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Classement : Les pays d’Afrique les plus endettés en 2016

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Classement : Les pays d’Afrique les plus endettés en 2016

Comme l’année précédente, nous avons choisi de publier cette année le classement actualisé des pays africains les plus endettés. Afin que l’appréciation du niveau d’endettement de chaque pays tienne compte de son poids économique, nous avons choisi de publier les chiffres de la dette suivant 2 variables : La dette publique rapportée à la richesse nationale d’une part, et la dette publique libellée en devise d’autre part.

La dette des pays subsahariens en proportion de leur PIB

Si l’on ne se réfère qu’à la dette publique rapportée au PIB (agrégat économique qui mesure la richesse nationale d’un pays), l’Erythrée, le Cap-Vert et la Gambie sont les pays les plus endettés d’Afrique subsaharienne avec respectivement 126%, 122% et 97% de dette publique.  Outre les 3 pays précités, les taux d’endettement de São Tomé-et-Príncipe (92%), du Congo (79%), du Ghana (74%), du Malawi (73%), de l’Angola (70) et des Seychelles (65%), les classent dans le top 10 des pays d’Afrique les plus endettés en 2016.

A l’inverse, le pays subsahariens dont les taux d’endettement sont les plus faibles sont le Nigéria (seulement 13%), le Botswana (16%), la RD Congo et le Swaziland (20%), la Guinée Equatoriale (25%) et les Comores (29.2%). Quant à la Namibie son ratio d’endettement en 2016 est de 31%, à peine mieux que la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso qui sont endettés à hauteur de 33%. Enfin le Mali clos le top 10 des pays d’Afrique subsaharienne ayant le taux d’endettement les moins élevés avec 35%.

Notons enfin que le taux d’endettement moyen des pays d’Afrique subsaharienne en 2016 reste relativement faible puisqu’il s’établit à 52% contre plus de 92% en moyenne dans la zone euro.

Taux d’endettement des pays d’Afrique subsaharienne en 2016 (en % du PIB)

La dette des pays subsahariens en devise

Quand on analyse la dette des pays d’Afrique subsaharienne en fonction de leur encours, l’Afrique du Sud est sans conteste le pays le plus endetté. Sa dette, s’élevant à 103 894 milliards FCFA* (158 milliards d’euros **) est sans comparaison avec celle de l’Angola (27 883 milliards FCFA soit 42.5 milliards d’euros) pourtant 2e pays subsaharien le plus endetté.

Première puissance économique du continent africain, la dette du Nigéria n’est que de 16 705 milliards FCFA (25.5 milliards d’euros). Elle dépasse cependant celle de l’Ethiopie (11 556 milliards FCFA), du Kenya (10 533 milliards FCFA), du Ghana (10 165 milliards FCFA) et la Tanzanie (8 239 milliards FCFA). L’encours de la dette publique du Mozambique et de la Zambie s’établit respectivement à 6 935 milliards FCFA (10.6 milliards d’euros) et 6 196 milliards FCFA (9.4 milliards d’euros). Enfin, le Cameroun est le pays francophone le plus endetté d’Afrique subsaharienne avec une dette de 5 722 milliards FCFA (8.7 milliards d’euros).

Toujours du point de vue de l’encours de dette, les 10 pays les moins endettés du continent africains sont les  Comores (85 milliards FCFA), la Centrafrique (207 milliards FCFA), la Guinée-Bissau (216 milliards FCFA), le Swaziland (400 milliards FCFA). Le Burundi suit avec un encours de dette de 416 milliards FCFA, lui-même suivi du Libéria (458 milliards FCFA), de la Gambie (515 milliards FCFA), du Lesotho (805 milliards FCFA), de l’Erythrée (1 004 milliards FCFA) et du Cap-Vert (1 039 milliards FCFA).

Ci-dessous le classement intégral des pays d’Afrique subsaharienne en fonction de leur encours de dette :

Dette publique des pays d’Afrique subsaharienne en 2016

* Le taux de change utilisé pour calculé l’encours de la dette en FCFA est 1 € = 655,96 XAF.

