Dans le cadre de son plan de réforme de l'Administration sénégalaise, le Président Macky Sall a décidé de réduire le train de vie dispendieux de l'État. Mais au préalable, un diagnostic de la situation s'imposait. Il a été fait. Le résultat est effarant. Il est détaillé dans l'édition du Soleil de ce mardi 23 avril. Les chiffres, qui trahissent un gaspillage outrancier des ressources publiques, donnent le tournis.
Le 18 décembre 2018, au deuxième et dernier jour de la rencontre du Club de Paris, au cours de laquelle le Sénégal enregistrait un éclatant succès dans la collecte des contributions des bailleurs de fonds pour le financement de la Phase II du Plan Sénégal émergent (Pse), le président de la République, faisant face à l'essentiel des acteurs du secteur privé sénégalais, proclamait, à nouveau, ce qui devrait figurer au rang de ses ambitions majeures, s'il était réélu : réformer en profondeur l'Administration sénégalaise.
"Parmi les urgences principales de la Phase II du Pse, devront donc figurer la poursuite de la réforme (…) de l'Administration générale (…). L'Administration publique [est parmi les] révélateurs de l'état d'une société. (…) Pour bâtir le progrès, les usagers du service public ont droit à des prestations diligentes et efficaces. Il nous faut donc plus une Administration de développement qu'une Administration de commandement", disait-il.
Vingt mille véhicules achetés depuis 2000
Aujourd'hui, quatre mois plus tard, sa réélection acquise, il est sur le point d'enclencher un processus qui, à terme, va révolutionner– le mot n'est pas trop fort– le vécu et les habitudes d'"une Administration de commandement", qu'il ambitionne de transformer en "une Administration de développement" pour mieux placer le Sénégal sur les rampes de l'émergence. Et Le Soleil est en mesure de dire qu'avant les réformes purement techniques, Macky Sall va prendre par les cornes le taureau de la gabegie engendrée par le train de vie dispendieux de l'État.
Son premier chantier ? Réformer la commande et l'utilisation des véhicules. Pourquoi une telle réforme ? Plusieurs enquêtes et études commanditées par l'autorité font parler de chiffres effarants ! De 2000 à cette année 2019, l'État et le secteur parapublic sénégalais ont passé des commandes de… vingt mille (20 000) véhicules. Soit environ mille (1000) voitures par an dont le coût moyen unitaire est de vingt-cinq (25) millions de FCfa. En somme, ce n'est pas moins de cinq cent (500) milliards de FCfa qui ont été engloutis dans ce domaine, ces vingt (20) dernières années. Avec cette enveloppe, combien d'universités, de lycées, d'écoles, de postes de santé etc., auraient pu être construits ? Inutile de faire le calcul !
À ce gâchis sidérant viennent s'ajouter d'autres, lorsqu'on jette un coup d'œil sur l'utilisation et la gestion faites de ces véhicules. A ce propos, il ressort des mêmes études que la durée de vie moyenne d'un véhicule administratif est de trois années ; cinq fois moins qu'un véhicule privé, qui est de quinze années. C'est dire que l'État est obligé de renouveler son parc automobile tous les trois ans.
Les causes de ce gaspillage scandaleux renvoient à trois maux : primo, l'absence totale d'effort pour l'entretien de ces biens publics de la part des affectataires ; secundo, l'utilisation des véhicules administratifs à des fins privées ; tertio, la cannibalisation fréquente et persistante, pour dire le moins, des véhicules administratifs pour équiper des véhicules privés.
À cela se greffent la difficulté de retracer le parc automobile de l'État, le déséquilibre ou la disproportion entre la gamme ou le standing des véhicules, le niveau de responsabilité des affectataires ou leur niveau de vie, en violation des dispositions existantes (décrets, arrêtés) qui réglementent tout cela.
Carburant : 40 milliards par an
L'autre saignée monstrueuse que subit l'État et à laquelle Macky Sall est décidé à mettre un terme, c'est la consommation de carburant. L'enveloppe culmine à– retenez votre souffle !– quarante (40) milliards de FCfa l'année (État et secteur parapublic confondus). Ici aussi, les abus sont la règle et la bonne conduite l'exception. A tous les échelons de l'État et du secteur parapublic, les dotations en carburant aux affectataires de véhicule administratif sont sans rapport avec les besoins réels. La redistribution des dotations à des fins privées est habituelle, avec la persistance d'un système de monnayage des tickets et cartes de carburant au détriment de l'État.
