A travers un discours historique, ce lundi 3 juillet 2023, le président de la République, Macky Sall a déjoué tous les pronostics. Au bout d’un suspense infernal qui aura duré près de quatre ans, contre toutes les attentes, le leader de Benno Bokk Yakaar (BBY) a finalement décidé de renoncer à briguer un troisième mandat, conformément à son engagement. Une décision qui rebat les cartes au sommet de son parti, l’Apr et de sa coalition BBY, à un peu plus de six mois de la présidentielle de 2024. Longtemps tué dans l’œuf, le débat de la succession est désormais lancé. Seneweb se charge du casting !
Amadou Ba, le successeur naturel ?
Le temps de la célébration de la Tabaski, et en l’absence du Président Macky Sall, c’est lui, qui a présidé la prière, enfilant le temps d’une matinée le costume de chef de l’État. Tout un symbole. L’homme a également considérablement épaissi son profil politique au fil des années. Lors des dernières élections locales, Amadou Ba a en effet occupé le poste stratégique de coordinateur national de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (BBY).
En outre, l'expérience considérable d'Amadou Ba comme homme d’État demeure un atout considérable. Avant d'occuper le poste de Premier ministre, il a occupé pendant plusieurs années celui de ministre de l'Économie, des Finances et du Plan du Sénégal (2013-2019), où il a mis en œuvre d'importantes réformes économiques visant à stimuler la croissance et à améliorer la situation financière du pays. Il a aussi tâté de la diplomatie comme ministre des Affaires étrangères (2019-2020).
Avant cela, il a occupé des postes clés au sein de l’administration sénégalaise, notamment celui directeur général des Impôts et des Domaines. Ces fonctions lui ont permis d'acquérir une précieuse expérience dans la gestion des affaires publiques et de développer des compétences politiques essentielles.
`Depuis sa nomination au poste de premier ministre, il s'est engagé à poursuivre les initiatives de développement lancées par le président sortant, en mettant l'accent sur la réduction de la pauvreté, l'amélioration de l'accès à l'éducation et aux soins de santé, ainsi que la promotion de l'emploi et de l'entrepreneuriat des jeunes.
La réussite d'une coalition politique repose souvent sur la capacité de son leader à forger des alliances et à rassembler différents partis et acteurs politiques. Amadou Ba a démontré cette aptitude en travaillant avec succès au sein du gouvernement et en collaborant avec diverses forces politiques pour atteindre des objectifs communs. Sa capacité à construire des ponts et à créer des synergies serait un atout précieux pour maintenir l'unité de la coalition Benno Bokk Yaakaar qui, de l’avis de nombreux observateurs, serait au bord de l’implosion. De plus, son bon relationnel avec les principaux foyers religieux renforce sa position et sa capacité à mobiliser un large soutien.
Abdoulaye Daouda Diallo, le choix du cœur !
Dans le parti (Apr) comme au sein de l’appareil d’État, Abdoulaye Daouda Diallo a toujours joué les grands rôles. Loin des projecteurs, évitant, avec soin, de faire de l’ombre à un Chef réfractaire à tout ‘’bicéphalisme’’. Effacé, on ne lui donnerait point la moindre once d’ambition. D’ailleurs Seneweb ne savait pas si bien dire en dépeignant -dans un portrait- l’ancien argentier de l’État comme un loup dans la peau d’une chèvre. Le prédateur…politique en question avance toujours le visage masqué.
Convaincu qu’un arbre qui tombe fait plus de bruit qu'une forêt qui pousse, Daouda Diallo a toujours tissé sa toile en sourdine. Ce qui lui a permis de battre les records de longévité dans l’attelage gouvernemental qu’il a quitté en septembre 2022 après dix ans de présence à différentes stations. Il a été ministre délégué chargé du Budget auprès du ministre de l’Économie et des finances (2012-2013), avant de diriger le département de l’Intérieur (2013-2017), puis celui des Infrastructures et des transports terrestres (2017-2019) et le ministère des Finances et du budget (2019-2022).
En septembre 2022, la rumeur le donnait locataire de la primature, avant que son « ami », le président Macky Sall ne vienne doucher ses attentes en nommant son éternel rival Amadou Ba. S’étant rebellé contre cette décision, ADD a juste eu le temps de poser ses bagages au cabinet du président de la République avant que ce dernier ne le réconforte avec le poste de président du CESE en remplacement d’Idrissa Seck.
