
Un tribunal égyptien a condamné samedi Hicham Kassem, chef du Courant libre, l'opposition libérale, à six mois de prison ferme, ce qui l'empêche de fait de participer à la campagne pour la présidentielle prévue au printemps, rapportent son avocat et son mouvement.
Hicham Kassem a été condamné à "trois mois ferme et 20.000 livres égyptiennes (environ 600 euros) d'amende" pour "diffamation" envers un ancien ministre et "trois mois ferme pour outrage à agents" lors de son interrogatoire dans le cadre de la première affaire", rapporte sur X (ex Twitter) Gameela Ismaïl, l'une des cadres du Courant libre. Un appel aura lieu le 7 octobre, précise son avocat Nasser Amin sur Facebook.
5 Commentaires
C'est Un Complot !
il y a 6 jours (12:24 PM)Quand on le courage d'accuser publiquement des adversaires politiques on doit être à même d'apporter ses preuves devant le juge lors d'un procès pour diffamation. Le reste c'est du blabla de politiciens.
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