** Le taux de change Euro/Dollar utilisé pour établir le présent classement est 1 USD = 0,901074216 € qui correspond au cours moyen calculé par l’Institut national de la statistique et des études économique français (INSEE) entre janvier et avril 2016.

Source principales :
–    Données statistiques de la Banque mondiale et du FMI



19 Commentaires

  1. Auteur

    Bamba

    En Mai, 2016 (01:05 AM)
    et le Sénégal
  2. Auteur

    Bamba

    En Mai, 2016 (01:05 AM)
    et le Sénégal
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    Auteur

    Bamba

    En Mai, 2016 (01:05 AM)
    et le Sénégal
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    Auteur

    Anonymematar

    En Mai, 2016 (01:39 AM)
    52-42...10 PAYS RESTENT

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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (01:51 AM)
    Watch out ! debts = modern day slavery chains ...

    The whole capitalist financial system is a disgusting sham..I've watched the Big Short and these white collar criminals are worst than all the terrorists in history combined. Now the FED/ECB just print money out the thin air as a way out  :thumbsdown:  :thumbsdown:  :thumbsdown: 
    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (02:23 AM)
    le Senegal est numero 13 sur le rang .... dette de 4248 milliards
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (03:59 AM)
    Finalement, a regarder le PIB, on se rend compte que le Senegal n'est seulement un petit pays dans le monde, Mais aussi un petit pays en Afrique. Son PIB est egal a celui du Mozambique et legerement au dessus de celui du tchad. Son PIB est bien inferieur a celui des pays comme le Kenya, le Ghana, ou l'ethiopie, maintenant Je ne vous parle meme pas de l'afrique du Sud ou du Nigeria.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (05:31 AM)
    On y perd son latin. La semaine dernière le Sénégal était 10ème mondial, avant hier 170eme, et aujourd'hui 16ème ? What the heck is going on ?
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (05:42 AM)
    Je ne comprends pas. La semaine dernière le Sénégal était , en terme de croissance 10ème mondial, y a 3 jour il a chuté à la 170eme place. Aujourd'hui on est à la 13e place. Waw, quelle variance !
    Auteur

    Zas

    En Mai, 2016 (07:04 AM)
    je ne vois pas les choses comme ça ,le Senegal est petit par la taille par le nombre d 'habitants par et par les ressouces jusqu’à récemment avec les découvertes offshore,Seulement nous avons une grande population ,une grande démocratie une grande diplomatie,ces acquis font que notre pays est souvent comparait a des pays 10 fois plus grands 10 fois plus peuplés 10 fois plus riches.voila le mérite du Sénégal,sans être chauvin .J’espère, je crois même que dans quelque temps la grandeur économique balbutiante sera au niveau de la réputation positive du pays
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    Auteur

    Leuz

    En Mai, 2016 (07:33 AM)
    Ahmed Diallo, PCA de IAM Ouaga : « Guirassy Moustapha n’est pas le fondateur de IAM Ouaga et n’a jamais été actionnaire de IAM Ouaga »



    A l’occasion de la cérémonie de présentation des filières de l’université Aube nouvelle (ex ISIG), Monsieur Moustapha M. Guirassy, PDG d’IAM-Dakar, affirmait sur notre site qu’il avait porté plainte contre le promoteur de IAM-Ouaga pour escroquerie. Dans cet entretien, M. Ahmed Diallo, PCA de IAM-Ouaga explique dans quelles conditions cet institut a été créé et affirme même que M. Guirassy n’a même jamais été actionnaire de l’école dans laquelle il n’aurait pas mis un franc !



    Pouvez- vous nous présenter IAM Ouaga ?