Loyal au président, Abdoulaye Daouda Diallo jouera sûrement sa carte dans cette course à la succession de Macky Sall qui vient de renoncer à briguer un troisième mandat en 2024. Son choix pour porter l’étendard de l’Apr et de Bby pourrait porter sur ADD.
Aly Ngouille Ndiaye, la force tranquille
Victime de la purge du 1er novembre 2020, Aly Ngouille Ndiaye est revenu aux affaires dans le nouveau gouvernement où il dirige le département de l’agriculture. L’ancien banni qui a pris sa revanche sur le parti, en gardant son fief Linguère (où il règne en maître depuis 2012) dans l’escarcelle du pouvoir, est un prétendant sérieux à la succession de Macky Sall. Membre fondateur de l’Alliance pour la République (Apr), le prince du Djolof n’a pas à rougir devant qui que ce soit pour avoir siégé dans le cercle le plus restreint de ce parti. Mais aussi, pour avoir occupé des postes de prestige dans le gouvernement.
Si son éviction du gouvernement, le 1er novembre 2020, a eu l’effet d’un couperet, le Linguérois a pu rebondir seul et remonter la pente jusqu’à revenir au sommet grâce à ses résultats aux dernières élections locales et législatives. Homme de conviction, l’ancien ministre de l’Intérieur s’est toujours gardé loin du débat sur le troisième mandat du président Macky Sall.
S’il a eu des divergences avec le président Macky Sall, c’est parce qu’il avait affiché ses ambitions. Aujourd’hui que le champ est libre, le polytechnicien qui a bourlingué à la BHS, est présidentiable. Il a l’étoffe, la carrure et le parcours nécessaires.
Aïssata Tall Sall, pour briser le plafond de verre
Dans le paysage politique sénégalais, une personnalité politique de renom se distingue en tant que candidate : la "lionne de Podor", Aïssata Tall Sall. Son parcours diversifié et son engagement indéfectible envers le développement de son pays lui ont valu une place prééminente au sein du Parti Socialiste . Née le 12 décembre 1957 à Podor, Aissata Tall Sall a commencé sa carrière politique en tant que ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement de juillet 1998 à avril 2000, sous la présidence d'Abdou Diouf.
En 2007, elle est devenue la première femme à accéder au poste de Secrétaire générale de l'Union régionale de Saint Louis, marquant ainsi son désir de briser les barrières de genre et de favoriser la participation des femmes en politique. Sa crédibilité politique s'est renforcée grâce à son succès en tant qu'élue municipale. En mars 2009, elle a remporté la mairie de sa ville natale sous la bannière de Benno Siggil Sénégal, et a été réélue lors des élections municipales de juin 2014, démontrant ainsi la confiance que lui accordent ses concitoyens.
Aux élections législatives de juillet 2012, Aissata Tall Sall a été élue sur la liste départementale de Benno Bok Yaakar, siégeant ainsi à l'Assemblée nationale sous la présidence de Moustapha Niasse. En mai 2017, elle a fondé le Mouvement "Osez l'Avenir" qui a participé aux élections législatives de juillet de la même année. Elle est devenue députée et a assumé la présidence de ce mouvement. Au-delà de ses réalisations politiques, Aissata Tall Sall est reconnue pour son engagement envers le développement de sa région natale et du Sénégal dans son ensemble. Elle est tour à tour nommée envoyée spéciale du président de la république et ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur.
En plus de son parcours politique, Aissata Tall Sall se démarque par sa vision qui promeut l'inclusion sociale et le développement du Sénégal. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à la lutte pour les droits des femmes et à la promotion de l'égalité des genres. Son engagement en faveur de l'autonomisation des femmes et de leur participation active dans la vie politique et économique du pays a été constant tout au long de son parcours.
Mansour Faye, la tentation dynastique
La rumeur avait fait grand bruit dans les couloirs de la permanence de l’Apr avant d’alimenter les débats dans la presse, il y a quelques années (en 2019 plus précisément). « Mansour Faye, le dauphin caché de Macky Sall » ! Mais, ce gros titre alléchant, s’est vite dégonflé comme un ballon de baudruche. Et c’est le concerné himself qui était monté au créneau pour couper court à la rumeur.
