L’affirmation de l’ancien ministre de l’Énergie Thierno Alassane Sall, selon laquelle Kosmos avait plus de capacités que Total pour remporter les contrats pétroliers attribués au groupe français, fait sourire Momar Nguer.
«La capitalisation de Total, c’est 120 milliards d’euros. La capitalisation boursière de Kosmos, c’est 3 milliards d’euros. Moi, je joue en Premier league, Kosmos joue en Navétanes à Thiès», a ironisé le directeur marketing de Total hier, vendredi 2 mars, lors d’une conférence de presse organisée dans le cadre de la célébration des 70 ans de présence du groupe français au Sénégal.
Momar Nguer en a profité pour balayer les accusations de non-transparence à propos des contrats liant le Sénégal à Total. Il jure : «Si nous n’étions pas transparents, nous ne serions pas encore dans le pays 70 ans après notre arrivée. J’entends beaucoup de bruit autour de ces contrats. Les choses sont extrêmement claires du côté de Total et du côté de l’État du Sénégal. Nous n’avons rien à cacher des contrats que nous avons signés ici.»
Total a conclu avec le Sénégal deux accords d’exploration et d’exploitation de concessions pétrolières. Le premier concerne Rufisque offshore profond (90%) et l’autre, porte sur la réalisation d’études en mer profonde en vue de devenir opérateur d’un bloc d’exploration.
41 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (08:56 AM)On le sait que TOTAL est un mastodonte à côté de KOSMOS.
55
En Mars, 2018 (08:59 AM)Kol
En Mars, 2018 (09:50 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:00 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:00 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:00 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:01 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:17 AM)Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.
Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.
L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.
Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
Anonyme
En Mars, 2018 (10:19 AM)Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.
Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.
L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.
Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
Anonyme
En Mars, 2018 (10:22 AM)Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.
Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.
Anonyme
En Mars, 2018 (10:24 AM)L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.
Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
Anonyme
En Mars, 2018 (10:29 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:32 AM)Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.
Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.
Anonyme
En Mars, 2018 (10:35 AM)Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.
Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués.
Anonyme
En Mars, 2018 (10:43 AM)L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.
Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
Anonyme
En Mars, 2018 (10:46 AM)L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.
Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
Anonyme
En Mars, 2018 (10:49 AM)L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.
Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
Anonyme
En Mars, 2018 (10:51 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:51 AM)Zisla
En Mars, 2018 (10:53 AM)Doul way khamo darà
Siligaeuy wakh
Anonyme
En Mars, 2018 (11:18 AM)Spahi
En Mars, 2018 (11:20 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (11:20 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (11:34 AM)vous savez pertinemment que votre st
est un prédateu
je me fiche qu kosmos ait 1 millions de cfa
de capitalisation boursière
Anonyme
En Mars, 2018 (11:54 AM)*7*7*5*5*6* 2*6 *5*4
Anonyme
En Mars, 2018 (11:58 AM)Je n'en dirai pas autant de ce qui rédigent ici !
Anonyme
En Mars, 2018 (12:49 PM)X
En Mars, 2018 (13:08 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (13:11 PM)Précarré Fr
En Mars, 2018 (13:30 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:25 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:07 PM)Des compétences comme ce fils du Sénégal peuvent servir leur pays. Les salaires en occident, pour importants qu'ils soient, ne suffisent jamais. Alors qu'en servant son pays, on s'enrichit puisqu'on agit directement sur le sort de la population. Feu son père s'est battu, sa vie durant pour son peuple. Son fils, Momar, sert les blancs de TOTAL. C'est la totale, cela!...
Anonyme
En Mars, 2018 (15:23 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:27 PM)Vous criez contreTotal parce qu'i lest Français mais vous croyez que Shell BP Exxon et les grosses majors pétrolières sont des enfants de coeur ,le drame de l'Afrique est sa gouvernance ou tous les gouvernants s'enrichissent au dépent du peuple (Angola ,Guinée équatoriale,Tchad
Congo ,Rdc.....etc)
comparez Dubaî extraordinairement developpé et le Gabon qui ont la:meme population et ,meme production de petrole :aucune infrastructure au Gabon et la moitié de Libreville n'a pas l'électricité !!! qui sont les vrais coupables ????,
Anonyme
En Mars, 2018 (15:42 PM)" Nigeria, Congo, Gabon, Angola... le continent africain représente un tiers des activités de Total. Et la firme revendique le titre de premier groupe pétrolier en Afrique. Et sur le continent comme ailleurs, Total exploite tous les vides et les failles juridiques, et utilise des méthodes à la limite voire en marge de la légalité pour perpétuer son activité. "
C'est la thèse que défend Alain Deneault dans son ouvrage «De quoi Total est-elle la somme?». L'auteur est également directeur de programme au Collège international de philosophie de Paris.
Anonyme
En Mars, 2018 (15:59 PM)loooooooooooooooooooooooooool
Anonyme
En Mars, 2018 (17:47 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (20:29 PM)J’insiste pour dire que le contrat avec Kosmos est plus avantageux pour le Sénégal que l’accord signé avec Total.
Anonyme
En Mars, 2018 (20:29 PM)J’insiste pour dire que le contrat avec Kosmos est plus avantageux pour le Sénégal que l’accord signé avec Total.
Anonyme
En Mars, 2018 (20:29 PM)J’insiste pour dire que le contrat avec Kosmos est plus avantageux pour le Sénégal que l’accord signé avec Total.
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