    L’Institut Africain de Management de Ouagadougou est un Business School créé en 2007. A ce jour, nous avons une vingtaine de filières d’enseignement, nous délivrons des diplômes comme le High School Diploma, le DUT, la licence, le Master et le Doctorat. Nous disposons d’un conseil scientifique de grande qualité composé d’éminents professeurs de rang A et B, un campus flambant neuf avec des salles de cours équipées d’air conditionné, une salle informatique, une bibliothèque, une salle de jeux, une salle de sport et un terrain de sport.

    Depuis sa création en 2007, 6395 étudiants ont été formés à des diplômes d’études supérieures dans les différentes filières de formation de IAM Ouaga. L’Institut emploie des enseignants de grande compétence, venant d’Afrique, d’Europe, du Canada et des Etats Unis, et s’honore d’un taux d’insertion de ses étudiants dans le monde du travail de l’ordre de 90%.

    A quel stade se trouvent actuellement les cours de l’année académique 2015-2016

    Les programmes de formation de IAM pour l’année académique 2015-2016 sont achevés à 95% (il reste deux semaines de cours pour toutes les filières). La fin des cours pour la formation initiale est prévue le 28 mai. Les examens de la seconde session sont prévus pour le 06 juin. Le calendrier académique a été respecté comme d’habitude.



    Comment a été fondé IAM Ouaga ?



    La Société IAM Ouaga a été créée en juin 2007 avec un capital de 20 millions repartis entre huit actionnaires. Parmi ces actionnaires figurait Mr Moustapha M. Guirassy avec une souscription pour 600 actions d’une valeur de 6 millions. Ces actions souscrites par Guirassy Moustapha n’ont finalement jamais été libérées (c’est dire qu’il n’avait pas versé la valeur pécuniaire des actions qui lui ont été attribuées) alors qu’il avait promis de le faire dans les plus brefs délais.

    Sur la base de la bonne foi qui lui était ainsi accordée, la déclaration de souscription et de versement de IAM Ouaga pour un montant de 20 millions FCFA a été faite, l’Acte uniforme de l’OHADA sur les sociétés commerciales nous autorisant à ne libérer effectivement le ¼ du capital à la constitution et le reste dans les trois années suivantes. Nous étions alors convaincus que Monsieur GUIRASSY honorerait ses engagements.

    IAM a donc été immatriculé au RCCM et a commencé à fonctionner avec l’argent des autres actionnaires qui avaient libéré leurs parts, soit la somme totale de 14 millions.

    Malheureusement, le commissariat aux comptes, lors de la vérification et de la sincérité des comptes de IAM en date du 5 juin 2009 pour l’exercice clos au 31 décembre 2008 a fait ressortir que les actions souscrites et libérées ne reflétaient pas la réalité du capital en montrant que les 600 actions souscrites par M. Guirassy d’une valeur de 6 millions de FCFA bien que appelées n’ont pas été versées par ce dernier. Cela a été parmi les raisons pour lesquelles le commissaire aux comptes avait refusé de certifier les comptes et les états financiers de IAM Ouaga. Face à cette irrégularité, Mr Guirassy a été relancé à plusieurs reprises, mais n’a pas daigné honorer ses engagements par la libération des 6 millions. Les choses sont restées en l’état jusqu’en 2013, année à laquelle, las d’attendre IAM a pris la décision de procéder à la régularisation de ses actes constitutifs suite à un avenant de la déclaration notariée.

    Aujourd’hui, IAM Ouaga, immatriculé au RCCM depuis juin 2007 a vu ses mentions être corrigées par voie de justice avec l’exclusion du porteur des actions souscrites et jamais libérées qui est M. Guirassy parce qu’il ne croyait pas en l’école et en sa réussite. Il aurait préféré signer donc un protocole de partenariat avec IAM Ouaga sur la base duquel il était rémunéré à hauteur de 5% du chiffre d’affaires réalisé par IAM. Ce qui lui procurait, quel que soit le résultat, au bas mot une vingtaine de millions par an. Voilà ce qu’il a oublié de dire aux étudiants.

    Le promoteur de IAM Dakar et co-fondateur de IAM Ouaga vous accuse de l’avoir escroqué. Qu’est ce qui s’est réellement passé ?

