L’Association entre les peuples de Cuba et du Sénégal (ASENECUBA) a rendu hommage, samedi à Dakar, au guérillero cubain Ernesto Che Guevara (1928-1967) et dénoncé le blocus économique, financier et commercial imposé à la Havane par les Etats-Unis.
A défaut de pouvoir diffuser "Saint Ernesto de la Higuera" - un nouveau documentaire consacré à Che Guevara -, lors d’une réunion, l’ASENECUBA a rendu hommage à ce personnage, "un citoyen exceptionnel dans le monde", selon Aliou Sané, un membre de cette association.
‘’La vie de cet homme (Guevara) est multidimensionnelle. […] Celui qui a tiré sur Che Guevara a crû l’avoir tué. Mais, il ne l’a pas tué. Des millions de Che Guevara sont nés dans le monde’’, a dit Alla Kane, pour laisser entendre que l’héritage moral de ce révolutionnaire est préservé dans plusieurs coins du monde.
‘’Si les révolutionnaires congolais ont renversé Mobutu (en mai 1997), il (Che Guevara) y a été pour quelque chose. Mais, on n’en parle jamais.
Che Guevara a fait l’Afrique du Nord, l’Afrique centrale, la Guinée’’, a signalé M. Kane.Dans le même sillage, l’avocat Mohamet Sarr, membre de l’association, soutient que ses ‘’adversaires, qui l’ont liquidé, se sont trompés en espérant avoir liquidé ses idées’’.‘’Le Che, c’est la représentation de toutes les valeurs de l’homme’’, affirme l’ambassadeur de Cuba au Sénégal, Vilma Reyes Valdespino.
L’héritage moral du guérillero cubain est encore enseigné aux jeunes Cubains dans les écoles, dans un programme de ‘’construction de la société et de la justice sociale’’ mis en œuvre par les autorités, selon Mme Valdespino.‘’Dans tous les chantiers, vous trouvez [les idéaux] du Che.
A Cuba, tout respire Che Guevara. Il n’est pas seulement sur les Tee-shirts, mais aussi dans l’esprit des gens’’, a encore dit la diplomate, qui cite l’honnêteté, la critique et l’autocritique parmi les valeurs promues par le guérillero assassiné le 9 octobre 1967, sur les hauts plateaux de la Bolivie.
‘’Traqué depuis des années par des milliers de soldats boliviens aidés par des conseillers américains de la CIA (services de renseignements des Etats-Unis), abandonné par Fidel Castro qu’il avait aidé à prendre le pouvoir, trahi par ceux-là mêmes qu’il était venu tirer de la misère […], pour qui il rêvait d’ouvrir des écoles dans chaque village, le Che est arrêté puis exécuté sommairement’’, rappelle un document de presse.
L’association sénégalo-cubaine a condamné, dans une déclaration, les ‘’50 ans de blocus économique, financier et commercial’’ imposé par les Etats-Unis à Cuba.Cet blocus dure depuis le 7 février 1962 à la suite de nationalisations expropriant des compagnies américaines, indique l’encyclopédie en ligne Wikipedia.
Elle explique que cet embargo, ‘’le plus long [...] de l’époque contemporaine’’, ne concerne ni les produits alimentaires, ni les médicaments, depuis le début des années 2000.
Bruno Rodriguez Parilla, ministre cubain des Affaires étrangères, a dit devant l’assemblée générale des Nations unies, en septembre dernier, que ce blocus a coûté 975 milliards de dollars à lîle de Cuba.
Faits-Divers
14 Commentaires
Abc
En Octobre, 2011 (10:06 AM)Tataraphael
En Octobre, 2011 (11:21 AM)CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE DE IDRISSA SECK
Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
I
Enfant De Troupe
En Octobre, 2011 (12:44 PM)22eme Bra
En Octobre, 2011 (13:37 PM)Gwada
En Octobre, 2011 (14:40 PM)Nobs
En Octobre, 2011 (14:40 PM)Towards the end of his formal affiliation with the Cuban government, Che came to implicitly criticize Soviet bureacracy. His positions put him at odds with the party line of the Cuban CP. In 1965, Che realized that the defence of the Cuban revolution and the creation of revolutions abroad were naturally not always in sync, and this ultimately led to his resignation and his return to revolutionary work abroad.
During Che's subsequent revolutionary campaigns, he wrote his Message to the Tricontinental (1967) in which he openly criticized the Soviet Union; claiming that the Northern hemisphere of the world, both the Soviet Union and the US, exploited the Southern hemisphere of the world. He strongly supported the Vietnamese Revolution, and urged his comrades in South America to create "many vietnams".
In 1965 Che left Cuba to set up guerrilla forces first in the Congo and then later in Bolivia, where he was ultimately captured and killed in October 1967. Accounts of his execution have varied over the years, but many contemprary accounts indicate some degree of collaboration between Bolivia's government troops and the United States CIA.
Guevara developed a theory of primacy of military struggle, in particular concept of guerilla foquismo. Many of Che's theories regarding guerilla tactics are articulated in his 1961 work "Guerilla Warfare."
John
En Octobre, 2011 (14:41 PM)Militant
En Octobre, 2011 (15:02 PM)Massoud
En Octobre, 2011 (00:33 AM)Célébrer Le Che !
En Octobre, 2011 (08:38 AM)Usa
En Octobre, 2011 (17:51 PM)Toi Le Sachant !
En Octobre, 2011 (23:47 PM)Usa
En Octobre, 2011 (01:57 AM)Sos
En Novembre, 2011 (22:56 PM)Participer à la Discussion