Outre l'Etat qui a acheté plus de 80 000 tonnes de semences et qui a injecté d'importantes sommes d'argent en début de campagne, le tonnage collecté par les huiliers a atteint 217 238 tonnes pour un montant de 49, 7 milliards F CFA. L’information est du secrétaire général de la Suneor.
La campagne de commercialisation arachidière 2013/2014 est satisfaisante. Le secrétaire général de la Suneor, Mbaye Dièye, a fait le constat, vendredi, lors d'une réunion sur les achats des graines, à l'académie Suneor. Il a informé que le tonnage collecté par les huiliers a atteint 217 238 tonnes pour un montant de 49,7 milliards F CFA. De cette somme, 26,371 milliards ont été réalisés par la Suneor qui a déjà payé 20, 741 milliards et s'organise pour combler le gap de 5, 630 milliards dû aux opérateurs privés stockeurs.
A cette date, M. Dièye a soutenu que les huiliers ont déjà ‘’injecté 44, 5 milliards dans le monde rural soit un taux de 87%. Le paiement de la dette due aux opérateurs sera effectif dès réception des 12,9 milliards attendus de l'Etat par les huiliers’’. Un satisfecit affiché par M. Dièye puisque sur un objectif réajusté de 125 000 tonnes lié à l'entrée tardive des huiliers dans la campagne de commercialisation, la Suneor a collecté 115 209 tonnes de graines d’arachide, soit un taux de réalisation de 92%. Selon lui, le gap enregistré est dû au déficit pluviométrique en zone nord dans les régions de Louga et Diourbel. Par contre, il explique qu’en zone centre et Sud, dans les régions de Kaolack et Ziguinchor, les taux de réalisation de la collecte ont atteint respectivement des niveaux record avec des taux de 98% et 107%.
L’huile d’arachide croule sous le poids de la concurrence
Par ailleurs, la Suneor a fait état des difficultés qu’elle rencontre suite à une mévente depuis deux ans de sa production d’huile. Une situation qui s’explique, selon les cadres de l’entreprise, par la ‘’baisse drastique des cours de l'huile d'arachide et par un marché local inondé d'huiles de mauvaise qualité, comparées à l'huile d'arachide et importées dans des conditions frauduleuses et douteuses par des commerçants de foire sans charge’’. Ce qui pousse le secrétaire général de l’entreprise à s’interroger : ‘’Comment pouvons-nous faire face à de nombreuses charges vis-à-vis des partenaires, fournisseurs, salariés ….et stocker des dizaines de milliards dans des tanks pendant des années avec tous les risques sans avoir des difficultés inextricables’’ ?
Il est à noter que les difficultés de l’huilerie ont commencé en 2001 avec la liquidation de la Sonagraines décidée par les autorités sur injonction des bailleurs de fonds. A cela s’ajoutent la dé-protection par la suppression des taxes sur les importations d’huiles, la libéralisation des importations des huiles, la libéralisation des exportations des graines d’arachide, et depuis quatre ans, le blocage des prix. Autant de réformes tous azimuts prises en défaveur des huileries sans aucune contrepartie, à en croire le secrétaire général de la Suneor.
18 Commentaires
Treso
En Septembre, 2014 (18:49 PM)Hino
En Septembre, 2014 (18:51 PM)Binte
En Septembre, 2014 (18:53 PM)Verite
En Septembre, 2014 (18:55 PM)Pas d'embauche, ni d'investissements dans d'autres secteurs stratégiques ... Autour de 2 000 salariés depuis bientôt 10 ans.. chimm
Unite
En Septembre, 2014 (18:58 PM)Plus haut vous avez aussi vu une figure humaine avec les chakras, ce qui manque dans cette figure est la lumière blanche 30 cm sous les pieds, qui est un nœud énergétique du soleil de la Terre creuse = l’étoile terrestre … NOTRE LIAISON A LA LUMIERE DU SOLEIL INTERIEUR.
Si vous regardez l’arbre de vie, comprenez-vous que tout pousse vers la lumière ?? … les racines d’un arbre poussent vers les vibrations du soleil de la Terre creuse. Un arbre a la conscience qu’il peut atteindre l’infini et possède un champ toroïdalCE QUI EST EN HAUT EST … COMME CE QUI EST EN BAS.
La spirale ascendante et la spirale descendante se rencontrent dans le cœur. La connaissance de la source s’associe à la connaissance de Mère Terre. L’espace du cœur où elles se rejoignent associe le savoir des chakras éthériques (principe féminin) avec celui des chakras terrestres (principe masculin). Ceci illumine la particule de source du diamant dans l’espace de votre cœur. Lorsque cela se produit, nous créons un champ toroïdal qui émet ses vibrations horizontalement
Ups
En Septembre, 2014 (19:00 PM)Bass
En Septembre, 2014 (19:03 PM)Tant que le petit peuple verra que certains sont libérés juste parce que leur marabout à téléphoner à la présidence, ils continueront à défier l'autorité publique.
C'est le prix à payer quand nous même, en tant que simple citoyen, nous soutenons un escro juste parce qu'il est du même ethnie ou même confrérie que nous.