    En tenant compte des développements faits ci- avant, Monsieur Guirassy était effectivement un partenaire que nous avions voulu avec nous pour bâtir une école sous-régionale de grande qualité délivrant des diplômes à la hauteur des besoins de nos populations.

    En effet, IAM Ouaga et IAM Dakar étaient unis par un protocole d’accord dont l’objet principal était de mettre à la disposition de IAM Ouaga certains programmes de formation de IAM Dakar (BBA, MBA et Master), signer les diplômes de notre institut pour lui faire bénéficier des accréditations CAMES de IAM Dakar, et ses partenariats, le tout, moyennant une redevance annuelle de 5% sur le chiffre d’affaires. Nous avons toujours rempli notre part en effectuant les paiements en bonne et due forme.

    Malgré cela, il a demandé à avoir 51% du capital dans le but de prendre le contrôle de l’Institut sans avoir, je le rappelle, versé un kopeck. Ce que nous avons purement et simplement refusé.

    Mais je dois souligner qu’auparavant il avait même demandé d’inclure dans les montants devant faire l’objet de sa rémunération, 5% sur les frais de confection des uniformes et 5% sur les cotisations des étudiants pour les activités socio-culturelles.

    Face à notre refus d’aller dans ce sens, il a commencé à créer des difficultés sur la délivrance des diplômes qui devaient être signés à Dakar. C’est ainsi que, voyant venir d’autres difficultés, nous avons anticipé en préparant nos dossiers pour avoir nos propres accréditations CAMES.

    Du reste, ce principe d’accréditation a été remis en

    cause par le CAMES qui nous a rappelé que l’accréditation de IAM Dakar n’était pas extensible. Cela nous a conduit à chercher des accréditations pour le CAMES. Aujourd’hui IAM OUAGA a 15 diplômes accrédités CAMES. Il apparaît donc que IAM Ouaga n’a jamais été une filiale de IAM Dakar.



    Vous vous dites convaincu qu’il existe une volonté manifeste de nuire à l’établissement. D’où tenez-vous cette conviction ?



    Notre intime conviction est qu’entre grandes écoles, une concurrence saine pouvait s’établir pour créer une certaine émulation permettant d’atteindre le meilleur dans la préparation des hommes de demain. C’est pourquoi nous sommes étonnés qu’une tribune de promotion de filières dans un établissement soit transformée en un véritable tribunal d’exception pour charger IAM Ouaga. C’est la preuve que IAM est sur la bonne voie et nous allons continuer à tirer le niveau de notre enseignement vers le haut par des enseignements de qualité ainsi que par des infrastructures de qualité avec les standards les plus élevés existant à ce jour dans le domaine de l’enseignement supérieur.

    Au Bénin, il y a plus d’une vingtaine de grandes écoles et il n’y a aucun problème entre elles. Au Burkina Faso, il y a seulement une dizaine de grandes écoles et certaines cherchent à éliminer les autres. Ce ne sont, ni les dérives verbales, ni les coups bas qui entameront la relation de confiance que nous avons su créer entre nous et les étudiants, entre nous et les parents, entre nous et les autorités de l’enseignement supérieur.

    Comment expliquez-vous qu’après avoir fondé IAM-Ouaga, M. Guirassy en fait un institut à abattre

    Il faut clarifier tout de suite un point important. Guirassy Moustapha n’est pas le fondateur de IAM Ouaga. Il a été un souscripteur d’actions au moment de la création de l’entreprise. C’est simple ! Comme je vous l’ai déjà souligné au départ, M. Guirassy ne croyait pas vraiment au projet. Voyez vous-même ce qu’est devenu IAM Ouaga aujourd’hui : nous avons aujourd’hui 15 diplômes reconnus, nous avons un campus moderne avec des salles de classes climatisées, des salles de sport, des salles de jeu, des salles d’enseignants, du matériel didactique aux standards internationaux. Nous avons inscrit le nom commercial de IAM Ouaga auprès des instances de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI). Nous avons une reconnaissance au niveau du CAMES, du Burkina Faso et de plusieurs pays de la sous région. Ça se comprend donc que M. Guirassy puisse avoir des regrets. Mais ce que nous ne comprenons pas, pourquoi c’est maintenant qu’il fait sa sortie médiatique surtout juste après l’inauguration du nouveau campus ZAD par les plus hautes autorités burkinabè ? Pourquoi ne pas l’avoir fait depuis 2012, année de la rupture de notre protocole d’accord ?

