Les langues se délient au Pds sur la question de la
suppression du Sénat qu’il contrôle. En réunion de comité directeur ce
week-end, l’ancien parti au pouvoir n’a pu harmoniser la position des
uns et des autres sur la question. En outre, le Pds compte s’attaquer à
la convocation de l’Assemblée nationale ce mardi, pour la déclaration de
politique générale. Une requête sera déposée sur la table de la Cour
suprême car, d’après le Pds, la loi n’autorise pas le président de la
République à convoquer l’Assemblée hormis la première session.
La suppression du Sénat sème la discorde au Parti démocratique sénégalais (Pds) qui a convoqué son Comité directeur ce samedi pour adopter sa position officielle. Finalement, la réunion s’est terminée en queue de poisson, dans un désordre général. Car, les discussions n’ont pas débouché sur le consensus souhaité. Jusqu’à la levée de la séance, une position harmonisée sur la suppression du Sénat n’a pu être peaufinée. D’après des sources qui ont pris part à la réunion houleuse de samedi, «certains ont approuvé la suppression du Sénat, d’autres ne l’ont pas fait». D’ailleurs, pour sauver la face et organiser l’opposition face à la proposition du président à laquelle ils n’adhèrent pas, les sénateurs du Pds et les députés du groupe parlementaire libéral et démocratique sont convoqués à une réunion ce mercredi. Quoique confus sur la religion à se faire sur la suppression du Sénat, le Pds n’en démord pas et compte s’opposer à la suppression de la Chambre haute. Dans leur prise de parole respective, Doudou Wade et Kansoubaly Ndiaye (2e vice-président du Sénat) auraient rappelé à Pape Diop qui a donné sa parole au chef de l’Etat sur le vote de la loi portant suppression du Sénat, une vérité bien connue : «le Sénat est contrôlé par le Pds même si Pape Diop en est le président».
Sur un autre front, le Pds compte attaquer au niveau de la Cour suprême, le décret présidentiel convoquant l’Assemblée nationale ce mardi 4 septembre pour la session consacrée à la déclaration de politique générale du Premier ministre Abdoul Mbaye. D’après eux, excepté la première session qui est celle de l’installation des députés et du bureau, le règlement intérieur de l’Hémicycle ne confère pas au président de la République le droit de convoquer l’Assemblée. Cette loi «non dérogeable» de l’Assemblée nationale donne au seul bureau ce privilège.
Soucieux du sort qui sera réservé aux relations entre le Sénégal et la Gambie qui ont connu un coup de froid ces derniers jours, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Madické Niang, fustige l’attitude de Macky Sall sur la gestion de ce dossier sensible. D’après nos sources, il aurait soutenu : «Macky était premier ministre quand Yaya Jammeh menaçait Wade et il n’a jamais rien fait. Sous le magistère de Wade, on n’a jamais su qu’il y avait des Sénégalais condamnés à mort en Gambie.»
Cependant, concernant le pilotage du parti qui vit depuis la perte du pouvoir des heures troubles, la gestion de Oumar Sarr a été vertement critiquée. La gouvernance de celui-ci est accablée par la non-assiduité de la tenue des réunions du Comité directeur. Selon nos sources, certains ont même remis en cause ses compétences pour gérer le parti. Car, depuis qu’il est à la coordination du comité directeur du parti, les réunions sont quasi-inexistantes. Pour se disculper, Oumar Sarr a invoqué les textes qui confèrent au secrétaire général la responsabilité de convoquer le comité directeur.
La suppression du Sénat sème la discorde au Parti démocratique sénégalais (Pds) qui a convoqué son Comité directeur ce samedi pour adopter sa position officielle. Finalement, la réunion s’est terminée en queue de poisson, dans un désordre général. Car, les discussions n’ont pas débouché sur le consensus souhaité. Jusqu’à la levée de la séance, une position harmonisée sur la suppression du Sénat n’a pu être peaufinée. D’après des sources qui ont pris part à la réunion houleuse de samedi, «certains ont approuvé la suppression du Sénat, d’autres ne l’ont pas fait». D’ailleurs, pour sauver la face et organiser l’opposition face à la proposition du président à laquelle ils n’adhèrent pas, les sénateurs du Pds et les députés du groupe parlementaire libéral et démocratique sont convoqués à une réunion ce mercredi. Quoique confus sur la religion à se faire sur la suppression du Sénat, le Pds n’en démord pas et compte s’opposer à la suppression de la Chambre haute. Dans leur prise de parole respective, Doudou Wade et Kansoubaly Ndiaye (2e vice-président du Sénat) auraient rappelé à Pape Diop qui a donné sa parole au chef de l’Etat sur le vote de la loi portant suppression du Sénat, une vérité bien connue : «le Sénat est contrôlé par le Pds même si Pape Diop en est le président».