L'explication de cette situation qui grève le budget national d'un pays en voie de développement comme le Sénégal renvoie à une violation généralisée, connue de tous et restée impunie, de la réglementation sur le carburant. Une disposition qui exige cinq (05) litres par jour et par véhicule, soit une moyenne cent cinquante (150) litres par mois et par affectataire. Seulement, dans la réalité sénégalaise, les dotations sont très largement dépassées, allant en moyenne de deux cent cinquante (250) à cinq cent (500) litres par affectataire de véhicule.
Réparations : 18 milliards par an
Last but not least, le non-respect systématique des critères des ayants droit. En effet, seuls ceux qui ont un véhicule de service ou de fonction ont droit à la dotation. Mais, dans les faits, et c'est ce qui est le plus scandaleux, ceux qui en bénéficie et qui n'ont pas de véhicule administratif sont plus nombreux.
Parallèlement à la commande, à l'utilisation des véhicules administratifs et la consommation de carburant par l'État et le secteur parapublic, Macky Sall va s'attaquer à une autre plaie : l'octroi des indemnités kilométriques. A ce sujet, le principe est simple : ne doivent en bénéficier que ceux qui, après autorisation, utilisent leur véhicule personnel pour les besoins du service. Ici encore, la pratique jure d'avec la règle : l'indemnité kilométrique est presque généralisée, car elle est octroyée sur simple présentation d'une carte grise au nom du requérant. Pis, les études indiquent qu'il est avéré que les bénéficiaires utilisent leur véhicule exclusivement à leurs besoins privés.
La cinquième bataille dans la guerre déclarée à la gabegie, Macky Sall la mènera sur le champs des frais d'entretien et de réparation des véhicules de l'État et du secteur parapublic. Une offensive d'envergure toute légitime lorsqu'on prend connaissance du dernier montant annuel de la facture : dix-huit (18) milliards de FCfa ! Une somme qui aurait permis l'acquisition de sept cent vingt (720) véhicules flambant neuf. Ce gâchis est d'autant plus scandaleux et inacceptable que, d'une part, ces engagements de près de vingt (20) milliards de FCfa sont faits, révèlent les études, sur des véhicules amortis, donc ne devant plus être réparés par l'Administration, et, d'autre part, ils sont caractérisés par une exagération, pour ne pas dire autre chose, des coûts de réparation et d'entretien par des prestataires convaincus qu'ils ont affaire à une vache à lait : l'État.
Plus 100 milliards de dettes sur l'eau, l'électricité et le téléphone
Gabegie, encore gabegie et toujours la gabegie qui étend ses tentacules à d'autres charges courantes de l'État et de ses entités du secteur parapublic : les consommations en eau, en électricité et en téléphone, qui révèlent, à souhait, les tares du rapport du Sénégalais au bien public. Ici, les factures de l'État sont… globalisées auprès de la Sonatel, de la Sde et de la Senelec.
Conséquence ? Il s'est installé une "irresponsabilité généralisée" du fait qu'il est impossible de savoir qui consomme quoi et combien. Les branchements clandestins sur les réseaux d'électricité et d'eau de l'État sont légion. A ceux-là se greffent des milliers d'abonnements privés (eau et électricité), toujours au nom de l'État.
C'est le cortège des "impossibles" : impossible de retracer auprès de la Sde et de la Sénélec les polices des abonnements réels de l'État, ce qui laisse libre cours à une évaluation hâtive et souvent exagérée des consommations de l'État ; impossible d'avoir une idée précise et exacte du parc de téléphonie de l'État, car là aussi, les factures sont globalisées au niveau de la Sonatel, et nul ne sait, même au sein de l'État, qui consomme.
En résumé, pour l'eau, l'électricité et le téléphone, c'est une énorme bamboula orchestrée par des agents de l'État, mais aussi d'autres citoyens qui profitent indument du système. De façon globale, le flou est tellement persistant dans le paiement des charges courantes de l'État qu'il est impossible de l'évaluer avec exactitude.
Trois cent cinquante abonnements frauduleux résiliés
Il n'empêche, au 31 décembre 2018, les cumuls, qui ont pu être retracés, révèlent un montant faramineux : plus de cent (100) milliards de FCfa par an ; une ardoise que l'État n'est jamais parvenu à honorer, et qui vient s'ajouter au stock de sa dette auprès d'une foultitude de prestataires.
