Porté à la tête du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Dr Abdourahmane Diouf poursuit ses visites dans les différentes universités du pays afin de s’enquérir de la situation. D’ailleurs, c’est en ce sens, qu' il a foulé ce lundi 22 avril 2024 le sol de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD). Après une visite guidée par les autorités de l’Ucad, le ministre Abdourahmane Diouf s’est entretenu avec syndicats et étudiants afin de trouver les voies et moyens pour la stabilisation de l’année académique.
« En connaissance des difficultés auxquelles fait face l’UCAD, j'ai prévu de rencontrer, les différentes entités, individuellement, pour regarder quelles sont les solutions techniques applicables. Et, parmi les questions importantes soulignées, il y en a une qui me paraît urgente : la question de la stabilisation de l'année scolaire », a-t-il affirmé.
Elle est une question d'intérêt national donc une priorité absolue dans la mesure où, explique-t-il, « depuis une dizaine d'années, les années académiques se superposent. Cette superposition connaît des conséquences sociales, financières et économiques désastreuses. D’ailleurs, on a même avancé que 25 milliards pourraient être économisés dans le cadre d'un partenariat et d'une discussion fructueuse », renseigne le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Par rapport aux bâtiments pas encore réceptionnés, il informe qu’il y a de petits problèmes techniques et administratifs qui font qu’ils ne peuvent pas être donnés pour le moment aux étudiants. Cependant, Dr Abdourahmane Diouf prend l'engagement de faire le nécessaire pour que ces bâtiments soient mis à la disposition des étudiants.
Toutefois, le nouveau ministre invite les acteurs du système éducatif à faire des efforts pour une année scolaire apaisée . Car soutient-il « les budgets ont été votés avant l’avènement de ce régime. Donc, nous allons devoir faire avec les moyens du bord pour cette première année».
« En connaissance des difficultés auxquelles fait face l’UCAD, j'ai prévu de rencontrer, les différentes entités, individuellement, pour regarder quelles sont les solutions techniques applicables. Et, parmi les questions importantes soulignées, il y en a une qui me paraît urgente : la question de la stabilisation de l'année scolaire », a-t-il affirmé.
Elle est une question d'intérêt national donc une priorité absolue dans la mesure où, explique-t-il, « depuis une dizaine d'années, les années académiques se superposent. Cette superposition connaît des conséquences sociales, financières et économiques désastreuses. D’ailleurs, on a même avancé que 25 milliards pourraient être économisés dans le cadre d'un partenariat et d'une discussion fructueuse », renseigne le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Par rapport aux bâtiments pas encore réceptionnés, il informe qu’il y a de petits problèmes techniques et administratifs qui font qu’ils ne peuvent pas être donnés pour le moment aux étudiants. Cependant, Dr Abdourahmane Diouf prend l'engagement de faire le nécessaire pour que ces bâtiments soient mis à la disposition des étudiants.
Toutefois, le nouveau ministre invite les acteurs du système éducatif à faire des efforts pour une année scolaire apaisée . Car soutient-il « les budgets ont été votés avant l’avènement de ce régime. Donc, nous allons devoir faire avec les moyens du bord pour cette première année».
8 Commentaires
Fof
il y a 2 semaines (08:53 AM)-
Grandiloquent ,pretentieux et vide naturellement
Répondre
+23
-23
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
il y a 2 semaines (09:09 AM)-
Tu sais très bien que tu mens. Monsieur Diouf n'est pas ton égal. Faites des efforts pour vous départir de votre méchanceté.
Répondre
+13
-0
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
il y a 2 semaines (11:23 AM)Senegalrekk
il y a 2 semaines (09:48 AM)Verite
il y a 2 semaines (09:54 AM)Wakhhh mome c'est son metier .
Sinon rien de concret. Même parrainage il n'a pas pu
La grosse surprise est le chapiteau dont le cout a été dans un premier temps à 500 millions puis 1 milliard, alors que des chapitaux avec les mêmes carastéristiques coutent entre 120 et 200 millions. L'économie des +25 milliards est possible si tout est fait dans la transparence sans surfacturation.
Dans tous les secteurs si les choses sont faites normalement beaucoup d'économies sont possibles. L'état des lieux permettra de récupérer beaucoup de milliards avec l'exploitation des rapports OFNAC, Cour des comptes et de IGE. Il faudrait aussi voir du coté de l'enrichement de certains dont les revenus ne permettent pas de tels avoirs.
Quand à Aziz Nfdiaye le fisc doit revoir sa déclaration d'impots qui pourra être une base pour voir s'il s'est acquitté de sa contribution fiscale.
Lanceur D'alerte
il y a 1 semaine (12:17 PM)Soleil
il y a 1 semaine (13:06 PM)panélistes, qui en majorité, etaient des professeurs à I'UCAD. Les autres venaient d'autres universités du pays. Le débat proposé etait scientifique. Comme vous pouvez le constater, et le recteur a refusé. Il denoncais cette attitude:
"ce recteur passera, comme tous ceux qui ont un mandat public. D'autres, plus républicains, je l'espère, les remplaceront. L'université est un espace de liberté que les petits calculs politiciens ne doivent pas rétrécir. On est en plein dans l'arbitraire".
au jourd'hui tu es le patron de ce grand temple. Le revers de la medaille. Thiey aduna!!!
Narcos
il y a 1 semaine (08:02 AM)Le cumul de diplômes ne fait pas de toi un homme forcément intelligent.
L'avenir nous éclairera
Participer à la Discussion