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Economie

Abdoulaye DIOP, ministre de l’économie et des finances : « Le SENEGAL est prudent en matière de dette »

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Abdoulaye DIOP, ministre de l’économie et des finances : « Le SENEGAL est prudent en matière de dette »

A sa sortie de réunion avec la vice-présidente de la Banque mondiale pour l’Afrique, Mme Obiageli Ezekwesili, au siège de l’institution de Bretton Woods à Washington, le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, s’est entretenu avec la presse. Il a fait savoir que le portefeuille du Sénégal, d’un montant de 700 millions de dollars, se porte bien. Il a également rassuré sur le niveau d’endettement de notre pays par rapport au Pib : le Sénégal s’endette avec prudence pour augmenter son taux de croissance.

Quelle est la teneur de votre rencontre avec la vice-présidente de la Banque mondiale pour l’Afrique, Mme Obiageli Ezekwesili ?

C’est une rencontre que nous tenons avec les plus hautes autorités de la Banque mondiale lors de chaque réunion annuelle pour faire l’état de notre coopération mais aussi l’état du portefeuille et dégager les perspectives d’avenir pour l’économie du Sénégal. Nous avons, bien sûr, abordé l’état du portefeuille pour constater qu’il se porte très bien. C’est un portefeuille de 20 projets pour un montant de près de 700 millions de dollars qui est actif et pour lequel tous les projets se passent bien sauf deux projets qui vont être clôturés : un projet sur l’électrification rurale et un projet d’appui au secteur privé. Ce sont des montants assez faibles, l’essentiel du travail a été fait, il faut demander qu’on annule ce crédit et qu’on le reporte sur d’autres actions au Sénégal. Mais, à part cela, toutes les autres actions se portent bien dans tous les secteurs de l’économie nationale. Nous avons pu aussi dégager des perspectives de coopération pour les secteurs où nous pensons pouvoir solliciter l’appui de la Banque mondiale. Sur les autres aussi il faut continuer l’aide de la Banque mondiale. Sur ces secteurs, nous avons parlé plus particulièrement de celui de l’énergie, qui est extrêmement important pour l’économie du Sénégal, mais aussi le secteur des transports avec la continuation de l’autoroute à péage, le secteur de l’agriculture qui nous vaut beaucoup de satisfactions à l’heure actuelle, avec les investissements que nous voulons faire au nord du Sénégal, mais aussi au sud et vers la région de Kolda, pour fortifier un peu et redynamiser la culture du riz dans le cadre d’un programme national d’autosuffisance en riz. Tout se passe bien. D’autres secteurs nous ont été proposés sur lesquels des études sont en train d’être menées, nous reviendrons vers la Banque mondiale pour discuter avec elle à Dakar ou ici à Washington.

Pouvez-vous revenir sur vos discussions avec la Banque mondiale sur l’énergie ?

Pour le secteur de l’énergie, nous avons eu un financement de la Banque mondiale qui a eu à travailler très rapidement sur le dossier pour nous aider et même à anticiper sur certains financements qui, normalement, auraient dû être mis en place l’année prochaine. Nous avons présenté un dossier d’appui à la production d’énergie, cependant il y a eu un petit retard de deux mois et, probablement, ce dossier sera instruit vers décembre du simple fait qu’on a ajouté au dernier moment le secteur du transport. Nous avons un peu augmenté la production d’énergie, mais nous avions plutôt omis l’investissement nécessaire au transport de cette énergie vers les consommateurs.  La Banque mondiale nous a demandé de donner les dernières informations pour qu’elle puisse finaliser. Ce secteur nécessitera un investissement de l’ordre de 240 milliards de francs Cfa rien que cette année 2011 et qui va être continué jusque d’ici 2014. Nous avons la certitude que la Banque mondiale va continuer à nous aider. De ce point de vue, tout se passe bien, les équipes de la Banque mondiale continuent à discuter avec celles du ministère en charge de l’Energie.

Donc les perspectives sont rassurantes… ?

