Le "Pape du Sopi" est toujours attendu dans la capitale sénégalaise, demain jeudi. Mais, pour le moment, Me Abdoulaye Wade ne soutient aucun des candidats en lice pour la présidentielle du 24 février.
Selon l'analyste politique Serigne Saliou Guèye, Abdoulaye Wade, avec tout ce qu'il a subi, ainsi que son fils durant le mandat de Macky Sall, ne pourra en aucun cas adopter une position de neutralité. "Aujourd'hui, la réalité politique exige à Abdoulaye Wade, en de pareilles circonstances, qu'il prenne position pour l'un des candidats. Je crois que quelqu'un, qui a subi toutes les ignominies, tous les coups de boutoir de la part de l'actuel régime, ne doit pas du tout adopter une posture de neutralité. Il y a des moments où le non choix est choix, comme le disait Jean-Paul Sartre. Et, en pareilles circonstances, si Abdoulaye Wade décide d'adopter une posture de neutralité en appelant à un soi-disant blocage des opérations électorales, pour moi, cela ne fait que l'affaire de Macky Sall", déclare le politologue.
33 Commentaires
Anonyme
En Février, 2019 (16:09 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:10 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:12 PM)Rassurer vous chers internautes , WADE va œuvrer inlassablement pour le départ du Satrape
Même si par extraordinaire , il venait de proclamer la neutralité du PDS , les militants ne vont pas suivre
Ils ont en mémoire toutes les ignominies subies sous le magistère de Sai-sai .
Il faut comprendre qu'il ne donnera aucune consigne de vote tant que le dossier CEDEAO n'est pas vidé
Rassurer vous chers internautes , WADE va œuvrer inlassablement pour le départ du Satrape
Même si par extraordinaire , il venait de proclamer la neutralité du PDS , les militants ne vont pas suivre
Ils ont en mémoire toutes les ignominies subies sous le magistère de Sai-sai .
Il faut comprendre qu'il ne donnera aucune consigne de vote tant que le dossier CEDEAO n'est pas vidé
Rassurer vous chers internautes , WADE va œuvrer inlassablement pour le départ du Satrape
Même si par extraordinaire , il venait de proclamer la neutralité du PDS , les militants ne vont pas suivre
Ils ont en mémoire toutes les ignominies subies sous le magistère de Sai-sai .
Anonyme
En Février, 2019 (16:14 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:17 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:18 PM)CETTE VICTOIRE PASSE NÉCESSAIREMENT PAR LA DÉFAITE DE QUI VOUS SAVEZ.
Anonyme
En Février, 2019 (16:35 PM)Anonymexpert
En Février, 2019 (16:49 PM)Karim ne viendras pas et Wade ne soutiendra personne aux élections Présidentielles en contre partie Macky s'engage a l’amnistié a son deuxième mandat
NB: Finalement ils sont tous obligés de soutenir Macky Sall de bon gré ou de mal gré Après Aissata Tall ,Aida Mbodj , et Wade c'est qui le prochain
Anonyme
En Février, 2019 (16:53 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:54 PM)Chers Compatriotes,
Notre pays va boucler ses six décennies d’existence. Il a fait des progrès importants sur les plan social
et économique. Sans que nos dirigeants successifs aient démérité, il reste beaucoup à faire, pour nous-mêmes et pour nos enfants. 2019 est un rendez-vous très important, entre vous et moi, pour ausculter en profondeur notre pays et convenir des meilleures solutions pour un Sénégal meilleur.
Le Programme que je vous propose découle de mes parcours de vie, public et privé. J’ai longtemps œuvré dans le privé. Je connais de l’intérieur le fonctionnement de nos entreprises. Je sais les difficultés auxquelles elles font face. Pour diverses raisons, elles ne sont performantes et ne peuvent pas créer la richesse et les emplois qui accéléreraient notre développement économique. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes pour remédier à cette situation.
J’ai une expérience avérée de la gestion des affaires publiques de mon pays. J’ai été ministre, Ministre d’Etat Directeur de Cabinet du Président de la République et Premier Ministre du Sénégal. Au niveau décentralisé, j’ai été Maire et Président de Conseil départemental. J’ai pratiqué les institutions de l’intérieur. Elles ne fonctionnent pas de façon optimale. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes pour les réformer et les mettre plus en phase avec nos besoins d’une meilleure gouvernance démocratique. Sur les quinze dernières années, je me suis éloigné de l’exercice du pouvoir central. Je me suis rapproché de mes concitoyens. Je les ai côtoyés. J’ai vécu avec eux leur dur quotidien. J’ai été témoin de leur espoir, de leur angoisse, de leur déception et de leur désillusion. Je les ai écoutés, sans filtre. Par empirisme pragmatique, j’estime avoir les propositions pertinentes, en termes de politiques publiques, pour les tirer de la pauvreté, identifier ensemble des voies sociales et économiques de la prospérité et les mettre en œuvre.
