En ce début de la campagne électorale, Pape Diop, le leader de Bokk Gis Gis dont le parti est membre de la coalition gagnante Wattu Senegaal, respire la confiance. Il a décrété ce dimanche, que sa coalition détient la meilleure des listes en compétition. Mieux, il affirme que l’actuel maire de Dakar n’a pas encore fait ce qu’il a fait à Dakar. «Nous avons la meilleure liste à Dakar. Ce que Wade a fait ici à Dakar, Macky ne l’a pas fait.
Ce que j’ai fait ici à Dakar, Khalifa ne l’a pas fait», a-t-il déclaré au siège du Pds, lors de la réunion publique de la Coalition gagnante Wattu Senegaal. «Nous avons la meilleure tête de liste nationale. Mais il faut qu’on s’unisse, qu’on se mobilise, aller dans les marchés et dans les ‘‘Grand-Places’’ démarcher les gens. Nous devons, à la fin, gagner. C’est cela l’objectif», a-t-il dit à l’assistance. Pape Diop concède que gagner ces législatives ne sera pas chose aisée.
Mais, le leader de Bokk Gis Gis n’a aucunement peur des listes en face : «On parle de la liste Benno Bokk Yakaar, la liste Mankoo Taxawu Senegaal. Mais qu’a fait Macky à Dakar? Regardez comment Wade a transformé Dakar et le Sénégal. Je crois que les critiques sur Macky on n’en a pas besoin. Car il n’a rien, fait», clame-t-il.
28 Commentaires
De L'etat Civil
En Juillet, 2017 (10:56 AM)s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit Ce passage de l'état de nature à l'état civil produit dans l'homme un changement très remarquable, en substituant dans sa conduite la justice à l’instinct, et donnant à ses actions la moralité qui leur manquait auparavant. C'est alors seulement que, la voix du devoir succédant à l'impulsion physique et le droit à l'appétit, l'homme, qui jusque-là n'avait regardé que lui-même, se voit forcé d'agir sur d’autres principes, et de consulter sa raison amant d'écoute, ses penchants. Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses. idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son âme tout entière
Jean-Jacques Rousseau (1762), Du contrat social ou Principes du droit politique 17
s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit autrui que ce qui n'est pas à soi. JJROUSSEAU
Anonyme
En Juillet, 2017 (11:02 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:03 AM)Boul niou takha wakh.
Wakh rek ngay defff.....yombouna trope.
Yow kay dokhann khaleey dakar yi rek ngafi nekéé.... Maman nééna meuno kateu
Anonyme
En Juillet, 2017 (11:06 AM)Envoyez lui un âne
Anonyme Pape Diagne
En Juillet, 2017 (11:07 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:15 AM)Mbodji Iba Depuis Lespagne
En Juillet, 2017 (11:22 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:28 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:29 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:42 AM)De L'etat Civil
En Juillet, 2017 (11:45 AM)s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit Ce passage de l'état de nature à l'état civil produit dans l'homme un changement très remarquable, en substituant dans sa conduite la justice à l’instinct, et donnant à ses actions la moralité qui leur manquait auparavant. C'est alors seulement que, la voix du devoir succédant à l'impulsion physique et le droit à l'appétit, l'homme, qui jusque-là n'avait regardé que lui-même, se voit forcé d'agir sur d’autres principes, et de consulter sa raison amant d'écoute, ses penchants. Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses. idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son âme tout entière
s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais et qui, d'un animal stupide et borné, fit un être intelligent et un homme.
Réduisons toute cette balance à des termes faciles à comparer; ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre; ce qu’il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède. Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle, qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile, qui est limitée par la volonté générale; et la possession, qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété, qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
On pourrait, sur ce qui précède, ajouter à l'acquis de l’état civil la liberté morale qui seule rend l'homme vraiment maître de lui; car l’impulsion du seul appétit est esclavage, et l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. Mais je n'en ai déjà que trop dit sur cet article, et le sens philosophique du mot liberté n’est pas ici de mon sujet.
Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu’elle se forme, tel qu’il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie. Ce n'est pas que, par cet acte, la possession change de nature en changeant de mains, et devienne propriété dans celles du souverain; mais comme les forces de la cité sont incomparablement plus grandes que celles d'un particulier, la possession publique est aussi, dans le fait, plus forte et plus irrévocable, sans être plus légitime, au moins pour les étrangers: car l’État, à l’égard de ses membres, est maître de tous leurs biens, par le contrat social, qui, dans l'État, sert de base à tous les droits, mais il ne l'est, à l’égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu’il tient des particuliers.
Le droit de premier occupant, quoique plus réel que celui du plus fort, ne devient un vrai droit autrui que ce qui n'est pas à soi. JJROUSSEAU
Anonyme
En Juillet, 2017 (12:05 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (12:33 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (12:33 PM)Vrai
En Juillet, 2017 (12:38 PM)Pape DIOP avait bousillé les feux rouges, Khalifa SALL les a rallumés.
Pape DIOP avait éteint l'éclairage public, Khalifa SALL l'a rallumé.
Pape DIOP avait laissé s'installer les ambulants, Khalifa SALL les déguerpit.
Khalifa SALL fait des aménagements pour embellir Dakar, qu'a fait Pape DIOP.
Pape DIOP n'a rien fait de bon pour la Ville de Dakar et les Dakarois, bien au contraire
Qu'il se taise donc !
Anonyme
En Juillet, 2017 (12:43 PM)El Che
En Juillet, 2017 (12:58 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (13:02 PM)Moi
En Juillet, 2017 (13:07 PM)il a aussi plus réalisé il faut le reconnaître.
il devrait pas conséquence rejoindre KHalIfa
Anonyme
En Juillet, 2017 (13:47 PM)ET CE QUE TU AS VOLE AUSSI ? T'EN PARLE PAS ?
Anonyme
En Juillet, 2017 (13:57 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (13:58 PM)Tout ce qui touche au PS, au PDS est à bannir.
Anonyme
En Juillet, 2017 (14:54 PM)Jeunesse Consciente
En Juillet, 2017 (16:08 PM)C'est pourquoi, nous devons oser voter d'autres listes pour l’intérêt du Sénégal.
Sinon je pense que Pape Diop a parfaitement raison. C'est sous son magistère que la ville de Dakar a connu quelques avancées majeures. Maintenant est ce que c'est imputable à la mairie ou à l'Etat central. Khalifa n'a pas réalisé grand chose pour être honnête. Il est comme Maky, que des discours. Si Pape DIOP a perdu Dakar c'est parce que les gens redoutaient que Karim soient le maire de Dakar.
En tout état de cause, ils sont tous pareils En presque 60 ans d'indépendance, le Sénégal traîne toujours dans les bas fonds de la pauvreté. C'est ça la vérité
Anonyme
En Juillet, 2017 (22:33 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (22:36 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (23:17 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (22:06 PM)Participer à la Discussion