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Politique

Pape Alé Niang vilipende un membre de la Cena pris en flagrant délit de partialité

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Pape Alé Niang vilipende un membre de la Cena pris en flagrant délit de partialité

Dans cet audio, Pape Alé Niang lit et se délecte du mail suspect d'un membre de la Cena pris en flagrant délit de partialité en vue delà présidentielle du 24 février.



50 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:43 PM)
    et toi es-tu impartial ?
  2. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:44 PM)
    C EST : S.N.B.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:47 PM)
    Diereudieuf pape ale niang> Yalla na la Yalla fay.

    continuel di vilipende rek salaw match bi dos tombe ni mou ko chalaze.

    Kokou nak Yalla mookoweer dioum si mail erreur bour garaww ohoooooooooooooooo :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei  mbeulei 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:47 PM)
    c'est apres le bal que les musiciens sont payes ! gagni lou lagnou kham c'est pourquoi
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:52 PM)
    Encore de l'intoxe venant d'un ex journaliste no partiel. En plus toi quand tu te croyais journaliste tu étais pas du tout parciel attend un peu rek juste 15 jours nga khamni lépu deug la toutes tes calculs seront faussé. Ivrogne que tu es
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:52 PM)
    Erreur de frappe satchbi dou Yomba. Na nieuppa vote rek. negam wade ak diouf lagnoufi dieule te you yoron gour gui ak ay milliards di ki campagne bou Yalla decide rek mak dekgage. Vote massif et in Cha Alla rv le 24 au soir.

    c est la main de Dieu erreur de mail erreur très rare.

    Grand merci pape ale. tawfekh . les répondeurs automatiques a vos claviers.  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">   :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (16:53 PM)
    vive pape
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    Auteur

    Onditout

    En Février, 2019 (17:01 PM)
    Ravi pour vos buzz politiques qui n hororent pas les cafards concernpasDeux journalistes de plateau pour nos elections manquent à l appel :s.l.Niasse , helas rappelé par le DIVIN et Pape A.Niang.Vous nous apportiez l enthousiasme de vivre la campagne.Dommage que vous soyez passé sous un gros et enorme rouleau compresseur.bien à vous.
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    Auteur

    Focusactu.net

    En Février, 2019 (17:03 PM)
    Bonjour! Voici votre nouveau site d'information focusactu.net. Un site qui traite de l'actualité au Sénégal et dans le monde. Bienvenus à tous!
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (17:11 PM)
    Et s'il avait inventé un mail qui n'existait pas.

    Il épouse et travaille pour la ligne de Wade et sonko de contestation de la victoire de Macky. Quitte à inventer s'il le faut.
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    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (17:20 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (17:20 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (17:20 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Auteur

    Oumou

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    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    En Février, 2019 (17:20 PM)
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    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    En Février, 2019 (17:20 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (17:20 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Oumou

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Anonyme

    En Février, 2019 (17:21 PM)
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    Auteur

    Beldisen Anonyme

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    En tout cas pape vous faites un travail remarquable qu Allah vous garde vous êtes très courageux
    Auteur

    Beldisen Anonyme

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    En tout cas pape vous faites un travail remarquable qu Allah vous garde vous êtes très courageux
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    Auteur

    Oumou

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Oumou

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
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    Oumou

    En Février, 2019 (17:21 PM)
    Macky a bouclé ses sept ans de gouvernance et sollicite un second mandat après avoir, renié tous ses engagements et terriblement dégradé toutes nos valeurs de référence. Nous refusons d’être amnésiques et nous rappelons encore comme si c’était hier son premier message à la Nation le 2 avril 2012. Il y affirmait notamment :



    – « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.

    – Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.





    – À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !

    Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».



    Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.





    Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
    Auteur

    Mediocres

    En Février, 2019 (17:24 PM)
    SITE OFFICIEL DE LA CENA "bamboula version 1 faute"



    Article L.11



    Sauf cas de flagrant délit, les membres de la C.E.N.A ne peuvent être poursuivis, recherchés, arrêtés, détenus ou jugés pour des opinions

    expreimées

    ou des actes commis dans l'exercice de leurs fonctions.



    aucune rigueur,aucune relecture : bled de médiocres GRAWOUL

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    Auteur

    Sems

    En Février, 2019 (17:26 PM)
    pap alle tu es de l'opposition et lui du pouvoir ou est le problème. tu propagande pour la victoire de l'opposition respect pour le choix de l'autre
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    Auteur

    Aliou

    En Février, 2019 (17:31 PM)
    Mais attends, personne n'est indifférent aux 5 candidats. Ce qui est important c'est d'etre impartial dans le travail dévolu à la CENA et sur les faits. Les conversations entre amis, par mails ou téléphones à titre privé ne peuvent en aucune façon entacher la crédibilité des membres du CENA. Si on diffusé les entretiens que tu as eu avec Sonko, khalifa Sall et autres est ce tu resterais aussi longtemps à la 2 STV.
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    Auteur

    Sathies

    En Février, 2019 (17:43 PM)
    bayyil nekk seytané

    merci Elhadj NDIAYE

    Tais toi NIANG tu as préféré SONKO à d'autres jus qu'à lui servir de prête nom à son site d'information :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :taz-smile:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2: 
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (18:29 PM)
    Pape Alé n'a aucune crédibilité.Il raconte des bobards
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    Auteur

    Anonyme Mamie Pape Le Mail Env

    En Février, 2019 (18:59 PM)
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    Auteur

    Dg

    En Février, 2019 (19:19 PM)
    De gayi dul rek
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (20:00 PM)
    Son boulot c'est d'informer et non de vilipender
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (20:01 PM)
    Son boulot c'est d'informer et non de vilipender
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (20:08 PM)
    Ay journalist youy mandi ba réér, dax fi yax dérou diambour, am na senegal ... di tek ay deal you tar, tey bagn kou toud ay mbiram.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (21:21 PM)
    Macky mo dakha mandi, daxa sathie,daxa féne.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (22:21 PM)
    Çà y est l'ivrogne vaurien réapparaît . Je jure Pape Ale que le 25 février tu boiras ta honte jusqu'à la lie. Pape Ale, la différence entre Macky c'est vos mamans. Macky a été mis au monde par une femme pieuse, vertueuse et digne.
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (00:10 AM)
    Pape Ale ,Dieu n'aime pas les menteurs et leur a promis un châtiment exemplaire le Jour du Jugement.

