En Côte d'Ivoire, la partie civile se heurte à la difficulté de prouver la responsabilité de Simone Gbagbo dans les crimes commis lors de la crise post-électorale de 2010-2011. L'ancienne première dame ivoirienne, poursuivie pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, nie toujours en bloc les faits qui lui sont reprochés. Et réclame des preuves qui pour l'instant ne sont toujours pas apportées.
Face à face, les deux parties campent sur leurs positions. D'affirmations en dénégations, l'audience semble même parfois tourner en rond.[Lire la suite sur ivoirematin.com]
4 Commentaires
Watt
En Juin, 2016 (09:34 AM)La femme d'un chef d’État n'a aucun pouvoir sur les forces de l'ordre si ces dernières se respectent. Donc donnez nous du plus croustillant.
Yatt
En Juin, 2016 (10:08 AM)Le cas Hissène HABRE au Sénégal en est la preuve.
Anonyme
En Juin, 2016 (11:14 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (15:02 PM)Participer à la Discussion