Le Programme que je vous propose est inclusif et progressiste. Il reprend les propositions systémiques intemporelles qui ont jalonné mon parcours politique. Il incorpore une série de propositions émanant de nos échanges avec nos amis de l’opposition, des cadres émérites de mon parti politique (Rewmi) et des professionnels sénégalais de tous bords, de l’intérieur comme de la diaspora. Mais surtout, ce Programme découle de mon écoute constante des populations sénégalaises qui ont su m’offrir, en condensé, la commande citoyenne de façon holistique et dans les subtilités de ses détails.
Le Programme que je vous propose garantit à chaque Sénégalaise et Sénégalais l’accès à la prospérité, la protection de ses droits, et la promotion de ses talents individuels au service du bien-être commun. Le Programme que je vous propose est la concrétisation de ma Vision 1-3-15-45.
• 1 Comme le Sénégal qui nous est commun : Un Peuple, Un But, Un Foi !
• 3 Comme les 3 Axes du Programme ;
• 15 Comme les quinze visions programmatiques qui bordurent le Programme ;
• 45 Comme les quarante-cinq déclinaisons thématiques du programme.
Ma vision globale est de redonner au Sénégal sa dignité. Avec votre soutien, nous allons bâtir ensemble Un
• SÉNÉGAL Compétitif ; Un SÉNÉGAL Instruit ; Un SÉNÉGAL Juste ; Un SÉNÉGAL Fier ; Un SÉNÉGAL Univoque ; Un
• SÉNÉGAL Ambitieux ; Un SÉNÉGAL Équilibré ; Un SÉNÉGAL Moderne ; Un SÉNÉGAL Prospère ; Un SÉNÉGAL
• Solidaire ; Un SÉNÉGAL Connecté ; Un SÉNÉGAL Durable ; Un SÉNÉGAL Endogène ; Un SÉNÉGAL Ouvert ;
• Un SÉNÉGAL Sécurisé.
Le Programme que je vous propose est centré sur l’Homme, sur le sénégalais. Il est notre seule préoccupation, notre seul centre d’intérêt. Il accorde une place prépondérante aux femmes et aux jeunes. Ils sont partout dans le Programme. Ils sont dans le Sénégal qui nous est commun. Ils sont dans les trois axes, dans les quinze visions programmatiques et dans les quarante-cinq déclinaisons thématiques du programme. Aucune proposition n’a été rédigée sans en planifier les dimensions genre et jeunes. Pour garantir leur pleine intégration dans toutes les politiques publiques et éviter les
Politiques parcelleaires, désintégrées et inefficaces, j’ai choisi de ne pas les catégoriser dans ce programme. Le Sénégal et l’Afrique réclament des dirigeants capables d’impulser un sursaut de fierté. Des dirigeants pour briser les chaînes du désespoir et mettre la créativité et l’énergie des populations au service de l’amélioration du bien-être des filles et fils du continent. Des dirigeants pour redonner espoir. Des dirigeants en qui nous nous reconnaissons. Des dirigeants mus uniquement par le devoir de servir. Sous l’encadrement vigilant d’une équipe exceptionnelle et déterminée, alliant jeunesse et expérience, composée de Sénégalaises et de Sénégalais, enracinés dans leur culture et ouverts sur le monde, issus de la haute administration et du secteur privé, des daaras du Sénégal comme des plus grandes universités du monde, je vous invite à la marche orange vers le développement.
Je puis vous garantir que pour toute la durée du quinquennat, le Sénégal et les sénégalais resteront
ma priorité. A chaque fois qu’il faudra prendre une décision, amorcer une politique publique, signer un contrat international, faire un arbitrage public, je ne me poserai qu’une seule question : Est-ce que les intérêts du Sénégal et des sénégalais sont sauvegardés ?
Ce sera ma seule boussole.
Idrissa SECK
Le Senegalais
En Février, 2019 (16:55 PM)D¨ ailleurs qui sera serait a accepter le soutien de WADE????
En cas pas IDY et non plus SONKO.
Peut etre Madicke.
Si WADE soutient SONKO et qu il l accepte, tous ceux qui connaissent WADE savent que toutes ses stragies politiques sont basees sur des deals. Un deal entre WADE et SONKO equivaut a SONKO = WADE et que KARIME est more politiquement.