« Je ne parle pas de succession du Président. Je n’accepte pas d’être diverti. Le Président a cinq ans pour continuer ce qu’il a entamé dans son premier mandat. J’ai une mission et je ferai de mon mieux pour réussir mon travail. C’est un challenge. Qu’on ne me parle pas de succession », déclarait-il en mai 2019. Ça, c’était avant le 3 juillet 2023. Aujourd’hui que la course à la succession est lancée, le beau-frère du président de la République, sera, à coup sûr, dans les starting-blocks.
Seulement, le ministre des transports qui a géré des départements assez stratégiques dans l’attelage gouvernemental depuis 2012 avec des allocations budgétaires énormes, devra d’abord redorer son blason terni par plusieurs scandales. Sa gestion des fonds Force Covid épinglée par la Cour des comptes dans son rapport, Mansour Faye a également été critiqué pour avoir refusé de démissionner après l’accident de Sikilo en janvier dernier qui avait fait plus de 40 morts.
Amadou Ba, le successeur naturel ?
Le temps de la célébration de la Tabaski, et en l’absence du Président Macky Sall, c’est lui, qui a présidé la prière, enfilant le temps d’une matinée le costume de chef de l’État. Tout un symbole. L’homme a également considérablement épaissi son profil politique au fil des années. Lors des dernières élections locales, Amadou Ba a en effet occupé le poste stratégique de coordinateur national de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (BBY).
En outre, l'expérience considérable d'Amadou Ba comme homme d’État demeure un atout considérable. Avant d'occuper le poste de Premier ministre, il a occupé pendant plusieurs années celui de ministre de l'Économie, des Finances et du Plan du Sénégal (2013-2019), où il a mis en œuvre d'importantes réformes économiques visant à stimuler la croissance et à améliorer la situation financière du pays. Il a aussi tâté de la diplomatie comme ministre des Affaires étrangères (2019-2020).
Avant cela, il a occupé des postes clés au sein de l’administration sénégalaise, notamment celui directeur général des Impôts et des Domaines. Ces fonctions lui ont permis d'acquérir une précieuse expérience dans la gestion des affaires publiques et de développer des compétences politiques essentielles.
`Depuis sa nomination au poste de premier ministre, il s'est engagé à poursuivre les initiatives de développement lancées par le président sortant, en mettant l'accent sur la réduction de la pauvreté, l'amélioration de l'accès à l'éducation et aux soins de santé, ainsi que la promotion de l'emploi et de l'entrepreneuriat des jeunes.
La réussite d'une coalition politique repose souvent sur la capacité de son leader à forger des alliances et à rassembler différents partis et acteurs politiques. Amadou Ba a démontré cette aptitude en travaillant avec succès au sein du gouvernement et en collaborant avec diverses forces politiques pour atteindre des objectifs communs. Sa capacité à construire des ponts et à créer des synergies serait un atout précieux pour maintenir l'unité de la coalition Benno Bokk Yaakaar qui, de l’avis de nombreux observateurs, serait au bord de l’implosion. De plus, son bon relationnel avec les principaux foyers religieux renforce sa position et sa capacité à mobiliser un large soutien.
Abdoulaye Daouda Diallo, le choix du cœur !
Dans le parti (Apr) comme au sein de l’appareil d’État, Abdoulaye Daouda Diallo a toujours joué les grands rôles. Loin des projecteurs, évitant, avec soin, de faire de l’ombre à un Chef réfractaire à tout ‘’bicéphalisme’’. Effacé, on ne lui donnerait point la moindre once d’ambition. D’ailleurs Seneweb ne savait pas si bien dire en dépeignant -dans un portrait- l’ancien argentier de l’État comme un loup dans la peau d’une chèvre. Le prédateur…politique en question avance toujours le visage masqué.
Convaincu qu’un arbre qui tombe fait plus de bruit qu'une forêt qui pousse, Daouda Diallo a toujours tissé sa toile en sourdine. Ce qui lui a permis de battre les records de longévité dans l’attelage gouvernemental qu’il a quitté en septembre 2022 après dix ans de présence à différentes stations. Il a été ministre délégué chargé du Budget auprès du ministre de l’Économie et des finances (2012-2013), avant de diriger le département de l’Intérieur (2013-2017), puis celui des Infrastructures et des transports terrestres (2017-2019) et le ministère des Finances et du budget (2019-2022).
