Macky Sall n’aimerait pas être surpris par l’un de ses alliés qui multiplie les sorties à son encontre. Setal.net apprend du quotidien l’Observateur que le président de la République est en train de travailler au corps les députés non-alignés pour qu’en cas de défection des députés de Rewmi, sa majorité ne soit pas affaiblie.
Et c’est au président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakkar qu’il a confié cette mission. Ce que Moustapha Diakhaté ne nie pas. Accroché par nos confrères de l’Observateur, il s’aplatit : « Je suis en contact permanent avec les députés Sokhna Dieng Mbacké, Seynabou Wade, Abdoulaye Makhtar Diop, Me Abatalib Guèye, Khady Diédhiou, Abdoulaye Baldé même si l’on se ne se voit pas beaucoup ».
Mieux, à l’en croire, quelque soit la posture des députés rewmistes, l’Apr restera majoritaire à l’Assemblée nationale. « Même s’ils quittent le groupe parlementaire, je ne le souhaite pas, nous resterons majoritaires. Nous aurons toujours 117 députés. Nous pouvons aussi combler le gap par les autres », se fait-il prévenant.
7 Commentaires
Xeme
En Avril, 2013 (19:22 PM)Marie Deme
En Avril, 2013 (19:22 PM)Ce Mr. diakhate se moque vraiment du peuple. Si vous etes a l assemblee pour l interet du peuple vous ne devriez pas vous soucier d' etre majoritaire ou minoritaire. les 117 voix a l assemblee ne representent rien face a une population fatiguee de vos mensonges et arrogance!!!
Soyez 117 a l interieure nous serons des millions devant les grilles de notre Assemblee Nationale
Lu Pour Vous
En Avril, 2013 (20:16 PM)« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »
Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.
« Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti. »
Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)
Louway Def Bopam
En Avril, 2013 (21:02 PM)Baayye
En Avril, 2013 (22:10 PM)Xoool
En Avril, 2013 (23:20 PM)Pipo
En Avril, 2013 (09:33 AM)Participer à la Discussion