    Pape Ale, Macky a été mis au monde par une femme remarquable: pieuse, vertueuse et digne.

    Pape Ale, Macky est à dos d'éléphant et la rosée ne peut toucher ses pieds

    Pape Ale , Macky a la bénédiction de ses parents, des hommes de Dieu et des gens sincères et les vomissures d'un ivrogne ne peuvent pas l'atteindre

    Pape Ale, les enfants bénis n'insultent pas, de dénigrent pas, ne calomnient pas, ne diffament pas et respectent l'honneur et la dignité du proche.

    Pape Ale , quand tu cognes le mur et qu'il ne s'écroulent , rebrousses chemin car ta tète sera fêlée pour rien et le mur ne le saura même pas.

    Pape Ale, en toute il faut respecter la mesure , 7 ans de de mensonges n'ont fait que te maigrir davantage et obtenir le mépris de bonnes personnes, tous ceux qui lancent des fleurs sont de la même nature que toi , des ratés , des aigris, des marginaux , des laissés pour compte, des incapables, des jaloux du succès d’autrui, des haineux qui en veulent meme au bon Dieu..



    Pape Ale, je jure que le 25 février, le monde entier verra la victoire triomphale et éclatante de l'enfant Choisi par Dieu et béni de ses parents. Ce jour là toi et tes semblables, vous raserez le mur la queue entre vos pattes et vous irez cuver votre "banji" et fumer le "calumet de la défaite". Je le jure

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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (11:32 AM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2019 (14:04 PM)
    Ce Macky vous vend un plan sénégal endetté (PSE) qui ne vaut même pas la poudre de perlimpinpin, il dilapide vos ressources naturelles, salit l'image de votre pays sur la scène internationale en emprisonnant ses opposants politiques, truque vos élections, affame le peuple et manipule votre justice, Vous faites partis des 25 pays les plus pauvres de la planète mais au lieu de résoudre ces maux, vous chantez et dansez à ses côtés comme des insensés au point d'ignorer votre situation misérable actuelle.
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    Auteur

    Fa

    En Février, 2019 (18:16 PM)
    Est-ce que toi tu es impartial. Ton rôle n'est pas de vilipender, mais d'informer juste et vrai sans parti pris, du moment que tu es dans un camp tout ce que tu diras n'aura pas de valeur pour nous simples citoyens. Nous ne faisons pas de politique, nous ne nous nourrissons pas de chantage et nous attendons le 24 pour aller voter tranquillement et rentrer chez nous un point c'est tout.
    Auteur

    Fa

    En Février, 2019 (18:16 PM)
    Est-ce que toi tu es impartial. Ton rôle n'est pas de vilipender, mais d'informer juste et vrai sans parti pris, du moment que tu es dans un camp tout ce que tu diras n'aura pas de valeur pour nous simples citoyens. Nous ne faisons pas de politique, nous ne nous nourrissons pas de chantage et nous attendons le 24 pour aller voter tranquillement et rentrer chez nous un point c'est tout.
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    Fa

    En Février, 2019 (18:16 PM)
    Est-ce que toi tu es impartial. Ton rôle n'est pas de vilipender, mais d'informer juste et vrai sans parti pris, du moment que tu es dans un camp tout ce que tu diras n'aura pas de valeur pour nous simples citoyens. Nous ne faisons pas de politique, nous ne nous nourrissons pas de chantage et nous attendons le 24 pour aller voter tranquillement et rentrer chez nous un point c'est tout.
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    Fa

    En Février, 2019 (18:16 PM)
    Est-ce que toi tu es impartial. Ton rôle n'est pas de vilipender, mais d'informer juste et vrai sans parti pris, du moment que tu es dans un camp tout ce que tu diras n'aura pas de valeur pour nous simples citoyens. Nous ne faisons pas de politique, nous ne nous nourrissons pas de chantage et nous attendons le 24 pour aller voter tranquillement et rentrer chez nous un point c'est tout.
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    En Février, 2019 (18:16 PM)
    Est-ce que toi tu es impartial. Ton rôle n'est pas de vilipender, mais d'informer juste et vrai sans parti pris, du moment que tu es dans un camp tout ce que tu diras n'aura pas de valeur pour nous simples citoyens. Nous ne faisons pas de politique, nous ne nous nourrissons pas de chantage et nous attendons le 24 pour aller voter tranquillement et rentrer chez nous un point c'est tout.
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    En Février, 2019 (18:16 PM)
    Est-ce que toi tu es impartial. Ton rôle n'est pas de vilipender, mais d'informer juste et vrai sans parti pris, du moment que tu es dans un camp tout ce que tu diras n'aura pas de valeur pour nous simples citoyens. Nous ne faisons pas de politique, nous ne nous nourrissons pas de chantage et nous attendons le 24 pour aller voter tranquillement et rentrer chez nous un point c'est tout.
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