Vendredi 29 Mars, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Justice

Retour de parquet des journalistes: Le Procureur ouvre une information judiciaire

Single Post
Les trois journalistes arrestés

Alioune Badara Fall, Mamadou Seck et Mouhamed Guèye ont passé la nuit d hier au commissariat central de Dakar. Le maître des poursuites a décidé d ouvrir une information judiciaire, après les avoir entendus dans l après-midi, rapporte Le Quotidien. Bénéficiant d un retour de parquet, ils seront entendus aujourd hui par Serigne Bassirou Guèye, Procureur de la république, qui décidera de la suite à donner dans leurs dossiers respectifs.

L ouverture d une information judiciaire est décidée par le Procureur de la république qui rédige pour cela un réquisitoire introductif ou plus rarement et sous certaines conditions, par la victime d une infraction par le biais d une plainte avec constitution de partie civile. Dans le cas des délits, une information judiciaire est ouverte, si le Ministère public le décide, lorsque les faits sont complexes et nécessitent des investigations poussées.



10 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Juillet, 2015 (07:35 AM)
    Gouddel djel rek....les faits sont avérés wayyye ....pourquoi allonger la procédure. Ils sont fautifs jusqu'à la moelle. Au gnouf
  2. Auteur

    Fierté

    En Juillet, 2015 (08:01 AM)
    k l gouvernemen n recule ces journaliste non pa l sens de la responsabilité



    "la liberté à ces limites k la liberté n connai poin" disai l'autre



    Prenez vos responsabilité cher concitoyen
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Juillet, 2015 (08:09 AM)
    je crois k mamoudou ibra kane doit avoir honte kan il dit qu'on devait poursuivre les journaliste pour divulgation de fausses infos mais je lui rappel que toute info n'est pas a divulger ils n'ont ka assumer
    {comment_ads}
    Auteur

    Ragal

    En Juillet, 2015 (08:46 AM)
    Pour une histoire de liberté de la presse, ces journalistes se croient tous permis et même être au dessus de la loi. Ils n'arrivent pas à faire la différence entre secret défense et infos public.

    il faut un procès qui servira de leçon à tout le monde.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme Fma

    En Juillet, 2015 (08:47 AM)
    la republique ca se respecte............on ne doit pas pour vendre ces journaux........vendre les secrets de l etat............
    Auteur

    Anonyme Crancre

    En Juillet, 2015 (10:12 AM)
    laissez les journalistes faire leur travail. :baby-crawl:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">  
    {comment_ads}
    Auteur

    Vérité Pour Vérité

    En Juillet, 2015 (10:51 AM)
    C'est écoeurant de constater que les journalistes Sénégalais manquent terriblement d'objectivité quand l'un d'entre eux est mis en cause. Le réflexe corporatiste au sens primaire du terme l'emporte toujours sur l'esprit d'analyse. Ces messieurs ne gênent guère et pensent naïvement nous faire gober "le principe de l'infaillibilité du journaliste". La faute, selon ces messieurs, c'est toujours les autres mais jamais eux. L'alibi est même devenu un disque rayé; les bébés peuvent même le réciter: "on veut museler la presse, le journaliste est devenu le souffre - douleur du pouvoir etc, etc..". Rien que de la fuite en avant; déjà tout récemment la presse sénégalaise s'est illustrée de façon négative pour confirmer son manque de professionnalisme partout décrié avec ce titre qui avait fait la une sur ce site: "Les 4 enfants de Guédiawaye retrouvés, ils étaient ligotés et battus, la ravisseur était une femme". Ce titre s'est révélé totalement faux et les faits relatés étaient à 10 mille lieues de la réalité. Pourtant il y'avait de quoi faire la révolution dans les newsrooms, mais comme d'habitude, dans leur condescendance partout attestée, ils n'ont même pas daigné présenté leurs excuses à la famille de Pa Talla qui les avait recueillis. Alors Messieurs descendez de votre piédestal et revenez sur terre !!!
    {comment_ads}
    Auteur

    La Ferite Kitue

    En Juillet, 2015 (14:08 PM)
    PING-PONG

    IL faut l’avouer. L’image est très peu reluisante de journalistes faisant l’objet de retours de parquet et autres incommodités qu’ils sont prompts à raconter quand il s’agit d’autres citoyens. Comme une incongruité à un moment ou l’on vante partout la vitalité et le dynamisme de la presse sénégalaise.