En septembre 2022, la rumeur le donnait locataire de la primature, avant que son « ami », le président Macky Sall ne vienne doucher ses attentes en nommant son éternel rival Amadou Ba. S’étant rebellé contre cette décision, ADD a juste eu le temps de poser ses bagages au cabinet du président de la République avant que ce dernier ne le réconforte avec le poste de président du CESE en remplacement d’Idrissa Seck.
Loyal au président, Abdoulaye Daouda Diallo jouera sûrement sa carte dans cette course à la succession de Macky Sall qui vient de renoncer à briguer un troisième mandat en 2024. Son choix pour porter l’étendard de l’Apr et de Bby pourrait porter sur ADD.
Aly Ngouille Ndiaye, la force tranquille
Victime de la purge du 1er novembre 2020, Aly Ngouille Ndiaye est revenu aux affaires dans le nouveau gouvernement où il dirige le département de l’agriculture. L’ancien banni qui a pris sa revanche sur le parti, en gardant son fief Linguère (où il règne en maître depuis 2012) dans l’escarcelle du pouvoir, est un prétendant sérieux à la succession de Macky Sall. Membre fondateur de l’Alliance pour la République (Apr), le prince du Djolof n’a pas à rougir devant qui que ce soit pour avoir siégé dans le cercle le plus restreint de ce parti. Mais aussi, pour avoir occupé des postes de prestige dans le gouvernement.
Si son éviction du gouvernement, le 1er novembre 2020, a eu l’effet d’un couperet, le Linguérois a pu rebondir seul et remonter la pente jusqu’à revenir au sommet grâce à ses résultats aux dernières élections locales et législatives. Homme de conviction, l’ancien ministre de l’Intérieur s’est toujours gardé loin du débat sur le troisième mandat du président Macky Sall.
S’il a eu des divergences avec le président Macky Sall, c’est parce qu’il avait affiché ses ambitions. Aujourd’hui que le champ est libre, le polytechnicien qui a bourlingué à la BHS, est présidentiable. Il a l’étoffe, la carrure et le parcours nécessaires.
Aïssata Tall Sall, pour briser le plafond de verre
Dans le paysage politique sénégalais, une personnalité politique de renom se distingue en tant que candidate : la "lionne de Podor", Aïssata Tall Sall. Son parcours diversifié et son engagement indéfectible envers le développement de son pays lui ont valu une place prééminente au sein du Parti Socialiste . Née le 12 décembre 1957 à Podor, Aissata Tall Sall a commencé sa carrière politique en tant que ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement de juillet 1998 à avril 2000, sous la présidence d'Abdou Diouf.
En 2007, elle est devenue la première femme à accéder au poste de Secrétaire générale de l'Union régionale de Saint Louis, marquant ainsi son désir de briser les barrières de genre et de favoriser la participation des femmes en politique. Sa crédibilité politique s'est renforcée grâce à son succès en tant qu'élue municipale. En mars 2009, elle a remporté la mairie de sa ville natale sous la bannière de Benno Siggil Sénégal, et a été réélue lors des élections municipales de juin 2014, démontrant ainsi la confiance que lui accordent ses concitoyens.
Aux élections législatives de juillet 2012, Aissata Tall Sall a été élue sur la liste départementale de Benno Bok Yaakar, siégeant ainsi à l'Assemblée nationale sous la présidence de Moustapha Niasse. En mai 2017, elle a fondé le Mouvement "Osez l'Avenir" qui a participé aux élections législatives de juillet de la même année. Elle est devenue députée et a assumé la présidence de ce mouvement. Au-delà de ses réalisations politiques, Aissata Tall Sall est reconnue pour son engagement envers le développement de sa région natale et du Sénégal dans son ensemble. Elle est tour à tour nommée envoyée spéciale du président de la république et ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur.
En plus de son parcours politique, Aissata Tall Sall se démarque par sa vision qui promeut l'inclusion sociale et le développement du Sénégal. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à la lutte pour les droits des femmes et à la promotion de l'égalité des genres. Son engagement en faveur de l'autonomisation des femmes et de leur participation active dans la vie politique et économique du pays a été constant tout au long de son parcours.
