Tambacounda abrite aujourd’hui un Conseil interministériel qui se penchera sur les problèmes de la région et formulera des recommandations pour son décollage économique. La rencontre est prévue au siège du Conseil régional. Le Conseil des ministres, prévu demain, se tiendra à l’Hôtel de ville. Aux sièges de ces deux institutions où s’est rendu l’équipe du « Soleil », tout est fin prêt pour mettre le président de la République et son gouvernement dans de bonnes conditions de travail. «L’Hôtel de ville abrite la réunion du Conseil des ministres. Actuellement, tout est fin prêt », confie Mamadou Moustapha Dieng, le secrétaire général de la commune. Il a rappelé qu’une équipe de jeunes s’active pour rendre la ville plus propre. « Nous ne voulons pas de dépôt d’ordures. L’éclairage public a été restauré », a ajouté M. Dieng. Les locaux de ces deux institutions ont été repeints et bien nettoyés. Il en est de même de la gouvernance.
13 Commentaires
Fired
En Avril, 2013 (06:17 AM)Bobof
En Avril, 2013 (06:32 AM)Laye
En Avril, 2013 (07:22 AM)Le déplacement des conseils de ministre n'a aucun sens pour le sénégalais qui ne mange qu'une seule fois par jour.
Justice Pour Tous
En Avril, 2013 (08:41 AM)« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »
Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.
« Problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.»
Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)
Vérité Sur Le Fouta
En Avril, 2013 (09:02 AM)Souleymane
En Avril, 2013 (09:07 AM)Toune
En Avril, 2013 (09:16 AM)Pipo
En Avril, 2013 (09:19 AM)Azikol
En Avril, 2013 (09:33 AM)A Bas Diambate
En Avril, 2013 (09:38 AM)Baykatte
En Avril, 2013 (09:41 AM)HONTEUX POUR LE SENEGAL
Xas
En Avril, 2013 (10:19 AM)Ratt
En Avril, 2013 (17:38 PM)Qui trompe-t-on?
Rien ne va dans ce pays
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