Sur un autre front, le Pds compte attaquer au niveau de la Cour suprême, le décret présidentiel convoquant l’Assemblée nationale ce mardi 4 septembre pour la session consacrée à la déclaration de politique générale du Premier ministre Abdoul Mbaye. D’après eux, excepté la première session qui est celle de l’installation des députés et du bureau, le règlement intérieur de l’Hémicycle ne confère pas au président de la République le droit de convoquer l’Assemblée. Cette loi «non dérogeable» de l’Assemblée nationale donne au seul bureau ce privilège.
Soucieux du sort qui sera réservé aux relations entre le Sénégal et la Gambie qui ont connu un coup de froid ces derniers jours, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Madické Niang, fustige l’attitude de Macky Sall sur la gestion de ce dossier sensible. D’après nos sources, il aurait soutenu : «Macky était premier ministre quand Yaya Jammeh menaçait Wade et il n’a jamais rien fait. Sous le magistère de Wade, on n’a jamais su qu’il y avait des Sénégalais condamnés à mort en Gambie.»
Cependant, concernant le pilotage du parti qui vit depuis la perte du pouvoir des heures troubles, la gestion de Oumar Sarr a été vertement critiquée. La gouvernance de celui-ci est accablée par la non-assiduité de la tenue des réunions du Comité directeur. Selon nos sources, certains ont même remis en cause ses compétences pour gérer le parti. Car, depuis qu’il est à la coordination du comité directeur du parti, les réunions sont quasi-inexistantes. Pour se disculper, Oumar Sarr a invoqué les textes qui confèrent au secrétaire général la responsabilité de convoquer le comité directeur.
16 Commentaires
Jo
En Septembre, 2012 (13:56 PM)Bra
En Septembre, 2012 (13:59 PM)des incompetents vous resterez.
vous ne reviendrez plus jamais au pouvoir bande de BABYDOLL de ablaye WADE
Comme Qui Dirait....
En Septembre, 2012 (14:01 PM)Moi
En Septembre, 2012 (14:09 PM)QUE VAUT LA PRESENCE DE L AMBASSADEUR DU SENEGAL DANS CE PAYS ?
Bra
En Septembre, 2012 (14:09 PM)Noah
En Septembre, 2012 (14:11 PM)Bro
En Septembre, 2012 (14:12 PM)SI ON EN EST LA ; C EST A CAUSE DU REGIME DE WADE ET SURTOUT DE ABDOU DIOUF ET BIENSUR SENGHOR !!!!
OUI DEPUIS SENGHOR LE SENEGAL A TOUJOURS BAISSE LA CULOTTE DEVANT LA GAMBIE & LA MAURITANIE EN PARTICULIERS !!!
ET TOUJOURS CA COMMENCE PAR TESTER JUSQU A QUEL POINT NOTRE NOUVEAU PRESIDENT EST UN LACHE ET UN POLTRON . APRES CETTE PHASE DE TEST CES PAYS COMMENCE A MENER A NOS POPULATIONS LA VIE DURE !!!
LE SENEGAL OU PLUTOT NOS DIRIGEANTS CRIENT PARTOUT QUE NOUS AVONS UNE ARMEE VALEUREUSE ALORS IL EST PLUS QUE TEMPS DE LA DOTER DE L ARMEMENT ADEQUAT POUR NEUTRALISER TOUTE TENTATIVE DE DESTABILISATION DE NOTRE PAYS PAR LE SUD , LE NORD OU LE NORD- EST. CAR APRES CE SERA LES BEYDANES QUI VONT LANCER LEUR BALLON D ESSAI ET ENSUITE CE SERA AUX ENTURBANNES QUAND ILS ATTEINDRONT BAMAKO .
POUR LA DEFENSE NATIONALE ET LA SECURITE INTERIEUR LE SENEGAL A INTERET A S ARMER ET MENER LA GUERRE PREVENTIVE A CERTAINS DE NOS VOISINS SINON DEMAIN TOUT LE PEUPLE AURA A REGRETTER CETTE PASSIVITE ANCESTRALE.
CE QUE VIENT DE FAIRE YAYA DIAME EST TOUT SIMPLEMENT UNE HUMILIATION DE PLUS POUR LE SENEGAL. IL N Y A PAS A INVOQUER DE RELATIONS DE BON VOISINAGE ; OUBIEN LE VOISIN NOUS RESPECTE OUBIEN ON LUI COUPE LES COUILLES ; VOILA !!!!!!
