La multiplication des attaques terroristes pousse aussi les chercheurs à réfléchir sur ces problématiques. Pour rendre hommage aux victimes du terrorisme et en solidarité avec les Peuples frappés par les actes terroristes, la 11ème édition des Matinales géopolitiques du Centre d’études diplomatiques et stratégiques (Ceds) a axé ses réflexions sur « Les peuples face à la mondialisation de la terreur : quels rôles pour les acteurs étatiques et non étatiques contre l’hyper-terrorisme ? ».
En réponse, les experts soutiennent qu’il faut une implication globale de toutes les populations pour faire face aux menaces terroristes.
Selon Pr Oumar Ndongo, il faut mettre en place une stratégie «d’alerte, de veille auprès des décideurs, mais aussi de sensibilisation et d’éducation des populations». Penda Mbow embouche la même trompette : « Il s’agit de bâtir de larges consensus sur la nécessité de bâtir des espaces de paix. Le plus important, c’est l’éducation et la sensibilisation qui doivent être un travail des élus, de la société civile organisée, des intellectuels, de tous ceux qui ont une opinion qui se dégage. Cela ne doit pas être l’apanage d’un Etat.»
L’imam El Hadji Oumar Diène, secrétaire général des imams et oulémas du Sénégal, donne la recette religieuse : « C’est dans les réunions publiques qu’il faut faire passer le message de la lucidité et de l’éducation des personnes. Il faut remotiver les gens à vivre au lieu de les laisser pour compte ».
Selon l’expert, consultant en gestion et en sécurité des systèmes d’information, Ahmadou Bamba Thiam, l’accent doit être mis sur la « sensibilisation, sur une utilisation responsable d’internet quand on sait que les réseaux terroristes coptent souvent des jeunes à travers l’internet. C’est un monde sans frontière qui offre beaucoup de possibilité avec très peu de contrôle. L’internet permet aussi le cyber-terrorisme, c’est-à-dire l’utilisation des technologies de l’information et de la communication pour commettre des actes terroristes. Le criminel des temps modernes peut faire plus de dégâts avec les claviers d’un ordinateur qu’avec une bombe ».
En réponse, les experts soutiennent qu’il faut une implication globale de toutes les populations pour faire face aux menaces terroristes.
Selon Pr Oumar Ndongo, il faut mettre en place une stratégie «d’alerte, de veille auprès des décideurs, mais aussi de sensibilisation et d’éducation des populations». Penda Mbow embouche la même trompette : « Il s’agit de bâtir de larges consensus sur la nécessité de bâtir des espaces de paix. Le plus important, c’est l’éducation et la sensibilisation qui doivent être un travail des élus, de la société civile organisée, des intellectuels, de tous ceux qui ont une opinion qui se dégage. Cela ne doit pas être l’apanage d’un Etat.»
L’imam El Hadji Oumar Diène, secrétaire général des imams et oulémas du Sénégal, donne la recette religieuse : « C’est dans les réunions publiques qu’il faut faire passer le message de la lucidité et de l’éducation des personnes. Il faut remotiver les gens à vivre au lieu de les laisser pour compte ».
Selon l’expert, consultant en gestion et en sécurité des systèmes d’information, Ahmadou Bamba Thiam, l’accent doit être mis sur la « sensibilisation, sur une utilisation responsable d’internet quand on sait que les réseaux terroristes coptent souvent des jeunes à travers l’internet. C’est un monde sans frontière qui offre beaucoup de possibilité avec très peu de contrôle. L’internet permet aussi le cyber-terrorisme, c’est-à-dire l’utilisation des technologies de l’information et de la communication pour commettre des actes terroristes. Le criminel des temps modernes peut faire plus de dégâts avec les claviers d’un ordinateur qu’avec une bombe ».
4 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (22:08 PM)Abou
En Novembre, 2015 (23:22 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (12:35 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (13:34 PM)Participer à la Discussion