Oui, je peux le dire, les perspectives sont rassurantes à tous les points de vue. La vice-présidente (de la Banque mondiale pour l’Afrique, Mme Obiageli Ezekwesili) a félicité le Sénégal pour avoir pris en charge tous les problèmes qui se sont présentés, d’avoir eu des résultats positifs par rapport à l’année dernière, à la même époque, où nous étions au creux de la vague dans le secteur de l’énergie. Dans le secteur macroéconomique, nous avons pu résister à la crise, nous allons continuer les performances en matière de croissance de l’ordre de 4 % projeté à 4,5 % d’après les dernières estimations pour l’année prochaine. Dans les autres domaines, on avance très rapidement. Globalement, la Banque mondiale est satisfaite de même que nous.

Le Sénégal a-t-il pris les devants pour éviter de subir les conséquences de la crise de la dette ?

En fait, il y a les canaux traditionnels de transmission des crises occidentales vers les pays en développement tels que le Sénégal. Nous sommes conscients que si jamais cette crise n’est pas jugulée, elle nous atteindra. Bien sûr, nous avons des appréhensions sur différents secteurs pour lesquels nous pourrons être touchés, notamment les transferts d’argent des émigrés, il y a aussi l’aide publique au développement qui pourrait s’en ressentir, le secteur touristique aussi, parce que les pays émetteurs de touristes, notamment la France et d’autres pays occidentaux, seront touchés en plein (fouet). Nous avons pensé à nos marchés d’exportation traditionnels qui pourraient aussi être touchés de telle sorte que nous pourrions l’être. La crise sera transmise dans nos pays un an après. Pour le moment, nous avons mis en place un comité de veille pour regarder tout cela et prendre les décisions idoines, mais pour le moment, nous y réfléchissons et nous travaillons beaucoup en relation avec les organismes en place tels que la Banque centrale (Bceao), l’Uemoa, mais aussi en notre sein.  Nous essayons de discuter aussi avec la Banque mondiale, le Fonds monétaire international sur les mesures à prendre si jamais cette crise devrait perdurer et être transmise à notre pays.

L’euro traverse des moments assez difficiles. Est-ce que l’arrimage du franc Cfa à la monnaie européenne ne va pas créer des problèmes à notre économie ?

Pour le moment, aucune décision n’est prise à ce niveau. Nous sommes arrimés à l’euro et nous n’avons pas de difficulté particulière, nous Sénégal, du simple fait que nous commerçons avec la France et les pays européens pour plus de 50 % de nos exportations et de nos importations. Donc, nous ne sentons pas tellement les difficultés de l’euro. De toute manière, nous les sentons si jamais l’euro est trop fort par rapport au dollar, mais nous avons constaté, ces temps derniers, un léger fléchissement de l’euro par rapport au dollar, ce qui permettra peut-être d’être un peu plus compétitif sur nos exportations libellés en dollar. Mais nous aurons un peu de difficultés si jamais le prix du pétrole augmente, si le dollar se ragaillardit un peu, nos importations de pétrole vont augmenter, ce qui va avoir un impact sur notre balance commerciale. Mais, heureusement, ces temps-ci, on escompte peut-être un léger fléchissement des prix du pétrole, ce qui serait une bonne nouvelle combinée à la crise de l’euro. Nous, du côté du Sénégal, nous n’exportons pas beaucoup, sauf en dollar vers l’Inde en ce qui concerne l’acide phosphorique, l’une de nos principales exportations. Je pense que globalement, nous n’avons pas à nous inquiéter trop pour le moment dans ce domaine. Mais, en tout cas, nous aurons des répercussions avec l’instabilité, la morosité économique qu’il y a dans les pays européens, parce que si l’économie ne va pas en Europe, ce sont les émigrés qui vont le ressentir en premier, les ménages qui accueillent leurs transferts seront touchés, le commerce sera touché à l’intérieur, etc. Aussi, les sociétés de tourisme seront touchées. Donc, globalement, disons que c’est une période qui n’est pas favorable, mais pendant laquelle on ne s’inquiète pas outre mesure. On va essayer d’analyser tout cela et voir les mesures à prendre ensemble, en relation avec les organismes de coopération, les organismes financiers.

