
Sur ces entrefaites, il dit qu’il avait décidé d’aller voir sa tante pour en discuter avec elle mais malheureusement son déplacement a été vain puisqu’il n’a pas trouvé celle-ci dans la maison. « Je suis entré dans l’agence pour faire un envoi. Au moment de remettre le montant à envoyer à la caissière, c’était 150 mille francs CFA, cette dernière a vu l’arme que je détenais et a commencé à crier au voleur. Elle a déployé ses cordes vocales pour ameuter le quartier. Paniqué, j’ai voulu prendre mes jambes à mon cou pour sauver ma peau », a-t-il expliqué.
Poursuivant, toujours pour se dédouaner, il a nié l’accusation selon laquelle, il a volé le pistolet. « Je n’ai pas volé l’arme mais je l’ai empruntée », dit-il pour se tirer d’affaires. Le défenseur militaire, le commandant Mamadou Birane Wane, tout comme les autres avocats constitués dans cette affaire ont plaidé l’application bienveillante de la loi. Car selon eux, le prévenu n’avait pas l’intention de faire du mal. L’affaire est mise en délibéré pour jugement qui sera rendu le 24 décembre prochain.
1 Commentaires
Kelvin
En Novembre, 2020 (10:51 AM)[email protected]
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