Concernant le téléphone, un croisement de dettes État-Sonatel a toutefois permis la mise en œuvre d'une compensation. Une fois ces diagnostics effarants et alarmants établis, une question légitime se pose, à savoir que faire et comment ? La réponse renvoie aux méthodes et moyens que Macky Sall va mettre en œuvre pour juguler l'hémorragie : un plan de guerre que Le Soleil exposera dans ses prochaines éditions, et qui devra épouser les contours de ce que le président de la République avait entrepris en balayant, avec succès, devant sa propre porte : la présidence de la République.
En effet, à ce jour, du flou de ce gaspillage, seule cette institution émerge. Car, au terme d'un processus entamé dès 2013, elle est parvenue à prendre le taureau par les cornes, en mettant fin au laisser-aller dans la gestion des logements conventionnés, la consommation en eau, électricité et téléphone, au moyen de réformes sanctionnées par des résultats élogieux, qui n'ont pas manqué de provoquer beaucoup de grincements de dents.
Baisse vertigineuse de la facture des logements conventionnés, passant de 16 à 7 milliards
Depuis 2013, la présidence de la République est la seule institution à avoir procédé à un recensement exact de son parc de téléphonie ; la seule à avoir demandé ses factures ; la seule à avoir rationalisé ses consommations de téléphone (mobiles et fixe), au moyen de gescompte.
Les résultats ne se sont pas fait attendre : les consommations ont été réduites de soixante pourcent (60 %) : sept cents (700) millions de FCfa de baisse rien que sur le mobile ; la facture globale passant de plus de quatre (04) milliards à deux (02) milliards de FCfa. Macky Sall est arrivé à ce résultat en ordonnant une réduction drastique du nombre d'abonnés, tous (des ministres aux Directeurs généraux) désormais "gescomptés" (crédits plafonnés).
Au passage, aussi incroyable que cela puisse paraître, quelques trois cent cinquante (350) abonnements… frauduleux, ont été identifiés et résiliés.
Pour les logements conventionnés, l'ardoise était simplement scandaleuse à l'arrivée au pouvoir de Macky Sall : seize (16) milliards de FCfa par an pour loger une foule de non ayants droit. Une fois que tous ont été quasiment expulsés de ces logements, la facture locative annuelle a dégringolé, comme celle du téléphone, pour se maintenir à sept (07) milliards de FCfa.
Nonobstant ces avancées, Macky Sall veut aller plus loin : zéro convention à usage de bureaux à l'horizon 2022 ; c'est toute l'essence de la construction de cités ministérielles administratives à Diamniadio. (…)
Le chapô est de Seneweb
60 Commentaires
DES GENS QUI NE TRAVAILLENT MEME PAS POUR L'ETAT CIRCULENT AVEC LES BIENS DE L'ETAT.
QUE DIRE DU CARBURANT : LES DIRECTEURS EN ABUSENT COMME PAS POSSIBLE.
ILS DISTRIBUENT LE CARBURANT QUI EST L'ARGENT DU CONTRIBUABLE A LEURS COPINES ET A N'IMPORTE QUI.
IL FAUT VRAIMENT NETTOYER TOUTE CETTE MERDE.
CES POLITICIENS SONT DE LA VRAIE POURRITURE
Moussa
En Avril, 2019 (16:04 PM)IL ME REPOND QUE LA 1 ERE VOITURE ETAIT SA VOITURE DE FONCTION MAIS QU'ON LUI A DONNE LA 2EME CAR IL GERE UN PROJET DE LA BANQUE MONDIALE POUR LEQUEL LE SENEGAL A ACHETE DES VEHICULES.
LORSQU'IL A SIGNALE L'ANOMALIE AU DAGE IL LUI A REPONDU NON CE N'EST PAS GRAVE CAR L'ETAT AVAIT DEJA DECAISSE L'ARGENT POUR CE NOUVEAU VEHICULE DONC TU DOIS LE PRENDRE.