La représentante-résidente du Fmi s’est récemment inquiétée du niveau de la dette du Sénégal qui est en train de s’approcher du seuil indiqué. Quelles sont vos assurances sur ce point ?

La représentante-résidente, au lendemain de notre emprunt obligataire, avait dit que le Sénégal s’était accordé avec le Fmi pou emprunter sur le marché 500 millions de dollars et qu’il n’en a pris que 300, donc qu’il a une marge, si vous vous rappelez. Nous nous endettons de manière concertée avec nos partenaires techniques et financiers notamment le Fmi. Pour ce programme, nous n’avons pas encore atteint le seuil d’endettement sur lequel nous nous étions engagés et pour lequel nous avons l’accord du Fmi. Maintenant, dire que la dette augmente très vite non pas par rapport à notre programme… Mais il est clair que nous ne pouvons nous endetter que dans le cadre d’un programme. Il n’y a aucun risque de transgresser les engagements que nous avons pris. Donc, de ce point de vue il n’y a aucun risque, c’est un constat. Nous ne pouvons pas ne pas régler les problèmes qui se présentent, notamment le problème de l’électricité qui est là et qui est extrêmement important, qui a un impact négatif sur notre taux de croissance. Ce problème nous a coûté un point de croissance, si nous avons la possibilité de nous endetter pour augmenter la croissance on le fera. Le conseil d’administration du Fmi a marqué son accord sur cet endettement. Nous n’avons même pas encore tout pris, nous ne prendrons pas tout non plus parce que nous sommes conscients de la prudence qu’il faut observer en matière de dette. Il ne faudrait pas mettre notre pays dans une situation difficile après cette phase de désendettement que nous avons en 2004-2005. Nous ne sommes pas très endettés, nous sommes à 36 % du Pib de taux d’endettement. Il ne faut pas aller top vite, mais il faut faire face aux problèmes, les régler, surtout si ce sont des problèmes extrêmement épineux que traversent la société et l’économie. Si nous nous endettons pour investir juste, ouais. Si nous nous endettons pour investir mal, non.

En tout cas, il n’y a aucune inquiétude, 36 % du Pib d’endettement alors que c’est acceptable et viable jusqu’à 70 %... Je pense que le Sénégal n’est pas très endetté. D’éminents économistes ici à Washington surveillent notre dette, d’autres au Sénégal aussi. Ils sont capables de vous dire que nous ne sommes pas endettés.



13 Commentaires

  1. Auteur

    Marre De Ces Gens Là

    En Septembre, 2011 (12:06 PM)
    Mais ngni yabaté naniou dé ! ngène yobbou deuk bi ardo baparé nieuw di di fi wakh ay wakhou picc  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet: 
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  2. Auteur

    Dxb

    En Septembre, 2011 (12:15 PM)
    On ne meurt pas de dettes. On meurt de ne plus pouvoir en faire.



    Karim WADE : le prudent
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    Auteur

    Mnd

    En Septembre, 2011 (12:20 PM)
    somment nous des moutons
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    Auteur

    Nnn

    En Septembre, 2011 (12:47 PM)
    WAA SAWARAYI YOBBE SENEGAL MOUSIBE
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    Auteur

    Le Critique

    En Septembre, 2011 (12:51 PM)
    "Nous ne sommes pas trés endettés......que 36 pour cent du Pib de taux d'endettement"

    Cette position qui permet au Sénagal de pouvoir lever des fonds sur la marché, d'obtenir de nouveau des p^rets du Fmi, ce n'est pas du tout du fait d'une gestion scrupuleuse et rigoureuse de nos fonds publics par le régime de Ablaye Wade, mais c'est par le désendettement conséquent du Sénégal et depuis cette période 2004-2005, qu'invoque le ministre des Finances, suite à la décision des pays du G20, lors du sommet de Gleeeagle au Canada,en 2003 d'effacer auprés des Institutions de Bretton Woods, FMI ET BM, ainsi qu'à la BAD, Banque Africaine de Développement, d'un certain nombre de pays pauvres et endettés, dont le Sénégal!!!

