macky a déjà tout ficelé et effectivement il ne se passera rien à part quelques heurts wait and see
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En Janvier, 2023 (17:10 PM)-
macky a renforcé la démocratie et lancer des grands projet uniques en afrique. macky le batisseur, lh'omme du ter, brt, autoroutes, ports, aéroports, universités, agropoles, stade, nouvelle, cmu, pudc, promivilles,
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En Janvier, 2023 (16:50 PM)Diop
En Janvier, 2023 (16:47 PM)Erreur
En Janvier, 2023 (17:08 PM)tout le monde sait que Adji sarr est manipulée et qu'elle ment depuis le debut.
Il faut en finir avec ce regime ....
JAMAIS DEUX SANS TROIS ?
C’est bien ce que dit l’adage. Mais ce que l’on ne sait pas, en général, c’est ce à quoi la troisième fois peut conduire.
Chaque fois qu’un candidat sérieux et coriace s’est présenté sur le chemin de Macky Sall, la justice sénégalaise lui a barré la route en le condamnant et en lui infligeant une peine d’inéligibilité. Des années plus tard, on se demande encore si ces condamnations reposaient sur un besoin de justice ou des motifs politiques. Deux hommes en ont fait les frais. Pourtant, d’autres qui ont commis des faits semblables comme deux gouttes d’eau, mais qui ne sont pas des adversaires, ne sont pas embêtés outre mesure.
Le troisième cas qui se présente est celui d’Ousmane Sonko que je n’essaie pas de défendre. Ce qui me préoccupe, entre autre, c’est la paix et la stabilité dans mon pays. Sur le cas de Sonko, trop de zones d’ombre planent et trop de faits laissent dubitatif. Trop de personnes incompétentes en la matière s’en mêlent. Même des violeurs ou auteurs de violences sexuelles condamnés sont dans l’arène pour claironner leur avis et sentence à proposer. Toujours est-il que ce que l’on a vécu au début de cette tragi-comédie ne rassure pas. Au bout du compte deux scénarios sont possibles à la sortie : le chaos ou le musèlement d’un peuple. La dernière hypothèse pointe son nez par les temps qui courent. Si aucun des deux scénarios ne se réalisent, l’après Macky pourrait bien avoir des relents de chasse aux sorcières terrible. Autant dire que ça ne sent vraiment pas bon pour mon pays et je ne peux que le regretter.
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"ne se réalise" (mea culpa)
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En Janvier, 2023 (17:51 PM)Maky à envoyé tous ces candidats en prison dans des procès en sorcellerie
Dg
En Janvier, 2023 (18:08 PM)IL DÉSHONORE LA PROFESSION D'AVOCAT.
SORTEZ LES AVOCATS ET RÉTABLISSEZ LA VÉRITÉ.
Ousmane Fall
En Janvier, 2023 (18:54 PM)Boubacar Sarr
En Janvier, 2023 (18:56 PM)Bacary Diop
En Janvier, 2023 (19:02 PM)Participer à la Discussion