IL AVAIT 300 LITRES DE CARBURANT PAR MOIS POUR CHAQUE VOITURE ET PUISQUE SON EPOUSE AVAIT DEJA SON PROPRE VEHICULE IL A AFFECTE CE NOUVEAU VEHICULE A SA MAMAN POUR SES COURSES PERSONNELLES AVEC LE CHAUFFEUR DU PROJET PAYE AUSSI PAR L'ETAT.
DONC VOILA UN FONCTIONNAIRE QUI AVAIT 2 VEHICULES MALGRE LUI ET JE LUI AI DIT QUE CE N'ETAIT PAS NORMAL ET IL M'A REPONDU QU'IL AVAIT VU PIRE CAR CERTAINS DE SES COLLEGUES AVAIENT 3 VEHICUELS DE FONCTION CAR ILS GERAIENT PLUSIEURS PROJETS ANNEXES DE L'ETAT DANS LE CADRE DE LA COOPERATION.
JE ME SOUVIENS QUE MES VOISINS MINISTRES OU FONCTIONNAIRES CHANGEAIENT DE VEHICULES EN MOYENNE TOUS LES 2 ANS ET QUE DES SUV DES 4X4 ENORMES QUI NE SORTAIENT JAMAIS DE DAKAR ET QUI N'ONT JAMAIS ROULE SUR LE SALBE ET DON LE CARBOTAGE N'AVAIT JAMAIS ETE UTILISE.
DANS LES ANNEES 90 ON ACHETAIT DES 4X4 DANS LES PROJETS A CAUSE DES MAUVAISES ROUTES ET DES PISTES NON GOUGRONNEES AUJOURD'HUI ON DIRAIT QUE CELUI QUI LE ROULE PAS EN 4X4 N'A RIEN, TOUT LE MONDE VEUT ROULER EN 4X3 ,
J'AI MEME UN ONCLE MILITAIRE QUI ROULE EN RANGE ROVER GRAND MOELE A 50 MILLIONS.
MACKSY SALL NE VA RIEN CHANGER CAR TOUT CA C'EST DES DEALS ENTRE LES DAGE ET LES CONCESSIONAIRES AUTOMOBILES BIEN CONNUS DE LA PLACE QUI DONNENT DES RISTOURNES SOUS LA TABLE AUX ACHETEURS DE L'ETAT.
LE SENGAL EST UN PAYS ABERRANT OU TU VOIS UN FONCTIONNAIRE QUI GAGNE A PEINE 500 MILLE FRANCS NETS PAR MOIS ET QUI ROULE DANS UNE VOITURE DE FONCTION DE 25 MILLIONS ALORS QU'IL N'A PAS ENCORE DE MAISON, C'EST ABERRANT ET IRRESPONSABLE.
L'ENTRETIEN ILS S'EN FOUTENT CAR J'HABITAIT A COTE D'UN DEPUTE DU PDS QUAND ON LEUR A DONNE DES 4X4 DE SERIGNE MBOUP, AU BOUT DE 6 MOIS LA VOITURE ETAIT ACCIDENTEE, CABOSSEE DE PARTOUT.
AUCUN SOIN, AUCUN ENTRETIEN. ON DEVRAIT LEUR PONCTIONNER AU MOINS 5% DE LEURS SALAIRES POUR USAGE DU VEHICULE AFIN QU'ILS Y METTENT PLUS DE SOIN SINON CE SERA TOUJOURS ALALOU BUUR, ON S'EN FOUT ON CASSE LA VOITURE ET L'ETAT VA REMPLCER.
20 000 VOITURES POUR UN PAYS PARMI LES 25 PLUS PAUVRES AU MONDE C'EST UNE HERESIE ET PENDANT CE TEMPS LES GENS N'ONT A RIEN EN BANLIEUE A PLUS FORTE DANS LES CAMPAGNES.
Yeff
En Avril, 2019 (16:10 PM)EN 2000 LOCATAIRE . EN 2009 MILLIARDAIRE .2012 PRÉSIDENT.LA DÉCEPTION SERAIT SI C ÉTAIT LE CONTRAIRE.MAIS CELA NOUS LE MÉRITONS EN TANT QUE PEUPLE MUR.DOLY NIOU DOYALOUNIOU
Yeff
En Avril, 2019 (16:10 PM)EN 2000 LOCATAIRE . EN 2009 MILLIARDAIRE .2012 PRÉSIDENT.LA DÉCEPTION SERAIT SI C ÉTAIT LE CONTRAIRE.MAIS CELA NOUS LE MÉRITONS EN TANT QUE PEUPLE MUR.DOLY NIOU DOYALOUNIOU
Yeff
En Avril, 2019 (16:11 PM)EN 2000 LOCATAIRE . EN 2009 MILLIARDAIRE .2012 PRÉSIDENT.LA DÉCEPTION SERAIT SI C ÉTAIT LE CONTRAIRE.MAIS CELA NOUS LE MÉRITONS EN TANT QUE PEUPLE MUR.DOLY NIOU DOYALOUNIOU
Vraiment c dommage
Sam
En Avril, 2019 (16:25 PM)Badji
En Avril, 2019 (16:28 PM)Commencez par les Dg des Agences.
