La tenue des assises de la culture fait son bonhomme de chemin, depuis la publication du nouveau gouvernement Diomaye Faye. À l'initiative du chanteur sénégalais Alibeta, par ailleurs fondateur de la structure Artiste Dou Danu, ces assises sont pour recueillir les idées et les réflexions profondes sur la place de la culture au Sénégal, histoire de mettre en place une bonne politique culturelle en faveur des artistes et des professionnels de la culture.
Fondre la culture dans le ministère des Sports n'enchante pas les acteurs culturels qui estiment que la culture mérite une place considérable dans un gouvernement avec un ministère dédié.
Selon Alibeta, la culture ne doit pas se limiter au divertissement et aux loisirs, car c’est une entité qui comprend plusieurs sous-secteurs. "Nous invitons le président Bassirou Diomaye Faye à prendre en compte nos propositions pour une bonne politique culturelle favorable à tout le monde. Nous sommes des citoyens, mais pas des activistes. Nous savons que la charge de gouverner est lourde, mais il faut donner l'espace aux professionnels de ce secteur pour qu'ils puissent donner leur point de vue. Nous sommes une force de propositions, mais pas de critiques", a-t-il déclaré à Seneweb.
À cet effet, des pétitions et des campagnes de sensibilisation seront organisées par les acteurs culturels.
Pour rappel, Alibeta est un artiste confirmé, très engagé, un sociologue de formation. Pluridisciplinaire, il touche à tout : la musique, le cinéma et le théâtre. Auteur de plusieurs œuvres musicales couronnées de succès, Alibeta prépare la sortie prochaine de son film qui parle de l'immigration ainsi que de son prochain album.
6 Commentaires
Un monde paresseux et ire artistes . de parasites .
Tous ceux qui ont échoué ailleurs filent se faire artistes .
Mais au senegal c est un refuge de drogués , fumeurs de yamba, de pûtes, de soulards , de griots- quémandeurs maquereaux .
Un monde de paresseux et de parasites .
Tous ceux qui ont échoué ailleurs courent se faire artistes (chanteurs , musiciens ,danseurs , batteurs de tam-tam ,comédiens de séries de merde , peintres et sculpteurs minables , et autres petits merdeux qui se disent écrivains , scénaristes ou réalisateurs à la con , la liste est longue et intarissable .)
RIEN À LEUR DONNER !
Qu ils aillent travailler dans l agriculture , la pêche , l artisanat , la maçonnerie , la coordonnerie , la coiffure , la couture , la menuiserie , la boucherie , la boulangerie ,
, le commerce ou tous les autres métiers nobles et dignes .
Liguéye bangui fii dou diekh .
Toggue mouye dokh mo diekh .
Wooy , woyanne ,fétje ,tiagatou aki droguéwou aki nane sangara mo diékh.
Daffa yombone torop .
Wayé Diomaye mome dou diox xalissou réwmi ay fookat .
Foo mo diékh takk , takk .
Reply_author
il y a 2 semaines (16:54 PM)A part l'ouvrir pour qu'on te la fourre bien profond
Md
il y a 2 semaines (17:45 PM)C'est un écosystème, avec plusieurs disciplines ( chanteurs, musiciens, acteurs, peintres, sculpteurs, graffeurs, danseurs....) qui regorgent de différents métiers dont un artiste à besoin pour évoluer ( manager, administrateur, comptable, ingénieurs, techniciens, graphistes, chargé de communication.....). De plus on les appelle aussi entrepreneurs culturels.
La culture c'est aussi la richesse de nos ethnies de nos coutumes et traditions. Les simbs, les kankourangs, le sabar et autres font partie de notre patrimoine culturel. Même le thiebou dieun est nommée patrimoine culturel.
-_-
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