Mansour Faye, la tentation dynastique
La rumeur avait fait grand bruit dans les couloirs de la permanence de l’Apr avant d’alimenter les débats dans la presse, il y a quelques années (en 2019 plus précisément). « Mansour Faye, le dauphin caché de Macky Sall » ! Mais, ce gros titre alléchant, s’est vite dégonflé comme un ballon de baudruche. Et c’est le concerné himself qui était monté au créneau pour couper court à la rumeur.
« Je ne parle pas de succession du Président. Je n’accepte pas d’être diverti. Le Président a cinq ans pour continuer ce qu’il a entamé dans son premier mandat. J’ai une mission et je ferai de mon mieux pour réussir mon travail. C’est un challenge. Qu’on ne me parle pas de succession », déclarait-il en mai 2019. Ça, c’était avant le 3 juillet 2023. Aujourd’hui que la course à la succession est lancée, le beau-frère du président de la République, sera, à coup sûr, dans les starting-blocks.
Seulement, le ministre des transports qui a géré des départements assez stratégiques dans l’attelage gouvernemental depuis 2012 avec des allocations budgétaires énormes, devra d’abord redorer son blason terni par plusieurs scandales. Sa gestion des fonds Force Covid épinglée par la Cour des comptes dans son rapport, Mansour Faye a également été critiqué pour avoir refusé de démissionner après l’accident de Sikilo en janvier dernier qui avait fait plus de 40 morts.
Le tollé déclenché par le reportage de BBC sur la grosse ferme de sa fille et le procès en diffamation qui s’en est suivi contre l’activiste Gas El Salvador, de même que le scandale des 98 milliards de francs CFA éventé par Bougane Guèye Dany, sont traînés par Mansour Faye comme un boulet.
Par Moustapha Toumbou et Thiebeu NDIAYE
96 Commentaires
Chasseur De Têtes Septique
En Juillet, 2023 (08:35 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:40 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:20 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:25 AM)Cest un type qui ne peut apporter aucune rupture et il va reproduire les défauts du système. C'est le fonctionnnaire milliardaire.
Reply_author
En Juillet, 2023 (09:32 AM)L'argument qu'ils n'ont se connus sur le plan national. On a dépassé ce monde . En 24 H, avec les réseaux sociaux, tout le monde vous connaît si vous posez votre candidature mais ceux là ils ont un problème de profils adaptés à ce contexte politique.
Anna Bourou Ak Soow ?
En Juillet, 2023 (09:36 AM)La Verite
En Juillet, 2023 (09:42 AM)- Macky n'a pas assez préparé son parti à son depart.
- Le parti n'a pas choisi et préparé (roder, former, impregner) à temps le successeur de Macky.
- Aucun candidat de cette coalition n'est très connu, très populaire ou au dessus du lot.
- Et pour terminer, le peuple fera toujours le lien entre la tentative de briguer un 3e mabdat du pachiderme et son successeur.
Poseidon Badji
En Juillet, 2023 (10:01 AM)Moustapha Dakhaté a conseillé macky de radier sonko des impôts, sonko la radié, pour l'instant, de la présidence.
Reply_author
En Juillet, 2023 (10:12 AM)Sinon Macky avec tous les milliards amassés reviendra foutre la merde
Reply_author
En Juillet, 2023 (10:17 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (10:24 AM)- Farba Ngom
- Marième Faye Sall
- Zahra Iyane Thiam
- Mame Mbaye Niang
- Diouf Looser Sarr
Reply_authorjahman
En Juillet, 2023 (12:22 PM)Reply_authors
En Juillet, 2023 (12:45 PM)Reply_author
En Juillet, 2023 (18:40 PM)Reply_author
En Juillet, 2023 (19:39 PM)Reply_author
En Juillet, 2023 (20:01 PM)Reply_author
En Juillet, 2023 (20:57 PM)Bocar Touré
Reply_author
En Juillet, 2023 (20:59 PM)Bamboozled
En Juillet, 2023 (01:41 AM)réfléchissez un peu. Pourquoi Ousmane est tjrs en liberté? Posez vous cette question. Qu'attendent ils? Eh bien, à mon avis ils attendent que les élections soient proches pour qu'il mette le feu et déclare instabilité donc pas moyen d'avoir des élections. Voilà leur dernière carte.