Lebaolbaol Tigui
En Avril, 2019 (16:45 PM)Ba
En Avril, 2019 (16:46 PM)Moi
En Avril, 2019 (16:51 PM)- véhicule tous les deux ans
- carburant 250 à 500l par mois
- carburant pour des véhicules qui ne roulent plus
- 12 mois de carburant pour groupes électrogènes qui fonctionnent que l'hivernage
- frais de missions même en week end
Corruption, volé, violation de la loi sont les règles dans cette boîte
Who
En Avril, 2019 (16:54 PM)Je t’avais combattu, là je t’encourage.
Anonyme
En Avril, 2019 (17:04 PM)partager
vraiment je suis désolée
Douggy Duck
En Avril, 2019 (17:19 PM)Il faut en plus revoir les salaires de ces fonctionnaires.
Ils sont très mal payes
L'État dépense bcp voir décès gamou magal
Luc
En Avril, 2019 (17:26 PM)Qu'on accepte de reconnaitre que c'était l'option du laissez-faire qui était préférée pour laisser perdurer des avantages perçus indûment que ce soit l'attribution non justifiée d'une voiture ou d'un logement de "fonctions " utilisé le plus souvent pour le "2e bureau " ou pour servir à d'autres fonctions qui ne sont oficielles que de nom mais plutôt "privées " : un fonctionnaire navait pas rejoint le logement affecté en choisissant de l amenager pour y élever ses poules et poussins.
Il serait très difficile de vouloir sanctionner à l'heure actuelle certains faits si répréhensibles qu'ils soient commis dans le passé mais, on peut d'ores et déjà prendre les mesures et prévoir des sanctions pour arrêter cette hémorragie.
Parmi certaines suggestions déjà avancées, il y avait quelques pistes de réflexions sur la mesure d'attribuer aux députés à chaque législature une voiture neuve ; cette mesure qui devrait être rapportée ne tient à aucune logique ou non sens car la France qui a plus de ressources que notre pays ne s'est pas permise une telle générosité.
Le cumul de certains avantages accordé devra être également revu ; on peut accepter qu'un député qui se déplace pour des besoins de sessions parlementaires puisse bénéficier de frais ou d'indemnités de deplacement pour se loger et se restaurer à condition qu'il renonce à ces prestations que pourrait lui fournir l'hôtel des députés qui se veut être un lieu d'accueil et centre d'hébergement
Les efforts à consentir pour réduire drastiquement les charges de l'Etat ne devront pas être exigés seulement des députés. Les ministres devraient même proposer avant qu'on le leur demande une baisse de salaire qui n'aurait certainement aucun risque d'affecter leurs conditions de vie déjà très satisfaisantes comparées à celles de la majorité des sénégalais.
Enfin, les ministres, députés , hauts fonctionnaires de l'Etat devraient dés maintenant changer leurs habitudes pour se "familiariser" à la classe économique par avion pour les voyages accomplis dans le cadre des missions officielles pour le compte de la République ; il leur est tout à fait loisible de faire le sur classement en Business Class ou en 1ere à condition de payer la différence.
Toute prise en charge de frais pour les évacuations sanitaires à l'étranger devra être arrêtée si une telle mesure ne pourra pas être généralisée et étendue à chaque sénégalais dont son état de santé le nécessite.