    .

    N’êtes vous pas en train d’abuser du nom IAM qui est une propriété de M. Guirassy ?



    Non ! Nous tenons à préciser que le nom commercial de IAM Ouaga a été déposé à l’Organisation Africaine de la Protection Intellectuelle (OAPI) depuis le 30 novembre 2012 sous le numéro 93138. L’OAPI est la seule organisation en Afrique qui peut apprécier si oui ou nom nous abusons d’un nom commercial. Plus sérieusement, pensez vous que son problème se trouve dans le nom ? Le savoir faire de IAM Ouaga découle t-il de la seule utilisation d’un simple nom ?

    Il ressort des dires que votre tentative d’ouvrir IAM Abidjan a échoué et que la justice vous a condamné à lui verser des pénalités. Qu’en est il exactement ?

    Nous tenons à vous dire que IAM Ouaga n’est pas actionnaire d’IAM Abidjan. Sur ce point, IAM Abidjan avisera. Nous avons par contre signé une convention de partenariat avec IAM Abidjan pour leur offrir notre expertise dans la formation universitaire. Nous savons que IAM Dakar a demandé à rentrer dans le capital de IAM Abidjan et cela lui a été refusé, ensuite il a demandé à signer un partenariat et cela lui a été aussi refusé. Je ne sais pas pourquoi il ne fait pas mention de toutes ces démarches infructueuses qui justifient son amertume.



    La partie judiciaire de l’affaire vient d’être portée à la connaissance du public. Quelle sera la suite pour vous ?



    Il n’y a aucune suite judiciaire à notre niveau. Monsieur Guirassy n’a jamais été actionnaire de IAM Ouaga. Il a été souscripteur mais n’a jamais libéré le montant de ses actions malgré les multiples relances.

    Nous étions obligés de nous conformer aux recommandations du commissaire aux comptes et à la loi en le déclarant souscripteur défaillant. Nous le défions d’apporter la preuve du moindre franc déboursé dans la création de IAM Ouaga. Et nous demeurons convaincus que s’il s’estime réellement floué, la justice offre de meilleures voies de recours que la presse. Pensez-vous que quelqu’un qui n’a pas participé à construction d’une œuvre puisse bénéficier des fruits ? Comme disent les anglais, « no contribution, no deal ».



    Entretien réalisé par Jacques Théodore Balima

    Lefaso.net

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    Auteur

    Rew

    En Mai, 2016 (08:19 AM)
    Changer de nom alors. IAM est son label, un label sénégalais, comme Starbucks est américain, orange français et j'en passe. Déjà le label IAM vaut plus que les 6 millions du capital. Combien de milliards ont été engrangé grâce au label ? Même sans le moindre franc versé, on doit lui reversé au moins 5% d'après la pratique internationale sur les droits de franchise. L'africain toujours prêt à jouer au plus malin avec son prochain alors que si c'était un européen, il se conforme à ses obligations.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (09:14 AM)
    L'Etat du Sénégal avait sollicité en fin octobre 2014, au niveau du marché financier de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), un emprunt obligataire de 75 milliards de FCFA destiné au financement complémentaire du Plan Sénégal émergent (PSE). L'émetteur s'était engagé à payer les intérêts semestriellement. Le Sénégal va rembourser 4 milliards FCFA de dettes

    Qui empreinte paye je ne vois pas de polémique à faire sur ça

    Oui, mais est-ce qu'on n'est pas en train de s'endetter beaucoup trop? Pourrons-nous rembourser ? Nous risquons de faire le malheur de nos enfants au lieu d'émerger.

