Le sommet du Championnat entre Monaco et le PSG a, comme à l'aller, accouché d'un match nul (1-1) ce dimanche à Louis-II. Paris conserve ses cinq points d'avance en tête du classement.
Les deux se tiennent depuis le début de la saison et il semble écrit qu’ils ne vont pas se lâcher avant la fin. Entre le Paris-SG et Monaco, ce n’est pas un amour fou, mais un partage équitable. Après le nul de l’aller au Parc des Princes (1-1), les deux meilleures équipes du Championnat ont remis ça ce dimanche à Louis-II (1-1) lors de ce choc aux allures de Ligue des champions. Paris, qui a rendez-vous avec le Bayer Leverkusen dans neuf jours, peut nourrir quelques regrets, du fait d’avoir mené pendant plus d’une heure. Il aurait pu compter huit longueurs d’avance sur les hommes de Ranieri, qui ont limité la casse en égalisant à l’approche de la dernière ligne droite. Le club de la capitale conserve donc sa marge de cinq points.
Pastore lance le match
Ce sommet du Championnat a tenu toutes ses promesses et n’a d’ailleurs pas mis longtemps à décoller. Ceux qui pensaient qu’on était parti pour une partie cadenassée et sans but, notamment en raison des absences de Cavani et Falcao, ont eu tout faux. Car il n’a fallu qu’une poignée de minutes au PSG pour emballer la partie et surtout prendre l’avantage. Et Blanc pouvait alors se féliciter d’avoir préféré Pastore à Lavezzi, dont la prestation indigente à Nantes (2-1) l’a condamné à faire banquette. El Flaco, dont l’irrégularité chronique exaspère souvent, s’est mis en lumière en brisant aussitôt la glace d’une tête sur un corner de Motta dévié par Alex (8e). Le premier but cette saison de l’Argentin en L1.
Premières minutes pour Berbatov
Monaco a bien tenté d’insuffler la révolte mais Rivière n’était pas dans un bon soir (13e et 14e). Voyant le PSG maîtriser les débats au milieu, Ranieri a changé son dispositif à la reprise avec le retour du 4-4-2 en losange et de Kondogbia à la place d’Ocampos, qui n’avait pourtant pas démérité. En rôle de meneur axial, James Rodrigues a mis un peu de folie mais le rempart parisien a tenu, même si Sirigu a montré quelques signes de fébrilité dans les airs. Le deuxième joker de Ranieri s’appelait Berbatov. L'entrée du Bulgare a eu son effet. Poussé dans ses retranchements, Paris a concédé l’égalisation sur une frappe excentrée de Fabinho dévié par Thiago Silva (74e). Sirigu (89e) et Subasic (90e) ont maintenu le nul. Une défaite aurait été cruelle pour les uns comme pour les autres.
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