Un deal entre WADE et IDY equivaut a KARIME est more politiquement.
Ni l une ni l autre des options sera une option de WADE
Anonyme
En Février, 2019 (16:59 PM)wade sait faire le choix pour son fils
si je choisis idy il gagne i va faire deux mandat et la mon fils cheri n'aura pas de chance
si je choisis sonko il ne fait pas le poids
madicke lui il m'a plante le couteau au dos
si je choisis macky ils diront que jai trahi mes militants ou jai fait un deal avec macky mais jai une astuce je fais dire PAS DELECTION SI MON FILS NY PARTICIPE PAS comme ça je ne soutendrait aucun candidat de l'opposition apres macky gagne il fait son dernier mandat je peux negocier pour que karim revienne et jouer les premiers roles
CACRE NJOMBOR
Anonyme
En Février, 2019 (17:02 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:02 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:02 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:03 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:03 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:04 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:04 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:04 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:04 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:06 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Anonyme
En Février, 2019 (17:06 PM)les choses deviennent de plus en plus sérieuses dans cette campagne électorale. Nous avons finalement entendu un discours concret de la part d’un des candidats. Il s’agit du discours d’Ousmane Sonko, un discours économique digne de ce nom. Après avoir acquis le vote des jeunes, il est allé à la conquête du vote des plus âgés en tenant un discours très présidentiable. Il a su clairement expliquer sa vision économique pour le développement du Sénégal. Nous allons en revanche sermonner le candidat Macky Sall.
La vision économique de Sonko
Enfin un candidat qui ait compris que pour développer le Sénégal, il faut « oublier » Dakar pour développer les régions pour que le Sénégal puisse aller de l’avant. Il a choisi Kaolack pour commencer le développement du Sénégal, j’aurai dit Diourbel, mais l’essentiel est que cela commence du centre du Sénégal pour mieux se répandre à travers le pays. Il a proposé une zone franche à Kaolack et c’est une excellente idée et ce serait mieux encore pour les grands pôles de développement régionaux. Pour les lecteurs qui ne s’y connaissent pas trop en économie, une zone franche est une zone dans une zone géographique qui offre des avantages fiscaux comme les exonérations fiscales, de TVA, de droits de douane afin d’attirer les investisseurs. Dans le cas du Sénégal, pour que le programme du candit Sonko puisse voir le jour, il faut développer le secteur primaire d’abord de manière sérieuse et cela créera naturellement un effet d’entraînement sur les autres secteurs. La raison pour laquelle nous avons besoin d’un président avec cette vision économique est le fait que le Sénégal ait du pétrole. Une fois que la production du pétrole commencera, nous risquons de délaisser les autres secteurs au profit du pétrole. C’est ce qu’on appelle le syndrome hollandais, ou encore malédiction du pétrole. Avec la découverte du gisement de Gringue, les Pays-Bas avaient délaissé les autres secteurs au profit du gaz. Pour que le Sénégal évite ce scénario, il est impératif de développer notre secteur primaire pour la transformation de ces matières premières. Durant le temps que cela prendra, nous pouvons utiliser la rente pétrolière pour les infrastructures dans les régions dans le but d’accueillir les industries. Il sera impératif de doter de chaque département ou de chaque région d’un aéroport, ainsi que des écoles spécialisées. L’exode urbain prendra place et le développement suivra de manière naturelle sans avoir à nous couper du monde en nationalisant les contrats ou en les renégociant. Le Sénégal, est très mal parti et nous sommes dans l’obligation de négocier avec le paternalisme colonial jusqu’à ce que nous ne soyons plus dépendant de l’aide au développement. Cela nous évitera l’embargo économique, militaire, et surtout l’isolement. Sachons choisir nos batailles de manière intelligente comme le disent les anglophones.
Cheikh Yerim seck, dakaractu
Moor
En Février, 2019 (17:12 PM)Donner des consignes de vote en faveur d’un quelconque candidat pourrai faire basculer Macky mais en même temps repousser les chances de Karim à 2029. Ce qui permettrait au nouveau président de renforcer sa position mais aussi d'affaiblir le PDS en allant puiser dans son effectif. Chose quasiment facile entre temps du fait d’une attente incertaine.
Anonyme
En Février, 2019 (17:45 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:09 PM)C'est le moment de les balayer tous pour de nouvelles têtes.
Anonyme
En Février, 2019 (18:11 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:35 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:43 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:52 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:42 PM)Anonyme
En Février, 2019 (20:46 PM)Anonyme
En Février, 2019 (20:51 PM)Participer à la Discussion