    Néanmoins, il convient de s’arrêter un instant, loin des loups qui hurlent ensemble.

    D’abord il s’agit de noter que réclamer ses sources à un journaliste relève d’une méconnaissance totale d’une méconnaissance d’un des piliers de ce métier savoir la protection de sa source. Céder à la pression représente la pire des trahisons pour un élément de cette corporation.

    La délicatesse de l’information révélée (et encore !) ne doit nullement occulter cet aspect de la situation.

    Cependant l’on ne peut s’empêcher de se faire critique et même très critique quand il s’agit de la publication in extenso de procès verbaux d’audition d’une affaire si suivie de l’opinion.

    La perspective d’atteindre des pics de tirages et de vente a été comme le prisme qui a déformé la vue de ces journalistes. Et à cette considération, il faudra ajouter la paresse. Oui. La paresse. Des outils sont à la disposition des journalistes et qui permettent de traiter ce type d’information sans avoir besoin de publier dans toutes ses encoignures un P.V. Mieux, il s’agit d’une façon de protéger sa source. Celui là même qui prend des risques énormes et mu par ses intérêts surement (comme toute source au demeurant), mais qui a permis d’apporter à l’opinion des éléments d’appréciation de première main. L’honneur du métier est sauf.

    En 2004,Madiambal Diagne est allé en prison pour des faits similaires. Les journalistes savent qu’ils n’ont pas raison mais hurlent ensemble en rabâchant les sempiternelles justifications :la liberté d’expression si « chèrement acquise »(Encore que l’on ne connait aucun journaliste « tombé au champ d’honneur »)Tout juste y a-t-il eu quelques emprisonnements brefs et surement beaucoup de convocations. Rien de plus. Tout a été offert sur un plateau.

    Liberté d’expression ou liberté de dire n’importe quoi

    Le sensationnalisme débridé qui caractérise la presse en ce moment constitue la véritable déviance d’une profession si noble dans son essence. Les principes de vérification et de recoupement sont laissés à la porte de nombreuses rédactions. Des bribes d’information sont à la une tandis que des sites internet tels des charognards marchent derrière se contentent de « servir » aux internautes des informations sans tète ni queue. Conséquence : L’on n’a jamais été aussi désinformé ou surement mal informés que nous ne le sommes en ce moment. Suprême paradoxe quand ce sont au moins 14 quotidiens qui ornent les kiosques chaque matin. En lire un équivaut à lire tout les reste. Les plus vigilants sauront faire des économies.

    Cependant ce sensationnalisme ambiant et qui régit la presse sénégalaise ne s’accommode que très peu à certains secteurs .Parmi ceux-ci, l’armée. Et sur ce point c’est au corollaire de la liberté d’expression qu’il est fait appel. Pour ne pas nommer la responsabilité. Le seul gage de l’équilibre de ce funambule nommé journaliste. Une perche, penchant tantôt vers la liberté et de l’autre vers la responsabilité et qui permet d’avancer sur la corde raide. Quand la conscience est votre étoile polaire, n’est-il pas convenable de ne point troubler la sérénité des citoyens et la votre. Comment ? En s’asseyant sur des informations. Tout bonnement Cela relève d’un grand courage et d’une grande humilité.

    La flemmardise, le vedettariat ont fini de gangrener la profession. Car pour les deux cas de figure, le traitement qui s’impose a été bâclé. Il est heureux que des événements de ce type arrivent. Ils constituent une occasion de procéder à une introspection et de comprendre tôt le danger qu’il y a à s’amuser avec les règles du métier de journaliste. Mais ce « voyage intérieur » ne se déroulera jamais. Comme ces individus si laids qu’ils en abhorrent le miroir. Et le Ping Pong parquet-commissariat de se poursuivre encore longtemps tandis que hurlent les loups



    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Juillet, 2015 (14:18 PM)
    Please liberal c journalist
    Auteur

    Anonyme

    En Juillet, 2015 (14:52 PM)
    nos législateurs permettre une pseudo-immunité a ces journalistes qui se croient déjà tout permis. sinon ils risquent d'agir plus grave :sunugaal:  :fbhear:  :fbhear: 
    {comment_ads}

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email