    En effet, je crois que l'État pense juste à l'instant présent et non à l'avenir de nos enfants. Rien de construit, rien de planifier, juste des suppositions.....

    Ses toujours comme ça avec l'État comment faire

    Et k dire cest le peuple ki paie toujours les pots cassés

    Le 12-5-16 ; L’Etat du Sénégal a, au cours des dix dernières années levé sur le marché financier plus de 700 milliards FCFA, a annoncé jeudi à Dakar, Marie Odile Sène Kantoussan, Directrice générale de la Compagnie de gestion financière et de Bourse (Cgf Bourse).

    L’agence UEMOA-Titres annonce que le gouvernement du Sénégal cherche à lever sur le marché financier de la Zone 185 milliards de francs CFA. Ce, au second semestre de cette année. L’opération sera ouverte le 18 mai prochain avec le lancement d’une adjudication de bons du Trésor, pour 35 milliards, et d’un Sukuk pour 150 milliards. (obligations compatibles avec la loi islamique), a appris l’APS. On .ignore encore les détails de cette levée de fonds — les objectifs, le taux d’intérêt et les co-arrangeurs Ces fonds serviront à financer le déficit budgétaire et certains projets du pays

    "Globalement, pour l’année 2016, le Sénégal cherche à lever 630 milliards de FCFA (960 millions d’euros) sur le marché de la dette publique de l’UEMOA, afin de financer ses investissements prioritaires annuels", indique Jeune Afrique sur son site Internet.

    Donc, ça continue



    Auteur

    Travail

    En Mai, 2016 (10:19 AM)
    on devait travailler ce lundi au lieu d'attendre une poignée de randonneurs qui doivent bien montrer des gueules de bois ce matin.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (10:49 AM)
    Lépp, tabakh, taylé askan wi, jaay soouf ci, dadi indii bénen bor, ndool dikkë.

     :frustre:  :frustre:  :frustre:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :joyy:  :joyy:  :joyy:  :joyy: 

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     :emoshoot: LA PEUPLE :fbhang: LES POLITICIENS PATIANGAS  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">  

    LE PEUPLE S APPAUVRIT DE JOUR EN JOUR

    LES GOUVERNANTS PARASITES POLITICIENS ET POLITICHIENS DEVIENNENT OBESES
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    Auteur

    Darwin

    En Mai, 2016 (10:49 AM)
    EN FAIT, A QUI DEVONS NOUS TOUT CET ARGENT ? J'AI REELLEMENT BESOIN DE VOTRE AIDE SUR CETTE QUESTION. MERCI. :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation:  :interrogation: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mai, 2016 (14:03 PM)
    le problème n ' est pas l ' emprunt en lui même tant qu ' il reste a un pourcentage raisonnable , mais ce que l ' on en fait .........si c ' est pour augmenter les fonctionnaires , payer des 4x4 aux députés , payer d ' anciennes dettes ou construire des mosquées c ' est de l argent de gaspillé , si c ' est pour construire des routes , des hôpitaux , des écoles des universités , améliorer la vie des citoyens alors la c ' est de l argent de placé ..........a vous de juger si l ' argent du Sénégal est bien employé , la est la véritable question !!!!!!
    Auteur

    Rappel

    En Mai, 2016 (14:18 PM)
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    Auteur

    Mounas

    En Mai, 2016 (14:36 PM)
    Je remarque simplement qu'avec moins de 1500 milliards de ettes en moyenne par an, le RWANDA du grand leader Paul Kagamé a réussi à hissé son pays au rang des pays d'Afrique noire les plus développés et les mieux organisés ! Quant au Sénégal, nous empruntons bêtement dans l'improductif ! Heureusement que Wade a orienté l'Afrique vers la réalisaztion d'infrastructures modernes e, particulier routières et ferroviaires !
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