Iba
En Avril, 2019 (17:30 PM)Iba
En Avril, 2019 (17:33 PM)Le Patriote
En Avril, 2019 (17:48 PM)Ceeddo
En Avril, 2019 (18:00 PM)Kaw
En Avril, 2019 (18:13 PM)Avis
En Avril, 2019 (18:27 PM).La gestion de la cité ici au Sénégal doit être menée par des apolitiques par appel a la candidature pour diriger les organismes étatiques, ministres,Pca,Dg,PDG une assemblée nationale remplie de 250 enseignants triés au hasard sur le fichier électoral ,un congrès de 250 professeurs pour superviser et contrôler tous marchés de l État ,des organes de contrôle ige,cour de compte ,Ofnac doivent remettre leur rapport a l Assemblée Nationale . Voici un dispositif juste, simple efficace et bon marché a peaufiner dont l avantage serait de réduire les politiciens a leur plus faible expression ...
Khady
En Avril, 2019 (19:02 PM)Les fonctionnaires commence à devenir un corncentr pour notre pays
Mbaye
En Avril, 2019 (19:10 PM)Macky Korr Marieme Faye
En Avril, 2019 (19:19 PM).il doit vous manquer un bout de cerveau !!!
Youssou Ndour
En Avril, 2019 (19:54 PM)Power
En Avril, 2019 (19:55 PM)Senegalais Bi
En Avril, 2019 (20:52 PM)Demain
En Avril, 2019 (21:07 PM)Mohamed Seck
En Avril, 2019 (22:33 PM)Les Sénégalais d'Italie perdent le nord, c'est le titre de l'article qui dit en substance par la bouche de hautes autorités italiennes il y a quelques semaines que dans ses politiques africaines qui selon elles appauvrissent les pays africains comme le Sénégal et plus loin Assane Samb, l'auteur, citant Babacar Socrate Diallo du Centre d'études en diplomatie et stratégie (Ceds) que les immigrs n'ont été qu'un prétexte, les causes des dissensions entre l'Italie et la France remontent à la crise libyenne et la mort de Kadhafi. Je vis ce malaise intensémment depuis 5 ans mais il s'est intensifi? avec le surgissement dans mon univers d'un Sénégalais du nom de Diogo. Aujourd'hui encore j'ai lu dans le New York Times un article sur le terrorisme qui dit que
Rien que cela l'on disposerait des informations pertinentes d'appréciation de la qualité des dépenses publiques sur les périodes considérées.
J'en reste là. Merci
Onditout
En Avril, 2019 (11:37 AM)Le Broussard
En Avril, 2019 (13:24 PM)Véhicules De L État
En Avril, 2019 (13:28 PM)Les travailleurs doivent avoir des moyens et un bon traitement.
Certains pensent que les gens doivent vivre dans la misère.
Les agents de l État compétents vont partir.
Zou
En Avril, 2019 (15:51 PM)Thieylii
En Avril, 2019 (20:40 PM)Entretien: tu l'entretiens toi même. Tu fais le suivi toi même Parce qu'il y a généralement personne de qualifiée pour faire ce qui doit être fait. De plus si la politique se mêle à la chose ton véhicule est réquisitionné pour aller battre campagne je ne sais où ou bien un besoin incompréhensible de la Direction générale. Des départements se partagent des véhicules ou bien d'autres se voient reporter des missions urgentes parce que les véhicules sont occupés ailleurs. Pendant ce temps d'autres font la bamboula...
Il y a des vehicules dont leur catégorie ne reflète pas l'utilisation. Directeur ou pas. Le nombre de véhicules alloué à certaines missions qui ne concernent en rien les prérogatives de la structure... L'attribution de véhicule à des non ayants droit est une réalité des plus désolant surtout quand on voit que l'efficacité et le mérite de certains ne reflètent pas leurs conditions de travail. Quand on dit servir la nation et non se servir ce n'est pas tout le monde qui l'entend dans le même sens. A ce demander si tu es payé par la structure ou bien c'est toi qui paye la structure. La différence est mince... Cette gestion ne dépend que du bon vouloir du Directeur. Cette politique ont l'a entendue et ré-entendue... du "Tangal thiep" à mon avis...
Parce que ces 20000 véhicules ont fait ses campagnes (législatives, présidentielles, référendum...) ils sont prets a dépenser des milliards pour réparer des véhicules laisser en rade pendant des années pour les campagnes électorales alors que le besoin était la depuis. Donc attendre maintenant pour vouloir assainir je ne sais pas pour les autres mais moi je pense que c'est ridicule. S'il ne le fait pas son successeur le fera. Afin mom la rek. Quoi qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire mais Bonne chance quand même.
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