Les Déégations spéciales ne peuvent plus ordonner des dépenses depuis la publication de l’arrêté portant suspension de l’installation de leurs remplaçantes. Du coup, les salaires des contractuels et les activités socio-sportives sont paralysées.
La suspension de l’arrêté ministériel de remplacement des Délégations spéciales n’est pas sans conséquences dans les communautés rurales du département de Rufisque. Salgalkam, Niague, Bambilor, Diakhaye et Tivaouane Peulh croulent dans une situation assez spéciale. Les présidents des Délégations spéciales ne sont plus compétents et les nouveaux ne sont toujours pas installés. Conséquences : les services financiers de l’Etat ne reconnaissent plus aux présidents leur statut ; leurs comptes sont gelés et toutes les actions humanitaires et autres activités sociales sont paralysées.
Des présidents de Délégation spéciale confient n’avoir pas perçu leur salaire du mois d’août parce que le payeur du trésor dénie toute valeur juridique à leur signature. Ils se retrouvent aujourd’hui, dans une incompétence totale. Mieux encore, les actions humanitaires, qui plus est en ce mois béni du Ramadan, n’ont pu se faire. Il en est de même des subventions allouées aux associations sportives et culturelles (Asc). Le mouvement Navétane, un culte dans ces terroirs, risque d’être suspendu à cause de ce blocage.
Si les services financiers refusent tout décaissement pour les présidents des Délégations spéciales, ils acceptent, toutefois, de percevoir les bons de recettes émanant des mêmes autorités.
Le Quotidien a appris que le préfet de Rufisque a été saisi de cette situation et a promis de rendre compte «à qui de droit». Joint par téléphone hier, Moustapha Dieng n’a pas voulu s’épancher sur ce problème «par principe».
La suspension de l’arrêté ministériel de remplacement des Délégations spéciales n’est pas sans conséquences dans les communautés rurales du département de Rufisque. Salgalkam, Niague, Bambilor, Diakhaye et Tivaouane Peulh croulent dans une situation assez spéciale. Les présidents des Délégations spéciales ne sont plus compétents et les nouveaux ne sont toujours pas installés. Conséquences : les services financiers de l’Etat ne reconnaissent plus aux présidents leur statut ; leurs comptes sont gelés et toutes les actions humanitaires et autres activités sociales sont paralysées.
Des présidents de Délégation spéciale confient n’avoir pas perçu leur salaire du mois d’août parce que le payeur du trésor dénie toute valeur juridique à leur signature. Ils se retrouvent aujourd’hui, dans une incompétence totale. Mieux encore, les actions humanitaires, qui plus est en ce mois béni du Ramadan, n’ont pu se faire. Il en est de même des subventions allouées aux associations sportives et culturelles (Asc). Le mouvement Navétane, un culte dans ces terroirs, risque d’être suspendu à cause de ce blocage.
Si les services financiers refusent tout décaissement pour les présidents des Délégations spéciales, ils acceptent, toutefois, de percevoir les bons de recettes émanant des mêmes autorités.
Le Quotidien a appris que le préfet de Rufisque a été saisi de cette situation et a promis de rendre compte «à qui de droit». Joint par téléphone hier, Moustapha Dieng n’a pas voulu s’épancher sur ce problème «par principe».
10 Commentaires
P
En Août, 2012 (16:10 PM)Né Vers 1939
En Août, 2012 (16:21 PM)Où va-t-on avec ces gens?
Confrontés à la réalité de la gestion, nous découvrons qu'ils ne valent absolument rien
En tant que maire de Saint-Louis il ne sait même pas qu'un arrêté de suspension aura des conséquences sur les rapports avec les organes centraux comme le trésor
Nul nul nul
Reply_author
En Juillet, 2023 (07:23 AM)Gueulard
En Août, 2012 (16:24 PM)Yirim Mbangik
En Août, 2012 (16:38 PM)Yaffouss
En Août, 2012 (16:49 PM)Samabakheury
En Août, 2012 (16:52 PM)Sanar
En Août, 2012 (16:58 PM)Bahpulloh
En Août, 2012 (17:53 PM)Abc
En Août, 2012 (12:57 PM)Mbaye Badiane
En Août, 2012 (14:40 PM)Participer à la Discussion