    Contrairement à ce raconte le Ministre, il y a plus que raison d'etre extremement prudent maintenant, car avec la crise financiére que connaissent les pays développés, G20, en particulier, ce ne sera demain, qu'une nouvelle ide de de désendettement de pays pauvres aura lieu!

    Dans ces conditions, aller acheter un avion présidentiel à 30 milliards cfa, ou procéder à d'autres dépenses de prestige, relèvent de l'irresponsabilité!!!
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    Auteur

    Boy Lebou

    En Septembre, 2011 (13:53 PM)
    36% de notre Pib comparer o 125% de la grêce oú la majeure partie des pays de l'UE certe n'est pas si mal. But it makes no sense to increase our national debt by 6% for a 4% economic growth, because c comme on doit reculer trois metres pour en avancer 2. Let's live within our means, Europe ak Amerik ne sont pas de bonne references s'il sagit d'enttement.
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    Auteur

    Menteurdeministre

    En Septembre, 2011 (20:46 PM)
    Il dit autre chose que la verite, car si vous permettez Mr. le ministre, la realite est toute autre:



    1. Svp, oubliez de nous comparer avec les pays respectes car meme avec un taux de 36% du Pib, le Senegal n'est pas en mesure de payer les dettes contractees actuelles.



    2. Si non, expliquez comment avec un taux de 36% du Pib, vous payez plus chers avec des interets usuriers compares avec ces memes pays dont vous faites allusion, qui ont des dettes, taux de 90% du Pib.



    Depot de bilan!

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    Auteur

    Patisco

    En Septembre, 2011 (18:04 PM)
    Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour



    Une bonne partie de sa recherche a justement été consacrée à la question de savoir s’il y aurait une possibilité en Islam de lier le remboursement des emprunts et des dettes avec l’indice des prix. Dans ses écrits, il mentionne que, selon certains économistes musulmans, il serait tout à fait permis de prendre en considération les fluctuatios de valeur de la monnaie lors des remboursements des dettes (ce qui correspond, dans l’exemple que vous citez, au premier cas de figure). Ils arguent en effet que le surplus qui est ajouté lors du remboursement ne doit pas être considéré comme de l’intérêt, vu qu’il ne s’agit là que de restituer une valeur équivalente à la valeur initialement empruntée, même si entre temps le montant en monnaie a baissé. Selon eux, il n’y a donc pas eu un quelconque ribâ, vu que les valeurs échangées n’ont pas varié.



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    Ndiaganiao

    En Septembre, 2011 (18:06 PM)
    Président wade,



    Vous n'êtes pas intelligent, vous êtes mieux encore !

    Avec vous, le mot "éblouissant" retrouve ses lettres de noblesse.

    La finesse de vos mots est l'adoucissant des nos torpeurs intellectuelles.

    Comment faîtes-vous pour avoir une telle avance intellectuelle ?



    Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour



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    Auteur

    Mbour

    En Septembre, 2011 (18:07 PM)
    Président wade,



    Certains pays ont du pétrole jusqu'au plafond; d'autres ont des mines de diamants qui n'ont pas de fond; et certains ont même des filons d'or à en perdre la raison; Et nous on a... VOUS, qui valez tous les trésors du monde !

    Vous n'êtes pas intelligent, vous êtes mieux encore !



    Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour



     :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Deuxfinances

    En Septembre, 2011 (19:37 PM)
    Mais sur le plan de l'endettement, il y a deux ministères qui s'endettent, Lui et Karim, donc il ne maitrise plus la dette du Sénégal.
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    Auteur

    Incompetent

    En Septembre, 2011 (20:47 PM)
    Mais ce gars est incompetent! Dirigé par karim wade qui bouffe l'argent du peuple, resté dans un gouvernement megalomaniaque sans vergogne depuis 2000 sans honte. c'est pas possible. les magazines bidons aussi.
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    Auteur

    Fama

    En Septembre, 2011 (07:34 AM)
    tout est faux et usage de faux dans les finances de ce pays...............dirige par un lobbing...............de voyou a la tete un chef de gang..............
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