WASSALAM
Infothies
En Septembre, 2012 (14:16 PM)L’habitude est une seconde nature, et elle ne peut attendre longtemps sans se découvrir ; raison pour laquelle ; il faut des sages femmes responsables auprès de patientes souffrantes dans nos hôpitaux. C’est une écœurante affaire, entre une sage femme et une journaliste qui raconte ce qu’elle a vécu, « je suis venue à l’hôpital régional, par le canal de ma gynécologue, Madame Wourry Diallo, qui m’avait fait certaines applications avant de me conseiller d’aller à la clinique du Docteur Dia. Mais du fait que mon mari, préféré l’hôpital régional, pour ne pas le compromettre, j’ai accepté. Mais toutes les femmes savent ce qui se passent dans cet hôpital, car le personnel accouchant est tellement indiscipliné, on ne sait quoi faire avec. A la maternité de ce centre médical, le personnel demande à la patiente d’acheter une bouteille d’eau de javel , et un madar grand model, pour le nettoyage du lit d’hôpital et du bassin, sans cela, tu seras indésirable. Pourtant, il n’y a pas longtemps l’hôpital avait reçu une dotation, et un important lot de matériels. Personne ne peut me faire croire le contraire, car j’avais couvert l’événement et je paye l’hospitalisation». Ensuite elle ajoute les vraies raisons qui ont poussé La sage femme Touré, à l’injurier et de traiter les journalistes de menteurs, ceci par rapport à sa demande d’être transférée dans une cabine et auparavant, quand elle avait senti des maux de tête, et avait solliciter l’une des sages femmes de garde, si du café pourrait lui être servi, car elle suppose c’est parce qu’elle n’a pas pris du café depuis son arrivée à l’hôpital, que ces maux de tête l’agacent. Mais cette dernière avait opposé un refus catégorique. Toute cette scène, qu’on pourrait comparaitre de cinéma, s’est passée sous les yeux de son mari. La considérant comme un casse-pied, elle a été envoyée au fond de la salle d’accouchement au lit numéro (6), pour qu’elle n’emmerde plus personne. C’est à partir de là, que les choses sérieuses ont commencé ; sa tension est montée jusqu’à (17). Au bout d’un certain moment elle lutte contre la mort, car elle n’était pas assistée et elle s’est difficilement saisie de son téléphone pour alerter sa gynécologue, qui aussitôt a rappliqué. Quand elle a vu celle, qu’elle a vu, d’il y a deux jours, elle s’est étonnée de se demander quelles genres de sages femmes travailler dans cette maternité. Fatima ajoute, « je n’ai subi aucun traitement, et surtout l’écographie, qui était indispensable. Et voilà par méchanceté, j’ai perdu mon premier bébé qui était de sexe masculin; elles m’ont ensuite volé mes médicaments, car j’étais dans la salle d’accouchement, qui est une chambre fermée au public. Après cette injustice, elle me prenait une enseignante, elle m’a traité d’incapable, avec tous les noms d’oiseaux. Mais quand je lui ai dit que j’étais journaliste, on dirait c’est ce qu’elle attendait, « sales menteurs, se sont les journalistes que je déteste le plus dans ce monde »;’ avait-elle avancé. Voilà le cadeau que m’a offert la sage femme Touré. On me prive de mon enfant, de mes médicaments, de mes traitements, on me maltraite et on m’injure, je veux la réponse du ministre de la santé, si elle n’est pas capable de mettre les hommes qu’il faut à la place qu’il faut, qu’elle cède la place, à une autre personne plus compétente ».
Frédéric Diallo Xalimasn correspondant à Thiès.
@xeme
En Septembre, 2012 (14:18 PM)Et Nos Diplomates
En Septembre, 2012 (15:01 PM)Modou Amerik
En Septembre, 2012 (15:11 PM)Madicke , tu devrais avoir honte de faire un tel aveux car il ne vous absout pas
Casamancais
En Septembre, 2012 (15:38 PM)Ceux qui tuent aussi doivent etre raisonanbles et arreter de tuer les gens comme des animaux,la personne humaine est la chose la plus sacree que DIEU AIT CREE.Actuellement la Gambie est le sujet de conversion,cependant je voudrais souligner une chose,il est courant de voir a Dakar des agresseurs lynchees a mort par des foules en colere au motif qu'ils ont tue ou agresse des personnes et les foules approuvent meme cette vengeance populaire.Dites moi ou est la tolerance dont les gens parlent ?n'est ce pas la une forme de barbarie?quelle est la difference entre ces agresseurs lynches a mort ,qui n'ont meme pas eu droit a un proces et ce que la justice Gambienne a fait en appliquant la peine de mort qui est inscrite dans sa contitution?Si vous avez etudie la philosophie ,vous comprendrez simplement que l'homme est par nature un animal et que par moment ses instincts animaux lui reviennent.
Momo
En Septembre, 2012 (16:14 PM)Diop
En Septembre, 2012 (16:42 PM)Ofans
En Septembre, 2012 (22:46 PM)Laspalmas
En Septembre, 2012 (10:09 AM)Participer à la Discussion