Il nous faudra réapprendre dans ce pays c'est quoi une Nation et c'est quoi une République.
Wa salam!
Nissa
En Septembre, 2014 (19:05 PM)Kissin
En Septembre, 2014 (19:07 PM)C'est le prix à payer quand nous même, en tant que simple citoyen, nous soutenons un escro juste parce qu'il est du même ethnie ou même confrérie que nous.
Il nous faudra réapprendre dans ce pays c'est quoi une Nation et c'est quoi une République.
Wa salam!
Cissko
En Septembre, 2014 (19:17 PM)Nessta
En Septembre, 2014 (19:22 PM)Waso
En Septembre, 2014 (19:24 PM)Lu
En Septembre, 2014 (19:31 PM)Le co-prévenu de Wade-fils dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis persiste et signe. « ABS SA est ma société, mon bébé ». Toujours à la barre, Alioune Samba Diassé se dit actionnaire majoritaire d’ABS SA. Et de ce point de vue, il peut bien revendiquer la propriété de la société. « C’est moi qui l’ai créée depuis quatorze (14) ans. Je n’ai pas de connaissances d’actes où figurent le nom de M. Karim Meïssa Wade ».
Le présumé complice du fils du président sortant Wade, se dit par ailleurs à l’écoute du parquet spécial pour qu’on lui apporte la preuve qu’ABS SA appartient à l'ancien ministre des Transports aériens. Martèle-t-il, « j’ai servi le Sénégal. Je n’ai rien pris à mon pays. J’ai acheté les bus. Après service, quand on me paie 1600, l’Etat encaisse 1200 ». ABS SA continue l’exploitation au moment où sert Alioune Samba Diassé, il n’a aucune visibilité depuis deux (2) ans. « J’ai signé un contrat que j’ai exécuté et je suis payé par rapport aux termes du contrat », confie ce dernier. Sur ce point, Me Demba Ciré Bathily de dire : « Dans cet argent, qu’est-ce qui est illicite. Il a mis son argent, fait un prêt bancaire, acheté des bus que deux(2) sociétés au monde, font, fournit une prestation et l’Etat partage avec lui l’argent ». Pour le conseil de Karim...
Lus
En Septembre, 2014 (20:19 PM)Le co-prévenu de Wade-fils dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis persiste et signe. « ABS SA est ma société, mon bébé ». Toujours à la barre, Alioune Samba Diassé se dit actionnaire majoritaire d’ABS SA. Et de ce point de vue, il peut bien revendiquer la propriété de la société. « C’est moi qui l’ai créée depuis quatorze (14) ans. Je n’ai pas de connaissances d’actes où figurent le nom de M. Karim Meïssa Wade ».
Le présumé complice du fils du président sortant Wade, se dit par ailleurs à l’écoute du parquet spécial pour qu’on lui apporte la preuve qu’ABS SA appartient à l'ancien ministre des Transports aériens. Martèle-t-il, « j’ai servi le Sénégal. Je n’ai rien pris à mon pays. J’ai acheté les bus. Après service, quand on me paie 1600, l’Etat encaisse 1200 ». ABS SA continue l’exploitation au moment où sert Alioune Samba Diassé, il n’a aucune visibilité depuis deux (2) ans. « J’ai signé un contrat que j’ai exécuté et je suis payé par rapport aux termes du contrat », confie ce dernier. Sur ce point, Me Demba Ciré Bathily de dire : « Dans cet argent, qu’est-ce qui est illicite. Il a mis son argent, fait un prêt bancaire, acheté des bus que deux(2) sociétés au monde, font, fournit une prestation et l’Etat partage avec lui l’argent ». Pour le conseil de Karim...
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« Je défie quiconque de m’apporter la preuve que la société ABS SA appartient à Karim Wade », Diassé
Le co-prévenu de Wade-fils dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis persiste et signe. « ABS SA est ma société, mon bébé ». Toujours à la barre, Alioune Samba Diassé se dit actionnaire majoritaire d’ABS SA. Et de ce point de vue, il peut bien revendiquer la propriété de la société. « C’est moi qui l’ai créée depuis quatorze (14) ans. Je n’ai pas de connaissances d’actes où figurent le nom de M. Karim Meïssa Wade ».
Le présumé complice du fils du président sortant Wade, se dit par ailleurs à l’écoute du parquet spécial pour qu’on lui apporte la preuve qu’ABS SA appartient à l'ancien ministre des Transports aériens. Martèle-t-il, « j’ai servi le Sénégal. Je n’ai rien pris à mon pays. J’ai acheté les bus. Après service, quand on me paie 1600, l’Etat encaisse 1200 ». ABS SA continue l’exploitation au moment où sert Alioune Samba Diassé, il n’a aucune visibilité depuis deux (2) ans. « J’ai signé un contrat que j’ai exécuté et je suis payé par rapport aux termes du contrat », confie ce dernier. Sur ce point, Me Demba Ciré Bathily de dire : « Dans cet argent, qu’est-ce qui est illicite. Il a mis son argent, fait un prêt bancaire, acheté des bus que deux(2) sociétés au monde, font, fournit une prestation et l’Etat partage avec lui l’argent ». Pour le
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