Reply_author
En Juillet, 2023 (18:12 PM)Papy
En Juillet, 2023 (08:07 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (18:25 PM)Amadou Ba
En Juillet, 2023 (08:34 AM)Wakhatico
En Juillet, 2023 (08:43 AM)sommeil quand le moment viendra
Sacchi
En Juillet, 2023 (08:59 AM)Si il sort, les rues sont pleines...SONKO, SONKO.
Et tout le monde sait sur des elections transparentes, où il participerait , il battrai tout le monde au premier Tour.
C'est cela , l'effet et l'IMPACT SONKO.
Il vont le bloquer sur des mensonges et le candidat qu'il soutiendra, gagnera les elections.
ON VA VOIR. Il est et reste, celui qui determinera l'avenri du Senegal des prochaines 5 ans, En prison ou en dehors.
Reply_author
En Juillet, 2023 (09:06 AM)Vaux Riens
En Juillet, 2023 (09:16 AM)ils ont d'excellent marabout suffi ( Macky c'est son chérif beau père de son filant en pkus des grands foyers de Medina ndiaye et autre du Fouta gravement entretenus et gérés par Farba Ngom - qui on se souvient avait décidé de ne pas touché à un centime de son salaire de parlementaire - réservant le tout au grand a foyers religieux suffi du Fotuta.
Amadou Ba lui a un excellent suffi le Thierno Aliou Thiam de Wourossogui. Et sans doute Thierno Samassa de Matam à cote.
Voila la réalité de côté leadership du moment très incapable, Mais ils sont par la combinaison suivante:
beaucoup de milliards volés riche + Prière en permance de suffi religieux + un peu de confience procure par un troupeau de bétail electoro laudateurs.
Sinon a écouté Anadou Ba on se rend compte qu'il est trop vide d'essence - et paraît en mauvaise santé ( regardez son ventre, sa morphologie pour son âge très jeune ). le système est désavoué ne vous cassez pas la tête.
si vous parlez d'Amadou Ba pourquoi ne pas imaginer Farba - Amadou n'est pas solide pas cultivé du tout. Il ne raisonne pas bien.
Reply_author
En Juillet, 2023 (12:58 PM)Damaye ladji rek! Bouma kene sagua nak!
Reply_author
En Juillet, 2023 (12:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2023 (08:08 AM)Spaghetti
En Juillet, 2023 (08:31 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (10:41 AM)c'est des racistes diviseurs dangereux pour l'union du Sénégal!!!
Replythipiri_author
En Juillet, 2023 (21:15 PM)Un Seul Senegal
En Juillet, 2023 (07:17 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:19 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:53 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:08 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (12:16 PM)Nahii
En Juillet, 2023 (08:11 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:43 AM)Senegal
En Juillet, 2023 (08:14 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:52 AM)Fodé Kaba
En Juillet, 2023 (08:24 AM)APR tass naa 🎶
APR tass naa 🎶 soulène ko 🎶
APR tass naa 🎶
Lol
PASTEF kouko songou tass
Le Sénégal Qui Gagne
En Juillet, 2023 (08:32 AM)Guy ministre de l'intérieur ,kou marche mou ende Ak yaw
Dame mbodj ministre éducation,kou grève moi youhou ba kene doula déég
Gérer pays métiwoul
Reply_author
En Juillet, 2023 (12:21 PM)Salam
En Juillet, 2023 (08:28 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:43 AM)Ano
En Juillet, 2023 (08:32 AM)FINISSEZ votre mandat dans la paix et la serenite d'esprit!!
MERCI PRÉSIDENT
Apriste
En Juillet, 2023 (08:40 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (10:13 AM)Fodé Kaba
En Juillet, 2023 (08:41 AM)Ndoye
En Juillet, 2023 (08:42 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:11 AM)Pape
En Juillet, 2023 (08:42 AM)Badou
En Juillet, 2023 (08:46 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:55 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:02 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:31 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (13:04 PM)Daya
En Juillet, 2023 (09:09 AM)Bakari Kanté
En Juillet, 2023 (09:12 AM)Biscut
En Juillet, 2023 (09:17 AM)Gnij-gnij
En Juillet, 2023 (09:28 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (18:37 PM)Avec l'expérience que nous avons eu avec Macky, plus jamais un peulh ne dirigera le Sénégal aay badolo lagnou.
A s'aventurant avec ces peulhs on risque la guerre civile et avec une grande probabilité d'avoir une majorité de guineens dans notre administration.
Reply_author
En Juillet, 2023 (10:59 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (12:43 PM)Replythipiri_author
En Juillet, 2023 (21:22 PM)Baye Falou Tas
En Juillet, 2023 (09:33 AM)Ggg
En Juillet, 2023 (09:40 AM)Kane
En Juillet, 2023 (09:42 AM)Anonyme
En Juillet, 2023 (09:49 AM)Pas de sectaires et d'ethnicistes
Nanditee
En Juillet, 2023 (10:01 AM)Mamour
En Juillet, 2023 (10:04 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (12:29 PM)A défaut de faire un 3ème mandat, Macky a fait un pacte avec Idrissa Seck et comme Sonko est out, il pense que le chemin est tracé pour Idy.
Pape
En Juillet, 2023 (11:10 AM)Metefe
En Juillet, 2023 (11:13 AM)Bounkhatab
En Juillet, 2023 (11:25 AM)Sandjoxo
En Juillet, 2023 (11:26 AM)Anonyme
En Juillet, 2023 (11:29 AM)Apr
En Juillet, 2023 (11:30 AM)Fufu
En Juillet, 2023 (11:35 AM)c est Sonko qui a obligé Macky à declarar forfait mais ne profitera de la situation pour devenir president.
Contribuable
En Juillet, 2023 (12:02 PM)vraima je n'ai plus aucun espoir pour 2024 on va perdre le pouvoir
Reply_author
En Juillet, 2023 (12:28 PM)APR doit juste avoir le courage de se trouver un autre candidat consensuel car Macky les a sacrifié pour ne pas leur avoir permis d' avoir un candidat depuis au moins 2 ans
Ils ont joué à l' hypocrisie et ils ont toutes les chances de perdre
Truth
En Juillet, 2023 (13:14 PM)Lynx
En Juillet, 2023 (13:19 PM)Pour un Sénégal apaisé,sérieux et respectable. Insha Allah
Alabonima président haal pulaar c'est tout !
Peulpodor
En Juillet, 2023 (16:08 PM)Macky devrai investir Ousmane Sonko. Ya que lui qui peut gagner les elections haut la main.
Mayoro
En Juillet, 2023 (16:10 PM)Senegalrekk
En Juillet, 2023 (16:11 PM)Lesonkolais
En Juillet, 2023 (16:50 PM)Macky Sall
En Juillet, 2023 (17:22 PM)Abcd
En Juillet, 2023 (18:00 PM)Lebaolbaol Tigui
En Juillet, 2023 (19:35 PM)Maham Poulal
En Juillet, 2023 (18:21 PM)Lebaolbaol Tigui
En Juillet, 2023 (19:28 PM)Sos
En Juillet, 2023 (19:43 PM)Xeme
En Juillet, 2023 (20:50 PM)Dempo
En Juillet, 2023 (20:52 PM)Reply_author
En Juillet, 2023 (20:52 PM)Anonyme
En Juillet, 2023 (20:57 PM)Discret, loyal et empêtré dans aucun scandale
Thiokk
En Juillet, 2023 (21:09 PM)Le Roi Biton De Segou
En Juillet, 2023 (21:56 PM)Dibb
En Juillet, 2023 (22:29 PM)Zooty
En Juillet, 2023 (22:30 PM)Fatoumata
En Juillet, 2023 (22:31 PM)Guy Kane
En Juillet, 2023 (22:32 PM)Xeme
En Juillet, 2023 (08:22 AM)Faire croire que Macky a volontairement décidé de ne pas être candidat tout en reconnaissant qu'il n'a pas préparé son parti et sa relève. Et ajouter que la préparation de son parti et de sa relève sont cruciales.
La chanson dit que c'est dur d'être un bébé, mais c'est aussi dure d'être un journaliste peintre de Macky Sall.
Dia
En Juillet, 2023 (08:23 AM)Xarite
En Juillet, 2023 (09:46 AM)Participer à la Discussion